Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée des Beaux-Arts de Rouen présente une exposition consacrée à l’incendie de la flèche de la cathédrale de Rouen en 1822 et aux débats autour de la reconstruction de l’édifice longtemps le plus haut du monde. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou sur www.mbarouen.fr Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce photo : Vue de la flèche avec le premier clocheton contemplé par le ferronnier Ferdinand Marrou, Albert Witz, 1881, collection Rijksmuseum d'Amsterdam
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée industriel de la corderie Vallois ouvre les coulisses des chantiers prioritaires au sortir de la Seconde Guerre mondiale jusque dans les années 1950. Lire l’article Renseignements au 02 35 74 35 35 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
L’exposition des dessins de Joseph Le Dieu (1815-1880) a été imaginée comme une véritable promenade dans la moitié sud du département de la Manche, du Coutançais à l’Avranchin. L’artiste a dessiné à Saint-Pair, à la mare de Bouillon, à Granville, à Saint-James, à Avranches, à Gratot et dans la campagne environnante. Le regard attentif et observateur de Joseph Le Dieu, au-delà de la recherche du pittoresque et de l'approche romantique de son époque, rend ainsi compte de cette société provinciale, rurale et littorale sur laquelle il existe peu de documentation. En dehors de l'intérêt archéologique et ethnographique qu'ils suscitent, et
Peintre figuratif formé à Paris selon les préceptes du retour à l’ordre, il vécut une révolution artistique majeure lors de son installation à Saint-Tropez auprès de Simone Armando-Barbier. Suivant la trace des postimpressionnistes et des fauves, il s’est imprégné de la lumière du midi pour produire des œuvres lumineuses, élégantes et délicates imprégnées de la forte personnalité de leur créateur et d’une individualité qui le classe à part dans sa génération. L’exposition Jacques Cordier de Saint-Tropez à Trouville, héritage et contraste présente une face totalement méconnue de la création du peintre, les littoraux de Normandie et du nord de l’Europe
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée de la Céramique s’intéresse aux dimensions matérielles et sensorielles de la terre brisée, réparée, sublimée et à la symbolique de la céramique cassée. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
Qui est Michelle ? Une adolescente insouciante ou mal élevée ? Voilà une confrontation de deux mondes : celui des « vieux », qui regardent défiler le paysage, et celui des jeunes, prompts à le mettre en boîte avec leurs smartphones ultra connectés. C’est à ce nouveau monde qu’appartiennent Kim, Angèle, Michelle, Sélim et Abel. Et c’est l’ancien monde qu’ils viennent visiter en allant découvrir à Auschwitz l’horreur des camps de concentration, ce souvenir dur et froid, qui ne résistera pas, cependant, au selfie tout sourire de Michelle posté sur les réseaux… Les avis divergent en ligne, les commentaires fusent,
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée industriel de la corderie Vallois ouvre les coulisses des chantiers prioritaires au sortir de la Seconde Guerre mondiale jusque dans les années 1950. Lire l’article Renseignements au 02 35 74 35 35 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
L’exposition des dessins de Joseph Le Dieu (1815-1880) a été imaginée comme une véritable promenade dans la moitié sud du département de la Manche, du Coutançais à l’Avranchin. L’artiste a dessiné à Saint-Pair, à la mare de Bouillon, à Granville, à Saint-James, à Avranches, à Gratot et dans la campagne environnante. Le regard attentif et observateur de Joseph Le Dieu, au-delà de la recherche du pittoresque et de l'approche romantique de son époque, rend ainsi compte de cette société provinciale, rurale et littorale sur laquelle il existe peu de documentation. En dehors de l'intérêt archéologique et ethnographique qu'ils suscitent, et
Peintre figuratif formé à Paris selon les préceptes du retour à l’ordre, il vécut une révolution artistique majeure lors de son installation à Saint-Tropez auprès de Simone Armando-Barbier. Suivant la trace des postimpressionnistes et des fauves, il s’est imprégné de la lumière du midi pour produire des œuvres lumineuses, élégantes et délicates imprégnées de la forte personnalité de leur créateur et d’une individualité qui le classe à part dans sa génération. L’exposition Jacques Cordier de Saint-Tropez à Trouville, héritage et contraste présente une face totalement méconnue de la création du peintre, les littoraux de Normandie et du nord de l’Europe
Durement frappées par les destructions allemandes de 1940, puis par les bombardements allés de 1942-1944, les agglomérations de Rouen et d’Elbeuf ne sont pas indemnes de la Seconde Guerre mondiale. Comment reconstruire ? À Travers des photographies, des archives, des témoignages et des objets, l’exposition « Reconstruire… la ville propose d’observer l’architecture des années 1950. Renseignements au 02 32 96 30 40 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Entrée de la rue des Martyrs, Fabrique des Savoirs / RMM
Les maisons d’écrivains suscitent beaucoup de curiosité et ont fait l’objet de transformation pour pouvoir accueillir du public. Le musée Flaubert et d’histoire de la médecine présente des maquettes, des costumes, des objets insolites qui ont appartenu à des auteurs venus en Normandie. Renseignements au 02 76 30 39 90 Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Cabinet de travai lde Flaubert à Croisset, Georges-Antoine Rochegrosse, 1874, collection Pavillon Flaubert / RMM
Qui est Michelle ? Une adolescente insouciante ou mal élevée ? Voilà une confrontation de deux mondes : celui des « vieux », qui regardent défiler le paysage, et celui des jeunes, prompts à le mettre en boîte avec leurs smartphones ultra connectés. C’est à ce nouveau monde qu’appartiennent Kim, Angèle, Michelle, Sélim et Abel. Et c’est l’ancien monde qu’ils viennent visiter en allant découvrir à Auschwitz l’horreur des camps de concentration, ce souvenir dur et froid, qui ne résistera pas, cependant, au selfie tout sourire de Michelle posté sur les réseaux… Les avis divergent en ligne, les commentaires fusent,
Dans « Ballroom », c’est cette discipline la plus élémentaire de la jonglerie qui est mise à l’épreuve. Stijn Grupping lance les balles et les rattrape tout leur laissant la liberté de dessiner leur propre chorégraphie. Dans un camion, les spectateurs sont assis avec le jongleur tandis que les 2 musiciens créent un monde sonore en utilisant tout l'espace comme un instrument vibrant. Durée : 30 minutes À partir de 5 ans Tarifs : 8 €, 6 € Réservation au 02 32 41 81 31 et sur http://eclat.ville-pont-audemer.fr photo : Post Uit Hessdalem
Qui se souvient du musicien afro-américain Blind Willie Johnson décédé en 1945 ? Son titre « Dark was the night » fut pourtant envoyé dans l’espace dans les années 1970, gravé sur un disque phonographique pour la postérité et d’éventuelles vies extra-terrestres en mémoire de notre civilisation. Ce qui n’empêcha pas le bluesman de mourir prématurément, oublié de tous et dans le dénuement le plus total. Emmanuel Meirieu part de cette histoire vraie pour élaborer un spectacle-requiem d’une ambition phénoménale fait de parallèles et de correspondances bouleversantes, nimbé d’une musique atmosphérique empruntant aux titres en orbite. Il exhume la vie de cet artiste instinctif
Poursuivant son ascension spectaculaire dans le monde de la musique classique, Alexandre Kantorow fait une escale à la Chapelle Corneille. Couronné l’an dernier d’une Victoire de la musique, il était déjà le plus jeune pianiste à décrocher le Gilmor Artist Award et le premier pianiste français à recevoir la médaille d’or du concours Tchaïkovsky. Il allie son agilité lyrique au talent de Lea Desandre, qui ravit de sa voix souple et chaleureuse dans un choix de mélodies françaises. Durée : 1h10 Tarifs : de 38 à 10 € Réservation au 02 35 98 74 78 ou sur www.operaderouen.fr Aller
David Wahl a un ami qui se prénomme Dominique. Ils se sont connus à Océanopolis, l’aquarium de Brest et, depuis, entretiennent une relation des plus affectueuses. Rien que de très banal, si ce n’est que David est dramaturge, comédien et auteur-interprète de « causeries » qui mêlent discours scientifique et anecdotes plaisantes, et Dominique... un manchot royal né en couveuse dans le centre scientifique brestois. À l’image de ce duo improbable, David Wahl entraine dans « la Visite curieuse et secrète » dans une réflexion insolite en contant les « choses inouïes se passant en la mer et ses abysses » et
En mêlant théâtre et magie nouvelle, Matthieu Villatelle embarque dans l'aventure « Cerebro » pour remettre les clés du dépassement de soi à travers des expériences ludiques et parfois troublantes. Durée : 1h15 Tarifs : de 20 à 10 € Réservation au 02 32 40 70 40 ou sur www.theatredelarsenal.fr Photo : JP Loyer
Avec un look qui pourrait d'emblée faire penser à un nouvel Elvis Presley, Eli Paperboy Reed ne donne pas dans le rock’n roll, mais dans la soul et le rhythm’n blues dans la plus pure tradition de la Motown ou de la Stax. Un style musical qui coule dans ses veines. Ce natif de Chicago donne une belle envie de bouger et de danser. Lisez l'article Première partie : Hugo Derechy Tarifs : 16,40 €, 10,90 € Réservation au 02 35 36 95 80 ou en ligne Photo : DR Aller au spectacle en transport en commun avec le réseau
Dernière création de Gandini Juggling, « Heka » s’inspire du dieu égyptien de la puissance magique. En associant jonglage et magie, le metteur en scène et chorégraphe Sean Gandini, artiste prolifique qui a débuté par la magie à la Havane il y a 50 ans, retourne à ses racines. « Heka » entremêle subtilement ces deux disciplines, joue avec le réel et entretient l’illusion. Les objets apparaissent et disparaissent, sont en lévitation et se transforment sans cesse. Mains et gestes semblent se démultiplier, créant ainsi une danse hallucinante. Au contact l’une de l’autre, la magie et le jonglage se réinventent, innovent et bousculent.
Dans « Ballroom », c’est cette discipline la plus élémentaire de la jonglerie qui est mise à l’épreuve. Stijn Grupping lance les balles et les rattrape tout leur laissant la liberté de dessiner leur propre chorégraphie. Dans un camion, les spectateurs sont assis avec le jongleur tandis que les 2 musiciens créent un monde sonore en utilisant tout l'espace comme un instrument vibrant. Durée : 30 minutes À partir de 5 ans Tarifs : 8 €, 6 € Réservation au 02 32 41 81 31 et sur http://eclat.ville-pont-audemer.fr photo : Post Uit Hessdalem
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée des Beaux-Arts de Rouen présente une exposition consacrée à l’incendie de la flèche de la cathédrale de Rouen en 1822 et aux débats autour de la reconstruction de l’édifice longtemps le plus haut du monde. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou sur www.mbarouen.fr Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce photo : Vue de la flèche avec le premier clocheton contemplé par le ferronnier Ferdinand Marrou, Albert Witz, 1881, collection Rijksmuseum d'Amsterdam
Un brass band s’organise. Les musiciens font un habile assemblage de morceaux de bois aux formes étranges. Les instruments de musique eux, sont un amalgame de fer blanc et d’inox. Les marionnettes arrivent une à une, chaque arrivée est une aventure, chaque instrument est une découverte. Tout est prêt pour la déambulation mécanique avec la Compagnie des Frères Georges. Durée : 35 minutes À partir de 3 ans Tarif : 5 € Réservation au 02 32 76 93 01 ou à spectacle.culture@univ-rouen.fr Aller au spectacle en transport en commun avec le réseau Astuce photo : Hugo Lesne
Les Maladroits font revivre une course cycliste où l'absurde côtoie l’imaginaire. Il sera question de top départ et de remise de prix, de défaite et de chute. On y verra l'exaltation du commentateur et l'effort du sportif. Le cyclisme, c'est le sport où l'individu compte autant que le collectif, du peloton à l’échappée, pour gagner, le cycliste a besoin de son adversaire. Le cyclisme comme une métaphore de la société. « À vous les studios ! » se joue dans une vitrine de commerce. Au premier plan, collés aux vitrines, quatre écrans à tube cathodique, de différentes tailles. Au second plan, caméras,
Avec une incroyable originalité, la compagnie Agrupación Señor Serrano raconte la mythologie grecque en croisant figurines miniatures et enjeux contemporains. Ce premier volet de ces Olympus Kids est consacré à Prométhée, puni par Zeus pour avoir donné le feu aux êtres humains. Qui décide de ce qui est injuste ou non ? Une proposition scénique exceptionnelle, qui emmène aussi du côté de Frankenstein, Scotland Yard et de Julien Assange… Durée : 55 minutes À partir de 7 ans Tarifs : 8 €, 6 € Réservation au 02 32 41 81 31 et sur http://eclat.ville-pont-audemer.fr Photo : Lea Fhopper
Cette exposition propose, grâce aux fonds remarquables du musée, de découvrir la « science en train de se faire » au regard des prémices de cette instruction spécifique qu’est la science « physique ». Initiée dès l’école primaire sous la IIIe République, ses évolutions sont grandissantes et concernent également l’enseignement secondaire, du lycée napoléonien aux méthodes actuelles. Trois axes structurent le propos : l’optique, les poids et mesures et l’électricité. Aux côtés des instruments spectaculaires, vous retrouverez des manuels scolaires, des photographies, du matériel didactique et des travaux d’élèves : près de 130 objets qui permettent une recontextualisation complète.
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée industriel de la corderie Vallois ouvre les coulisses des chantiers prioritaires au sortir de la Seconde Guerre mondiale jusque dans les années 1950. Lire l’article Renseignements au 02 35 74 35 35 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
L’exposition des dessins de Joseph Le Dieu (1815-1880) a été imaginée comme une véritable promenade dans la moitié sud du département de la Manche, du Coutançais à l’Avranchin. L’artiste a dessiné à Saint-Pair, à la mare de Bouillon, à Granville, à Saint-James, à Avranches, à Gratot et dans la campagne environnante. Le regard attentif et observateur de Joseph Le Dieu, au-delà de la recherche du pittoresque et de l'approche romantique de son époque, rend ainsi compte de cette société provinciale, rurale et littorale sur laquelle il existe peu de documentation. En dehors de l'intérêt archéologique et ethnographique qu'ils suscitent, et
Dans « Ballroom », c’est cette discipline la plus élémentaire de la jonglerie qui est mise à l’épreuve. Stijn Grupping lance les balles et les rattrape tout leur laissant la liberté de dessiner leur propre chorégraphie. Dans un camion, les spectateurs sont assis avec le jongleur tandis que les 2 musiciens créent un monde sonore en utilisant tout l'espace comme un instrument vibrant. Durée : 30 minutes À partir de 5 ans Tarifs : 8 €, 6 € Réservation au 02 32 41 81 31 et sur http://eclat.ville-pont-audemer.fr photo : Post Uit Hessdalem
Peintre figuratif formé à Paris selon les préceptes du retour à l’ordre, il vécut une révolution artistique majeure lors de son installation à Saint-Tropez auprès de Simone Armando-Barbier. Suivant la trace des postimpressionnistes et des fauves, il s’est imprégné de la lumière du midi pour produire des œuvres lumineuses, élégantes et délicates imprégnées de la forte personnalité de leur créateur et d’une individualité qui le classe à part dans sa génération. L’exposition Jacques Cordier de Saint-Tropez à Trouville, héritage et contraste présente une face totalement méconnue de la création du peintre, les littoraux de Normandie et du nord de l’Europe
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée de la Céramique s’intéresse aux dimensions matérielles et sensorielles de la terre brisée, réparée, sublimée et à la symbolique de la céramique cassée. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
Durement frappées par les destructions allemandes de 1940, puis par les bombardements allés de 1942-1944, les agglomérations de Rouen et d’Elbeuf ne sont pas indemnes de la Seconde Guerre mondiale. Comment reconstruire ? À Travers des photographies, des archives, des témoignages et des objets, l’exposition « Reconstruire… la ville propose d’observer l’architecture des années 1950. Renseignements au 02 32 96 30 40 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Entrée de la rue des Martyrs, Fabrique des Savoirs / RMM
Les maisons d’écrivains suscitent beaucoup de curiosité et ont fait l’objet de transformation pour pouvoir accueillir du public. Le musée Flaubert et d’histoire de la médecine présente des maquettes, des costumes, des objets insolites qui ont appartenu à des auteurs venus en Normandie. Renseignements au 02 76 30 39 90 Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Cabinet de travai lde Flaubert à Croisset, Georges-Antoine Rochegrosse, 1874, collection Pavillon Flaubert / RMM
Les Maladroits font revivre une course cycliste où l'absurde côtoie l’imaginaire. Il sera question de top départ et de remise de prix, de défaite et de chute. On y verra l'exaltation du commentateur et l'effort du sportif. Le cyclisme, c'est le sport où l'individu compte autant que le collectif, du peloton à l’échappée, pour gagner, le cycliste a besoin de son adversaire. Le cyclisme comme une métaphore de la société. « À vous les studios ! » se joue dans une vitrine de commerce. Au premier plan, collés aux vitrines, quatre écrans à tube cathodique, de différentes tailles. Au second plan, caméras,
Catherine est pépiniériste à Orbec. Gentille, un peu naïve, vulnérable, elle va, peu à peu, gagner en assurance et indépendance et faire face à trois méchantes sorcières, sans scrupules et sans la moindre conscience écologique. Il y a Perrine, une vendeuse, qui vante les mérites de l’agent orange, le défoliant meurtrier et durablement polluant. Corinne, sa prétendue cousine, qui gaspille l’eau et ne boit que des sodas, et tente de pomper sa nappe phréatique. Caroline qui veut la corrompre et l’attraper dans les mailles des filets de la mode. En fait, Perrine, Corinne, et Caroline sont des pseudos et ne
Avec une incroyable originalité, la compagnie Agrupación Señor Serrano raconte la mythologie grecque en croisant figurines miniatures et enjeux contemporains. Ce premier volet de ces Olympus Kids est consacré à Prométhée, puni par Zeus pour avoir donné le feu aux êtres humains. Qui décide de ce qui est injuste ou non ? Une proposition scénique exceptionnelle, qui emmène aussi du côté de Frankenstein, Scotland Yard et de Julien Assange… Durée : 55 minutes À partir de 7 ans Tarifs : 8 €, 6 € Réservation au 02 32 41 81 31 et sur http://eclat.ville-pont-audemer.fr Photo : Lea Fhopper
Un brass band s’organise. Les musiciens font un habile assemblage de morceaux de bois aux formes étranges. Les instruments de musique eux, sont un amalgame de fer blanc et d’inox. Les marionnettes arrivent une à une, chaque arrivée est une aventure, chaque instrument est une découverte. Tout est prêt pour la déambulation mécanique avec la Compagnie des Frères Georges. Durée : 35 minutes À partir de 3 ans Tarif : 5 € Réservation au 02 32 76 93 01 ou à spectacle.culture@univ-rouen.fr Aller au spectacle en transport en commun avec le réseau Astuce photo : Hugo Lesne
Les Maladroits font revivre une course cycliste où l'absurde côtoie l’imaginaire. Il sera question de top départ et de remise de prix, de défaite et de chute. On y verra l'exaltation du commentateur et l'effort du sportif. Le cyclisme, c'est le sport où l'individu compte autant que le collectif, du peloton à l’échappée, pour gagner, le cycliste a besoin de son adversaire. Le cyclisme comme une métaphore de la société. « À vous les studios ! » se joue dans une vitrine de commerce. Au premier plan, collés aux vitrines, quatre écrans à tube cathodique, de différentes tailles. Au second plan, caméras,
Dans « Ballroom », c’est cette discipline la plus élémentaire de la jonglerie qui est mise à l’épreuve. Stijn Grupping lance les balles et les rattrape tout leur laissant la liberté de dessiner leur propre chorégraphie. Dans un camion, les spectateurs sont assis avec le jongleur tandis que les 2 musiciens créent un monde sonore en utilisant tout l'espace comme un instrument vibrant. Durée : 30 minutes À partir de 5 ans Tarifs : 8 €, 6 € Réservation au 02 32 41 81 31 et sur http://eclat.ville-pont-audemer.fr photo : Post Uit Hessdalem
Qui se souvient du musicien afro-américain Blind Willie Johnson décédé en 1945 ? Son titre « Dark was the night » fut pourtant envoyé dans l’espace dans les années 1970, gravé sur un disque phonographique pour la postérité et d’éventuelles vies extra-terrestres en mémoire de notre civilisation. Ce qui n’empêcha pas le bluesman de mourir prématurément, oublié de tous et dans le dénuement le plus total. Emmanuel Meirieu part de cette histoire vraie pour élaborer un spectacle-requiem d’une ambition phénoménale fait de parallèles et de correspondances bouleversantes, nimbé d’une musique atmosphérique empruntant aux titres en orbite. Il exhume la vie de cet artiste instinctif
Croisé en ouverture de CLT DRP, LIFE ou Soul Glo, le sextet Knives surgit de Brighton pour partager sa maîtrise de concerts chaotiques et une écriture nourrie de ses points de vue et images du monde. Les racines post punk ou hardcore ont muté, revitalisées par ce « noise collective » : tout sauf tiède. Guitares, basse, batterie, voix et… saxophones composent l’instrumentarium de ces docteurs ès énergie brute. Tarifs : de 19 à 4 € Réservation au 02 32 10 88 60 ou sur www.le106.com Aller au concert en transport en commun avec le réseau Astuce Photo :
Sylvain Riéjou déconstruit, avec finesse et humour, les stéréotypes de la rencontre amoureuse, diffusés massivement par la pop culture et en particulier la romance culte des années 1980 : « Dirty Dancing », point de départ de ce spectacle. À travers des films qui exposent des relations hétéronormées, comment un adolescent homosexuel construit-il son rapport à l’amour, et à la sensualité ? Autour du dialogue corporel de la parade amoureuse, un quatuor de danseurs et danseuses explore les liens incontournables entre danse et séduction. Dans une atmosphère de sensualité troublante, baignée de citations et de musiques de films hollywoodiennes, entre ballet romantique,
Pour cette pièce, Rachel Arditi et Justine Heynemann se sont librement inspirées de l’histoire du premier groupe de punk féminin, The Slits, formé à Londres en 1976. À partir de cette aventure, elles ont conçu un récit féministe, qui se déroule sur plusieurs époques. La fougue des six artistes qui jouent, chantent et interprètent, en plus des membres du groupe, seize autres personnages, maintient dans un rythme effréné. La scénographie évoque une salle de concert abandonnée. Les espaces se construisent avec quelques accessoires… Guitares électriques, basse, batterie et clavier complètent ce dispositif astucieux. Mis en scène dans la plus pure
Dans ce programme, La Petite Symphonie met en évidence l’influence que l’œuvre immense de Beethoven a exercée sur Schumann. Le concert commence avec le Quatuor opus 16 de Beethoven. Pour faire le lien avec le deuxième quatuor du programme, l’ensemble interprétera un magnifique hommage de Schumann à son aîné : les rares et assez méconnues études en forme de variations sur le thème du mouvement lent de la 7ème symphonie de Beethoven. Puis la soirée s’achèvera avec le sublime quatuor avec piano opus 47 de Schumann. Ce quatuor suit la même forme que celui de Beethoven à part l'ajout d'un scherzo très
De l’explosion du coeur des étoiles, de leurs résidus, naissent des pulsars, ces objets célestes tournant sur euxmêmes extrêmement vite. Pour la chorégraphe Maud Blandel, ce chaos cosmique en appelle un autre, plus intime : le souvenir de la déflagration des deux balles que son père se tire luimême dans le coeur alors qu’elle n’est encore qu’une enfant. Mue par les phénomènes de dégénérescence – qu’ils soient stellaires, psychiques ou collectifs – Maud Blandel imagine une chorégraphie à l’exigence formelle venant interroger notre perception : face à un corps qui s’effondre, que perçoit-on tellement ? Convoquant un dessin animé «
Après les albums à succès « Chickens in Your Town » et « Le Savoir Faire », des centaines de concerts à travers l'Europe, L’Entourloop n’a pas fini de surprendre. Caché derrière des lunettes de soleil et couvre-chefs, le groupe clame son amour pour les soundsystems, la culture urbaine new-yorkaise et le dancehall jamaïcain. La musique aux allures cinématographique produit un savant mélange de reggae et de hip-hop qui font danser. Tarifs : 35 €, 29 € Réservation au 02 35 19 00 38 ou sur www.letetris.fr Photo : DR
Auguste Levasseur, chef de claque, dirige une troupe de complices, qui, mêlés au public, sont chargés d’applaudir aux moments opportuns. À deux heures d’une grande première, Auguste est abandonné par sa claque. Il charge alors Fauvette, musicienne de l’orchestre, et Dugommier, régisseur du théâtre, de trouver des remplaçants pour sauver la représentation du soir. Il ne reste plus qu’une heure et trente minutes avant le début de la première pour faire répéter les claqueurs novices en leur interprétant des extraits du spectacle qui ne compte pas moins de cinq actes, quarante musiciens et trente changements de décors ! La tâche
David Wahl a un ami qui se prénomme Dominique. Ils se sont connus à Océanopolis, l’aquarium de Brest et, depuis, entretiennent une relation des plus affectueuses. Rien que de très banal, si ce n’est que David est dramaturge, comédien et auteur-interprète de « causeries » qui mêlent discours scientifique et anecdotes plaisantes, et Dominique... un manchot royal né en couveuse dans le centre scientifique brestois. À l’image de ce duo improbable, David Wahl entraine dans « la Visite curieuse et secrète » dans une réflexion insolite en contant les « choses inouïes se passant en la mer et ses abysses » et
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée des Beaux-Arts de Rouen présente une exposition consacrée à l’incendie de la flèche de la cathédrale de Rouen en 1822 et aux débats autour de la reconstruction de l’édifice longtemps le plus haut du monde. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou sur www.mbarouen.fr Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce photo : Vue de la flèche avec le premier clocheton contemplé par le ferronnier Ferdinand Marrou, Albert Witz, 1881, collection Rijksmuseum d'Amsterdam
Cette exposition propose, grâce aux fonds remarquables du musée, de découvrir la « science en train de se faire » au regard des prémices de cette instruction spécifique qu’est la science « physique ». Initiée dès l’école primaire sous la IIIe République, ses évolutions sont grandissantes et concernent également l’enseignement secondaire, du lycée napoléonien aux méthodes actuelles. Trois axes structurent le propos : l’optique, les poids et mesures et l’électricité. Aux côtés des instruments spectaculaires, vous retrouverez des manuels scolaires, des photographies, du matériel didactique et des travaux d’élèves : près de 130 objets qui permettent une recontextualisation complète.
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée industriel de la corderie Vallois ouvre les coulisses des chantiers prioritaires au sortir de la Seconde Guerre mondiale jusque dans les années 1950. Lire l’article Renseignements au 02 35 74 35 35 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
L’exposition des dessins de Joseph Le Dieu (1815-1880) a été imaginée comme une véritable promenade dans la moitié sud du département de la Manche, du Coutançais à l’Avranchin. L’artiste a dessiné à Saint-Pair, à la mare de Bouillon, à Granville, à Saint-James, à Avranches, à Gratot et dans la campagne environnante. Le regard attentif et observateur de Joseph Le Dieu, au-delà de la recherche du pittoresque et de l'approche romantique de son époque, rend ainsi compte de cette société provinciale, rurale et littorale sur laquelle il existe peu de documentation. En dehors de l'intérêt archéologique et ethnographique qu'ils suscitent, et
Peintre figuratif formé à Paris selon les préceptes du retour à l’ordre, il vécut une révolution artistique majeure lors de son installation à Saint-Tropez auprès de Simone Armando-Barbier. Suivant la trace des postimpressionnistes et des fauves, il s’est imprégné de la lumière du midi pour produire des œuvres lumineuses, élégantes et délicates imprégnées de la forte personnalité de leur créateur et d’une individualité qui le classe à part dans sa génération. L’exposition Jacques Cordier de Saint-Tropez à Trouville, héritage et contraste présente une face totalement méconnue de la création du peintre, les littoraux de Normandie et du nord de l’Europe
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée de la Céramique s’intéresse aux dimensions matérielles et sensorielles de la terre brisée, réparée, sublimée et à la symbolique de la céramique cassée. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
Durement frappées par les destructions allemandes de 1940, puis par les bombardements allés de 1942-1944, les agglomérations de Rouen et d’Elbeuf ne sont pas indemnes de la Seconde Guerre mondiale. Comment reconstruire ? À Travers des photographies, des archives, des témoignages et des objets, l’exposition « Reconstruire… la ville propose d’observer l’architecture des années 1950. Renseignements au 02 32 96 30 40 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Entrée de la rue des Martyrs, Fabrique des Savoirs / RMM
Les maisons d’écrivains suscitent beaucoup de curiosité et ont fait l’objet de transformation pour pouvoir accueillir du public. Le musée Flaubert et d’histoire de la médecine présente des maquettes, des costumes, des objets insolites qui ont appartenu à des auteurs venus en Normandie. Renseignements au 02 76 30 39 90 Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Cabinet de travai lde Flaubert à Croisset, Georges-Antoine Rochegrosse, 1874, collection Pavillon Flaubert / RMM
Dans une chambre de Port-au-Prince, à la lumière d’une bougie, Zily et Ferah s’aiment, vibrent, dansent, se souviennent et se déchirent, au rythme d’une ville en proie à la violence. Elle ne veut pas quitter Port-au-Prince sans lui ; Ce dernier qui se sent utile ici, ne s’y résoud pas. Pourtant, ils continuent à faire entendre un chant d’amour. Comment s’aimer dans une ville qui s’effondre ? Comment Jourdan aimer sa ville en étant forcé d’envisager de la fuir ? À la fois poétique, sensuelle, drôle, grave et d’une grande délicatesse, la pièce fait entendre les rumeurs de la ville,
C’est l’histoire de Leticia née Larry King, de son assassinat par Brandon dont elle est amoureuse et de tous les personnages qui gravitent autour. C’est une histoire d’amour et de courage qui finit mal, une triste histoire de transphobie. Inspirée par le roman intime et poétique de Simon Boulerice autour de ce drame, Caroline Guyot propose un théâtre d’images et de matière avec au plateau, quatre interprètes, musiciens et musiciennes, danseuse de Krump et comédiens marionnettistes. En donnant voix et corps à Leticia et à ses aspirations profondes, ce spectacle en dévoile toute la beauté. Au cœur de cette histoire,
C’est l’histoire authentique et inspirante d’un groupe de mineurs anglais de l’entre-deux-guerres qui ont décidé de plonger dans le monde de l’art. Ces hommes, travaillant dans les dures conditions des mines de charbon, ont ressenti le besoin de s’exprimer et de capturer la beauté de leur quotidien à travers la peinture. Rapidement, ils ont abandonné la théorie pour se consacrer à la pratique, révélant un talent artistique surprenant. Leur passion et leur persévérance les ont menés à fonder leur propre mouvement artistique : le Ashington Group. Souvent appelés les « peintres au charbon », ils ont su transformer leur réalité
De l’explosion du coeur des étoiles, de leurs résidus, naissent des pulsars, ces objets célestes tournant sur euxmêmes extrêmement vite. Pour la chorégraphe Maud Blandel, ce chaos cosmique en appelle un autre, plus intime : le souvenir de la déflagration des deux balles que son père se tire luimême dans le coeur alors qu’elle n’est encore qu’une enfant. Mue par les phénomènes de dégénérescence – qu’ils soient stellaires, psychiques ou collectifs – Maud Blandel imagine une chorégraphie à l’exigence formelle venant interroger notre perception : face à un corps qui s’effondre, que perçoit-on tellement ? Convoquant un dessin animé «
Laura Domenge invite à passer la nuit avec elle pour raconter quelques élucubrations nocturnes et la vie de cette jeune insomniaque féministe écolo. Durée : 1h15 Tarifs : 10,90 €, 5,40 € Réservation au 02 35 36 95 80 ou en ligne Photo : Fifou Aller au spectacle en transport en commun avec le réseau Astuce
Clemersine a quitté Haïti. Elle laisse sa radio constamment allumée, et l’écoute en passant nerveusement d’une fréquence à l’autre, comme si elle attendait une nouvelle en particulier. Poétesse et militante haïtienne, elle vit maintenant à Brooklyn, seule avec ces voix qui diffusent l’intense, l’espérance et l’absurde. Elle est désormais loin d’un pays pour lequel elle s’est battue. Vacillant entre colère et nostalgie, elle s’accroche aux sons, aux odeurs, et au rêve de liberté. Sur scène, la danseuse Amandine Saint-Martin, engagée dans la sauvegarde des traditions de l’île, et la chanteuse Charline Jean Gilles, donnent voix et corps à ce récit
Une voix douce et enveloppante, des textes qui parlent du temps qui passe, des rêves inassouvis et des désirs éphémères, tout cela servi par une musique plus complexe qu’il n’y paraît : c’est le répertoire du violoniste, Manuel Decocq. Réservation au 02 31 30 48 00 ou en ligne Photo : DR
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée des Beaux-Arts de Rouen présente une exposition consacrée à l’incendie de la flèche de la cathédrale de Rouen en 1822 et aux débats autour de la reconstruction de l’édifice longtemps le plus haut du monde. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou sur www.mbarouen.fr Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce photo : Vue de la flèche avec le premier clocheton contemplé par le ferronnier Ferdinand Marrou, Albert Witz, 1881, collection Rijksmuseum d'Amsterdam
Engagé dans une démarche artistique forte, Théo Ould bouscule les styles avec des arrangements et des créations aux accents parfois électro. Il exploite toutes les possibilités de l’instrument jusqu’à ses limites et nous fait entendre à travers son piano à bretelles toutes les musiques qu’il affectionne de Bach à Régis Campo en passant par Mozart. Réservation au 02 35 98 45 05 ou sur www.letincelle-rouen.fr Photo : Lisa Rize Aller au spectacle en transport en commun avec le réseau Astuce
Cette exposition propose, grâce aux fonds remarquables du musée, de découvrir la « science en train de se faire » au regard des prémices de cette instruction spécifique qu’est la science « physique ». Initiée dès l’école primaire sous la IIIe République, ses évolutions sont grandissantes et concernent également l’enseignement secondaire, du lycée napoléonien aux méthodes actuelles. Trois axes structurent le propos : l’optique, les poids et mesures et l’électricité. Aux côtés des instruments spectaculaires, vous retrouverez des manuels scolaires, des photographies, du matériel didactique et des travaux d’élèves : près de 130 objets qui permettent une recontextualisation complète.
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée industriel de la corderie Vallois ouvre les coulisses des chantiers prioritaires au sortir de la Seconde Guerre mondiale jusque dans les années 1950. Lire l’article Renseignements au 02 35 74 35 35 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
L’exposition des dessins de Joseph Le Dieu (1815-1880) a été imaginée comme une véritable promenade dans la moitié sud du département de la Manche, du Coutançais à l’Avranchin. L’artiste a dessiné à Saint-Pair, à la mare de Bouillon, à Granville, à Saint-James, à Avranches, à Gratot et dans la campagne environnante. Le regard attentif et observateur de Joseph Le Dieu, au-delà de la recherche du pittoresque et de l'approche romantique de son époque, rend ainsi compte de cette société provinciale, rurale et littorale sur laquelle il existe peu de documentation. En dehors de l'intérêt archéologique et ethnographique qu'ils suscitent, et
Peintre figuratif formé à Paris selon les préceptes du retour à l’ordre, il vécut une révolution artistique majeure lors de son installation à Saint-Tropez auprès de Simone Armando-Barbier. Suivant la trace des postimpressionnistes et des fauves, il s’est imprégné de la lumière du midi pour produire des œuvres lumineuses, élégantes et délicates imprégnées de la forte personnalité de leur créateur et d’une individualité qui le classe à part dans sa génération. L’exposition Jacques Cordier de Saint-Tropez à Trouville, héritage et contraste présente une face totalement méconnue de la création du peintre, les littoraux de Normandie et du nord de l’Europe
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée de la Céramique s’intéresse aux dimensions matérielles et sensorielles de la terre brisée, réparée, sublimée et à la symbolique de la céramique cassée. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
Durement frappées par les destructions allemandes de 1940, puis par les bombardements allés de 1942-1944, les agglomérations de Rouen et d’Elbeuf ne sont pas indemnes de la Seconde Guerre mondiale. Comment reconstruire ? À Travers des photographies, des archives, des témoignages et des objets, l’exposition « Reconstruire… la ville propose d’observer l’architecture des années 1950. Renseignements au 02 32 96 30 40 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Entrée de la rue des Martyrs, Fabrique des Savoirs / RMM
Les maisons d’écrivains suscitent beaucoup de curiosité et ont fait l’objet de transformation pour pouvoir accueillir du public. Le musée Flaubert et d’histoire de la médecine présente des maquettes, des costumes, des objets insolites qui ont appartenu à des auteurs venus en Normandie. Renseignements au 02 76 30 39 90 Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Cabinet de travai lde Flaubert à Croisset, Georges-Antoine Rochegrosse, 1874, collection Pavillon Flaubert / RMM
Freaks, c’est son nom de plume. Originaire de Picardie, cette artiste de 27 ans est venue au Havre il y a une petite dizaine d’années dans le but d’intégrer l’école d’art. Expérience peu concluante, elle a quitté cette dernière un an plus tard avec le désir de travailler et d’apprendre en autonomie. Énormément de pratique et de tutos techniques lui ont permis d’évoluer et de trouver un véritable style. Elle présente une rétrospective de son travail. Lire l'article Renseignements au 02 35 48 98 25 ou sur www.le-cem.com
Dans une chambre de Port-au-Prince, à la lumière d’une bougie, Zily et Ferah s’aiment, vibrent, dansent, se souviennent et se déchirent, au rythme d’une ville en proie à la violence. Elle ne veut pas quitter Port-au-Prince sans lui ; Ce dernier qui se sent utile ici, ne s’y résoud pas. Pourtant, ils continuent à faire entendre un chant d’amour. Comment s’aimer dans une ville qui s’effondre ? Comment Jourdan aimer sa ville en étant forcé d’envisager de la fuir ? À la fois poétique, sensuelle, drôle, grave et d’une grande délicatesse, la pièce fait entendre les rumeurs de la ville,
Cette pièce fait suite au spectacle « J’ai trop peur ». Le garçon de 10 ans est arrivé en sixième. Est-il dans la bonne sixième ? Va-t-il rester avec ses copains de CM2 ? Est-il populaire ? De nouveau, inquiétudes et étonnements vont traverser son parcours durant cette première année de collège. C’est vif et réjouissant. Durée : 50 minutes À partir de 8 ans Tarifs : de 10 à 5 € Réservation au 02 35 29 22 81 ou sur www.theatrelepassage.fr Photo : Christophe Raynaud de Lage
Histrionique : terme désignant un comportement exagéré visant à attirer l’attention sur soi, dans le but de séduire. Bien que peu connu, ce mot est utilisé de manière abusive pour discréditer les femmes victimes de violences sexuelles, suggérant que leur comportement serait la cause de leur agression… Pour le dénoncer, cinq personnalités du théâtre, Louise Brzezowska-Dudek, Nadège Cathelineau, Marie Coquille-Chambel, Séphora Haymann et Julie Ménard, montent sur scène pour raconter les mécanismes qui depuis trop d’années passent ces violences sous silence. Et quoi de mieux qu’une véritable introspection dans le milieu du théâtre, par celles qui le représentent ? Elles racontent
En 1749, Haendel compose « Music for the Royal Fireworks » pour accompagner le feu d’artifice grandiose qui célèbre la fin de la guerre de Succession d’Autriche. Le ciel de Londres s’embrase et une musique fastueuse s’élève. Haendel enrichit même l’orchestration pour couvrir le bruit des détonations, alors que les carrosses se bousculent pour assister aux réjouissances ! C’est cet esprit de fête que l’orchestre de l’Opéra célèbre sous la direction de David Bates. La soprano Lucy Crowe offre sa voix chatoyante aux airs de Mozart et Vivaldi. Durée : 2 heures Tarifs : de 38 à 10 € Réservation au
Au menu de cette nouvelle cartographie de Frédéric Ferrer : le lapin. Un sujet à vif, tant cet animal est un marqueur du processus d’extinction du vivant, tant la question existentielle qui nous taraude tous demeure d’actualité : « le lapin est-il crétin ? ». Est-ce le comédien qui est agrégé de géographie ou le géographe qui s’en est venu sur les planches ? Qu’importe, Frédéric Ferrer fait feu des deux bois, instruisant avec compétence, tout en distrayant avec talent et mettant en garde sur les folies du monde. Et pour ce faire, il prend l’exemple du lapin, dans un
Figure de proue de la nouvelle scène jazz décomplexée, la batteuse et compositrice Anne Paceo ne cesse de se réinventer, puisant son inspiration au-delà des frontières. « Rewind » (rembobiner) est un retour aux sources, à ses premières amours musicales, à la lisière du hip-hop, du jazz, du groove et de la funk. Sur scène, elle choisit de remanier son répertoire entourée de Osloob, chanteur et rappeur palestinien, Tony Paeleman aux claviers et Christophe Panzani aux saxophones et effets. Lisez l'interview Durée : 1h30 Tarifs : de 22 à 5 € Réservation au 02 35 98 45 05 ou sur www.letincelle-rouen.fr
Cela aurait pu ressembler à un concert de standards latin-jazz-fusion. Mais la rencontre de ces cinq musiciens passionnés par l’univers des jeux vidéo a donné naissance à un projet totalement décalé et dans l’air du temps. La bande de Romain Greffe (César de la musique de film 2019) a donc re-composé un Nintendo concerto ou bien une Final Fantasy Suite avec l’envie forte d’entrainer le public dans une soirée ensoleillée teintée des plus grands thèmes vidéo-ludiques. Durée : 1 heure Tarifs : de 15 à 1 € Réservation au 02 79 18 99 00 ou à billetterie@montsaintaignan.fr Aller au
En pleine Seconde Guerre mondiale, un homme et sa nièce sont contraints d’accueillir chez eux un officier allemand. En signe de désapprobation, ils prennent le parti de se murer dans le silence, de faire comme si l’étranger n’était pas là. Cette pièce sur la désobéissance est un appel au réveil des consciences, au sursaut face à l’inacceptable. Publié en 1942, ce texte de Vercors est d’autant plus puissant qu’il a été diffusé dans la clandestinité. Durée : 1 heure À partir de 12 ans Tarifs : de 8 à 5 € Réservation au 02 35 05 91 57 ou
Le petit frère de Louise est autiste. La fillette ignore tout de l’autisme et s’interroge. Durée : 1 heure Réservation au 02 35 47 63 09 Photo : DR
Sept personnes sur un tréteau. Sept comédien•ne•s pour raconter une révolution, une révolution qui ressemble à la Commune de Paris Sur le tréteau, le chaos de la révolution côtoie le système chaotique de la météo. Et une tempête se prépare. Celle, inédite, d’un changement climatique, politique et social. En physique, le nombre de degrés de liberté d’un système permet de déterminer à quel point celui-ci peut évoluer sans contrainte. Et « n », c’est toujours l’inconnu. Durée : 1 heure Tarifs : de 14 à 8 € Réservation au 02 32 46 64 47 ou en ligne Photo
Mathieu Boogaerts et son tout nouveau groupe, Le Grand Piano, le neuvième album de l’artiste, « Grand Piano ». Ils proposeront, basse batterie clavier choeurs guitares et surprises, une réjouissante sélection d'anciennes et nouvelles chansons, dans des versions lumineuses et hautes en couleurs. Tarifs : de 27,50 à 18 € Réservation au 02 32 10 88 60 ou sur www.le106.com Aller au concert en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : DR
Dans « Les Noces de Figaro, la Comtesse Almaviva se languit de son mari qui préfère courir après Barberine, la fille du jardinier, et Suzanne, la soubrette. Mais cette dernière doit épouser Figaro, le valet du Comte, tandis que le jeune Chérubin, lui, courtise tout ce qui porte un jupon ! Tout ce petit monde trouvera tout de même son bonheur, après néanmoins maints quiproquos, déguisements et coups de théâtre. Inspirée de la pièce éponyme de Beaumarchais, cette « folle » et malicieuse description des relations humaines – ici, les domestiques font la leçon à leurs maîtres et les femmes remettent les
« La Claque » est l’histoire d’un chef d’orchestre d’applaudissements. En 1895 dans un théâtre parisien, Auguste Levasseur, chef de claque, dirige une troupe de complices, qui, mêlés au public, sont chargés d'applaudir aux moments opportuns. Une pièce applaudie est une pièce à succès, or, à deux heures d'une grande première, Auguste est abandonné par sa claque. Il charge alors Fauvette, musicienne de l'orchestre, et Dugommier, régisseur du théâtre, de trouver des remplaçants pour sauver la représentation du soir. Il ne reste plus qu'une heure trente avant le début de la première pour faire répéter les claqueurs novices en leur
Figure montante de la danse contemporaine, Leïla Ka signe sa première pièce de groupe. Dans « Maldonne, la chorégraphe y dévoile et habille, dans tous les sens du terme, les fragilités, les révoltes et les identités multiples portées par cinq danseuses et quarante robes. Durée : 55 minutes Tarifs : de 18 à 5 € Réservation au 02 32 91 94 94 ou sur www.lerivegauche76.fr Aller au spectacle en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Nora Houguenade
Le burlesque, la folie, et même un peu de poésie seront au rendez-vous de ce nouveau spectacle des Frères Taloche. Au programme : des pilotes d’avion peu ordinaires, un dentiste débutant, un comédien (trop) amateur, une exposition photo sur le Moyen-Âge, un cours sur les énergies renouvelables… Durée : 1h30 Tarifs : de 20 à 10 € Réservation au 02 32 94 90 23 Photo : Pascal Ito
C’est la 15e tournée des des « Kings of fiesta » avec un spectacle composé de tubes festifs dans une ambiance de fête « anti- morosité ». Durée : 1h30 Tarifs : de 30 à 25 € Réservation au 02 35 31 07 15 ou à service.culturel@bolbec.fr Photo : Collectif Métissé
La musique de Claire Michael dégage une intensité qui dépasse les frontières du jazz. Multi-instrumentiste, elle fusionne tradition et modernité, s’inspirant de Coltrane et Shorter tout en explorant un jazz libre et contemporain. Chaque concert est une immersion où saxophone, flûte et voix tissent une atmosphère envoûtante. Tarifs : 12 €, 10 € Réservation au 02 35 23 65 36 Photo : Marion Tisserand Aller au concert en transport en commun avec le réseau Astuce
Clemersine a quitté Haïti. Elle laisse sa radio constamment allumée, et l’écoute en passant nerveusement d’une fréquence à l’autre, comme si elle attendait une nouvelle en particulier. Poétesse et militante haïtienne, elle vit maintenant à Brooklyn, seule avec ces voix qui diffusent l’intense, l’espérance et l’absurde. Elle est désormais loin d’un pays pour lequel elle s’est battue. Vacillant entre colère et nostalgie, elle s’accroche aux sons, aux odeurs, et au rêve de liberté. Sur scène, la danseuse Amandine Saint-Martin, engagée dans la sauvegarde des traditions de l’île, et la chanteuse Charline Jean Gilles, donnent voix et corps à ce récit
Cette exposition propose, grâce aux fonds remarquables du musée, de découvrir la « science en train de se faire » au regard des prémices de cette instruction spécifique qu’est la science « physique ». Initiée dès l’école primaire sous la IIIe République, ses évolutions sont grandissantes et concernent également l’enseignement secondaire, du lycée napoléonien aux méthodes actuelles. Trois axes structurent le propos : l’optique, les poids et mesures et l’électricité. Aux côtés des instruments spectaculaires, vous retrouverez des manuels scolaires, des photographies, du matériel didactique et des travaux d’élèves : près de 130 objets qui permettent une recontextualisation complète.
« Noïse Story » (histoire de bruits), c’est le détournement d’une basse électrique et d’une clarinette, une invitation à manipuler librement des jouets et objets du quotidien dans le but de créer ensemble, artistes du Collectif Rotule et enfants, une matière sonore vivante et insolite. Durée : 40 minutes À partir de 18 mois Tarifs : 8 €, 6 € Réservation au 02 32 41 81 31 et sur http://eclat.ville-pont-audemer.fr Photo : Laurent Gaillardon
Peintre figuratif formé à Paris selon les préceptes du retour à l’ordre, il vécut une révolution artistique majeure lors de son installation à Saint-Tropez auprès de Simone Armando-Barbier. Suivant la trace des postimpressionnistes et des fauves, il s’est imprégné de la lumière du midi pour produire des œuvres lumineuses, élégantes et délicates imprégnées de la forte personnalité de leur créateur et d’une individualité qui le classe à part dans sa génération. L’exposition Jacques Cordier de Saint-Tropez à Trouville, héritage et contraste présente une face totalement méconnue de la création du peintre, les littoraux de Normandie et du nord de l’Europe
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée des Beaux-Arts de Rouen présente une exposition consacrée à l’incendie de la flèche de la cathédrale de Rouen en 1822 et aux débats autour de la reconstruction de l’édifice longtemps le plus haut du monde. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou sur www.mbarouen.fr Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce photo : Vue de la flèche avec le premier clocheton contemplé par le ferronnier Ferdinand Marrou, Albert Witz, 1881, collection Rijksmuseum d'Amsterdam
« Zèbres », c’est l’histoire de la venue au monde d’un petit zèbre, de ceux, curieux et espiègles, qui attendent sa naissance, et de ce petit zèbre, qui prend son temps. Vient ensuite le moment de la découverte de la vie, des premiers pas, de la rencontre avec la ville et ses habitants. Le décor en noir et blanc, composé de trois blocs, se déploie peu à peu, comme un pop-up géant, pour accueillir les formes et les personnages qui peuplent cette histoire. Durée : 30 minutes À partir de 1 an Tarifs : 8 €, 6 € Réservation au 02
Avec une incroyable originalité, la compagnie Agrupación Señor Serrano raconte la mythologie grecque en croisant figurines miniatures et enjeux contemporains. Ce deuxième volet est consacré aux Amazones, une société formée uniquement de femmes libres, dotées d’un esprit communautaire et guerrier, désireuses de défendre un ordre différent. Pourquoi les Amazones ont-elles cru devoir créer une société sans hommes ? Une proposition scénique originale, qui emmène aussi du côté des Pussy Riot et des manifestantes du monde entier... Durée : 55 minutes À partir de 7 ans Tarifs : 8 €, 6 € Réservation au 02 32 41 81 31 et
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée industriel de la corderie Vallois ouvre les coulisses des chantiers prioritaires au sortir de la Seconde Guerre mondiale jusque dans les années 1950. Lire l’article Renseignements au 02 35 74 35 35 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
L’exposition des dessins de Joseph Le Dieu (1815-1880) a été imaginée comme une véritable promenade dans la moitié sud du département de la Manche, du Coutançais à l’Avranchin. L’artiste a dessiné à Saint-Pair, à la mare de Bouillon, à Granville, à Saint-James, à Avranches, à Gratot et dans la campagne environnante. Le regard attentif et observateur de Joseph Le Dieu, au-delà de la recherche du pittoresque et de l'approche romantique de son époque, rend ainsi compte de cette société provinciale, rurale et littorale sur laquelle il existe peu de documentation. En dehors de l'intérêt archéologique et ethnographique qu'ils suscitent, et
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée de la Céramique s’intéresse aux dimensions matérielles et sensorielles de la terre brisée, réparée, sublimée et à la symbolique de la céramique cassée. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
Durement frappées par les destructions allemandes de 1940, puis par les bombardements allés de 1942-1944, les agglomérations de Rouen et d’Elbeuf ne sont pas indemnes de la Seconde Guerre mondiale. Comment reconstruire ? À Travers des photographies, des archives, des témoignages et des objets, l’exposition « Reconstruire… la ville propose d’observer l’architecture des années 1950. Renseignements au 02 32 96 30 40 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Entrée de la rue des Martyrs, Fabrique des Savoirs / RMM
Les maisons d’écrivains suscitent beaucoup de curiosité et ont fait l’objet de transformation pour pouvoir accueillir du public. Le musée Flaubert et d’histoire de la médecine présente des maquettes, des costumes, des objets insolites qui ont appartenu à des auteurs venus en Normandie. Renseignements au 02 76 30 39 90 Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Cabinet de travai lde Flaubert à Croisset, Georges-Antoine Rochegrosse, 1874, collection Pavillon Flaubert / RMM
Avec une incroyable originalité, la compagnie Agrupación Señor Serrano raconte la mythologie grecque en croisant figurines miniatures et enjeux contemporains. Ce deuxième volet est consacré aux Amazones, une société formée uniquement de femmes libres, dotées d’un esprit communautaire et guerrier, désireuses de défendre un ordre différent. Pourquoi les Amazones ont-elles cru devoir créer une société sans hommes ? Une proposition scénique originale, qui emmène aussi du côté des Pussy Riot et des manifestantes du monde entier... Durée : 55 minutes À partir de 7 ans Tarifs : 8 €, 6 € Réservation au 02 32 41 81 31 et
Catherine est pépiniériste à Orbec. Gentille, un peu naïve, vulnérable, elle va, peu à peu, gagner en assurance et indépendance et faire face à trois méchantes sorcières, sans scrupules et sans la moindre conscience écologique. Il y a Perrine, une vendeuse, qui vante les mérites de l’agent orange, le défoliant meurtrier et durablement polluant. Corinne, sa prétendue cousine, qui gaspille l’eau et ne boit que des sodas, et tente de pomper sa nappe phréatique. Caroline qui veut la corrompre et l’attraper dans les mailles des filets de la mode. En fait, Perrine, Corinne, et Caroline sont des pseudos et
Complices de longue date, Bruno Chevillon, Michele Rabbia et Régis Huby développent chacun un rapport très intime avec l’acoustique de leurs instruments associée à l’électronique. En résulte une alchimie sonore riche de timbres, de couleurs et de dynamiques lorsqu’ils se produisent ensemble. Ils convient le clarinettiste Pierre-François Roussillon pour ce projet exclusivement basé sur l’improvisation et l’exploration sonore. Réservation au 02 31 30 48 00 ou en ligne Photo : DR
« Noïse Story » (histoire de bruits), c’est le détournement d’une basse électrique et d’une clarinette, une invitation à manipuler librement des jouets et objets du quotidien dans le but de créer ensemble, artistes du Collectif Rotule et enfants, une matière sonore vivante et insolite. Durée : 40 minutes À partir de 18 mois Tarifs : 8 €, 6 € Réservation au 02 32 41 81 31 et sur http://eclat.ville-pont-audemer.fr Photo : Laurent Gaillardon
Au menu de cette nouvelle cartographie de Frédéric Ferrer : le lapin. Un sujet à vif, tant cet animal est un marqueur du processus d’extinction du vivant, tant la question existentielle qui nous taraude tous demeure d’actualité : « le lapin est-il crétin ? ». Est-ce le comédien qui est agrégé de géographie ou le géographe qui s’en est venu sur les planches ? Qu’importe, Frédéric Ferrer fait feu des deux bois, instruisant avec compétence, tout en distrayant avec talent et mettant en garde sur les folies du monde. Et pour ce faire, il prend l’exemple du lapin, dans un
Histrionique : terme désignant un comportement exagéré visant à attirer l’attention sur soi, dans le but de séduire. Bien que peu connu, ce mot est utilisé de manière abusive pour discréditer les femmes victimes de violences sexuelles, suggérant que leur comportement serait la cause de leur agression… Pour le dénoncer, cinq personnalités du théâtre, Louise Brzezowska-Dudek, Nadège Cathelineau, Marie Coquille-Chambel, Séphora Haymann et Julie Ménard, montent sur scène pour raconter les mécanismes qui depuis trop d’années passent ces violences sous silence. Et quoi de mieux qu’une véritable introspection dans le milieu du théâtre, par celles qui le représentent ? Elles racontent
En 1749, Haendel compose « Music for the Royal Fireworks » pour accompagner le feu d’artifice grandiose qui célèbre la fin de la guerre de Succession d’Autriche. Le ciel de Londres s’embrase et une musique fastueuse s’élève. Haendel enrichit même l’orchestration pour couvrir le bruit des détonations, alors que les carrosses se bousculent pour assister aux réjouissances ! C’est cet esprit de fête que l’orchestre de l’Opéra célèbre sous la direction de David Bates. La soprano Lucy Crowe offre sa voix chatoyante aux airs de Mozart et Vivaldi. Durée : 2 heures Tarifs : de 38 à 10 € Réservation au
Arman Méliès, figure singulière de la chanson française, s’entoure du quatuor Altaïs et de la chorale Au cours de l’Iton, pour offrir une relecture vibrante de ses morceaux et présenter son nouvel opus « Ambrosia ». Acclamé pour son écriture ciselée et ses compositions lumineuses, Arman Méliès marque un retour en grâce avec ce dixième album. L’occasion unique de découvrir ou redécouvrir un univers poétique où mélancolie et flamboyance se rencontrent dans une alchimie rare. Un rendez-vous incontournable pour les amateurs de musique et d’émotion pure. Durée : 1h30 Tarifs : 14 €, 7 € Réservation à choraleacdi@gmail.com Photo : Yann Orhan
Elle est l’une des danseuses et chorégraphes de flamenco les plus en vue du moment. L’Espagnole Rocío Molina a le sens de l’harmonie et de la rupture, et sa danse, toujours au bord du déséquilibre, impose une puissance féminine inédite. Tresse impeccable, toute de noire vêtue, visage grave, accompagnée de deux guitaristes hors pairs, elle fait trembler l’espace et le temps en un langage chorégraphique complet où les bras complètent avec élégance et fluidité la percussion des pieds sur le sol. Deuxième volet d’une trilogie annoncée autour de la guitare, « Al fondo riela (Lo Otro del Uno) » succède à I »nicio
Qui se souvient du musicien afro-américain Blind Willie Johnson décédé en 1945 ? Son titre « Dark was the night » fut pourtant envoyé dans l’espace dans les années 1970, gravé sur un disque phonographique pour la postérité et d’éventuelles vies extra-terrestres en mémoire de notre civilisation. Ce qui n’empêcha pas le bluesman de mourir prématurément, oublié de tous et dans le dénuement le plus total. Emmanuel Meirieu part de cette histoire vraie pour élaborer un spectacle-requiem d’une ambition phénoménale fait de parallèles et de correspondances bouleversantes, nimbé d’une musique atmosphérique empruntant aux titres en orbite. Il exhume la vie de cet artiste instinctif
Sur scène, des robes. De soirée, de mariée, de chambre, de tous les jours, de bal. À paillettes, longues, bouffantes, ajustées, trop grandes. Des robes qui volent, qui brillent, qui craquent, qui tournent, qui traînent ou qui tombent. Des robes Empires, à baleines, de celles qui valsent sur Léonard Cohen ou bien des robes en pleurs, mal cousues, légères, sans armatures, nouées sur le ventre. Et puis des robes seules, rebelles, enjouées sur fond de basses électroniques. Leïla Ka propose sa première pièce de groupe, y dévoile et habille, dans tous les sens du terme, les fragilités, les révoltes et
Le Syndrome de Michel, c’est un séminaire sur la déconstruction de la masculinité toxique autour de Michel Sardou, plus efficace que la javel et le bicarbonate il élimine 99,9% des traces de CNews et du Connemara. Durée : 1h20 Tarifs : de 30 à 6 € Réservation au 02 35 19 45 74 ou en ligne Photo : Laurent Sigwald
C'est une soirée hip-hop, rap et électro au Kalif avec Tasco, artiste rouennais qui scande ses premières rimes au sein d'une bande de potes à l'adolescence. Puis, c'est en solo qu'il poursuit sa route musicale au tournant de l'âge adulte. Sa musique, parfois samplée, s'inspire des rythmes trap, de l'électro ou même des sonorités caribéennes. Sheuv23 (en photo) est un artiste rouennais aux multiples influences, allant d'Anderson Paak à Fixpen Sill ou encore Serge Gainsbourg. De la baraque à frites (histoire vraie) à la première partie de Kery James, en passant par le Demi-Festival, il a accumulé de nombreuses expériences
Figure de proue de la nouvelle scène jazz décomplexée, la batteuse et compositrice Anne Paceo ne cesse de se réinventer, puisant son inspiration au-delà des frontières. « Rewind » (rembobiner) est un retour aux sources, à ses premières amours musicales, à la lisière du hip-hop, du jazz, du groove et de la funk. Sur scène, elle choisit de remanier son répertoire entourée de Osloob, chanteur et rappeur palestinien, Tony Paeleman aux claviers et Christophe Panzani aux saxophones et effets. Lisez l'interview Durée : 1h30 Tarifs : 17 €, 14 € Réservation au 02 32 57 72 10 ou sur www.lacidrerie.beuzeville.fr Photo
« L’Avare » est une pièce sur la mort et l’argent, qui parle du temps qui passe et se moque de ceux qui croient pouvoir y échapper. Molière y dépeint avec précision, dérision et excès, toute la folie d’un homme gagné par l‘avarice. Harpagon interprété avec brio par Olivier Broche impose à ses enfants et ses servants une austérité qui tourne au cauchemar. Durée : 2h10 À partir de 12 ans Tarifs : de 10 à 2 € Réservation au 02 32 96 95 78 ou à billetterie.ecpt@pierrotin.fr Photo : Alban van Wassenhove
Les Peintres au charbon relate l’histoire vraie d’un groupe de mineurs, dans l’entre-deux-guerres, décidant de se familiariser avec le monde de l’art. Remplaçant rapidement la théorie par la pratique, ils se découvriront un réel talent, allant jusqu’à créer leur propre mouvement : The Ashington Group. Cette histoire vraie tient lieu d’anecdote extraordinaire. Non parce qu’un groupe d’hommes se découvre une passion commune, mais parce que ces hommes sont mineurs, prolétaires, incultes et se découvrent du talent. Parce que, peut-être, mille autres comme eux auraient pu s’en découvrir mais passeront à côté de cette expérience. Se pose la question de la
Issu d’une famille de musiciens, Mario Ponce-Enrile commence le chant dans la chorale Ateneo de Manila avant de rejoindre, à 9 ans, le chœur d’enfants de Nana Vasconcelos en tournée. Il étudie ensuite la batterie en Italie avec Giulio Capiozzo et se perfectionne à Paris auprès de George Brown, encouragé par Steve Grossman. Installé à Paris depuis 2003, il navigue entre production hip-hop, théâtre et jazz. Tarif : 10 € Réservation au 02 35 80 20 62 Photo : DR Aller au concert en transport en commun avec le réseau Astuce
Au sein d’une installation de textures à écouter, toucher, sentir, ressentir, voir, le public évolue, s’imprègne et rencontre trois curieux personnages. Cette création interroge la frontière mouvante entre le milieu intérieur, nous-même et le milieu extérieur, les autres et le monde. Chaque expérience de spectateur sera singulière, le spectacle, « Chemins faisant… » vu et vécu sera propre à chacun. Durée : 35 minutes À partir de 6 mois Tarifs : 8 €, 6 € Réservation au 02 32 41 81 31 et sur http://eclat.ville-pont-audemer.fr Photo : Virginie Meigné
Cette exposition propose, grâce aux fonds remarquables du musée, de découvrir la « science en train de se faire » au regard des prémices de cette instruction spécifique qu’est la science « physique ». Initiée dès l’école primaire sous la IIIe République, ses évolutions sont grandissantes et concernent également l’enseignement secondaire, du lycée napoléonien aux méthodes actuelles. Trois axes structurent le propos : l’optique, les poids et mesures et l’électricité. Aux côtés des instruments spectaculaires, vous retrouverez des manuels scolaires, des photographies, du matériel didactique et des travaux d’élèves : près de 130 objets qui permettent une recontextualisation complète.
Peintre figuratif formé à Paris selon les préceptes du retour à l’ordre, il vécut une révolution artistique majeure lors de son installation à Saint-Tropez auprès de Simone Armando-Barbier. Suivant la trace des postimpressionnistes et des fauves, il s’est imprégné de la lumière du midi pour produire des œuvres lumineuses, élégantes et délicates imprégnées de la forte personnalité de leur créateur et d’une individualité qui le classe à part dans sa génération. L’exposition Jacques Cordier de Saint-Tropez à Trouville, héritage et contraste présente une face totalement méconnue de la création du peintre, les littoraux de Normandie et du nord de l’Europe
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée des Beaux-Arts de Rouen présente une exposition consacrée à l’incendie de la flèche de la cathédrale de Rouen en 1822 et aux débats autour de la reconstruction de l’édifice longtemps le plus haut du monde. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou sur www.mbarouen.fr Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce photo : Vue de la flèche avec le premier clocheton contemplé par le ferronnier Ferdinand Marrou, Albert Witz, 1881, collection Rijksmuseum d'Amsterdam
Alors qu’il marche le long d’une grève de bord de mer, un enfant découvre, en contournant une dune, une barque abandonnée à demi-immergée. Intrigué par cette découverte, il décide, le temps d’un cycle de marée, de redonner vie à cette épave pour partir à l’aventure. Alliant musique, images animées et marionnettes, ce spectacle sans parole est une magnifique évocation de l’enfance, lieu du rêve et de tous les possibles. Durée : 40 minutes À partir de 3 ans Tarifs : 5 €, 3 € Réservation au 02 79 18 99 00 ou à billetterie@montsaintaignan.fr Aller au spectacle en transport
Au sein d’une installation de textures à écouter, toucher, sentir, ressentir, voir, le public évolue, s’imprègne et rencontre trois curieux personnages. Cette création interroge la frontière mouvante entre le milieu intérieur, nous-même et le milieu extérieur, les autres et le monde. Chaque expérience de spectateur sera singulière, le spectacle, « Chemins faisant… » vu et vécu sera propre à chacun. Durée : 35 minutes À partir de 6 mois Tarifs : 8 €, 6 € Réservation au 02 32 41 81 31 et sur http://eclat.ville-pont-audemer.fr Photo : Virginie Meigné
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée industriel de la corderie Vallois ouvre les coulisses des chantiers prioritaires au sortir de la Seconde Guerre mondiale jusque dans les années 1950. Lire l’article Renseignements au 02 35 74 35 35 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
L’exposition des dessins de Joseph Le Dieu (1815-1880) a été imaginée comme une véritable promenade dans la moitié sud du département de la Manche, du Coutançais à l’Avranchin. L’artiste a dessiné à Saint-Pair, à la mare de Bouillon, à Granville, à Saint-James, à Avranches, à Gratot et dans la campagne environnante. Le regard attentif et observateur de Joseph Le Dieu, au-delà de la recherche du pittoresque et de l'approche romantique de son époque, rend ainsi compte de cette société provinciale, rurale et littorale sur laquelle il existe peu de documentation. En dehors de l'intérêt archéologique et ethnographique qu'ils suscitent, et
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée de la Céramique s’intéresse aux dimensions matérielles et sensorielles de la terre brisée, réparée, sublimée et à la symbolique de la céramique cassée. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
Durement frappées par les destructions allemandes de 1940, puis par les bombardements allés de 1942-1944, les agglomérations de Rouen et d’Elbeuf ne sont pas indemnes de la Seconde Guerre mondiale. Comment reconstruire ? À Travers des photographies, des archives, des témoignages et des objets, l’exposition « Reconstruire… la ville propose d’observer l’architecture des années 1950. Renseignements au 02 32 96 30 40 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Entrée de la rue des Martyrs, Fabrique des Savoirs / RMM
Les maisons d’écrivains suscitent beaucoup de curiosité et ont fait l’objet de transformation pour pouvoir accueillir du public. Le musée Flaubert et d’histoire de la médecine présente des maquettes, des costumes, des objets insolites qui ont appartenu à des auteurs venus en Normandie. Renseignements au 02 76 30 39 90 Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Cabinet de travai lde Flaubert à Croisset, Georges-Antoine Rochegrosse, 1874, collection Pavillon Flaubert / RMM
Elle est l’une des danseuses et chorégraphes de flamenco les plus en vue du moment. L’Espagnole Rocío Molina a le sens de l’harmonie et de la rupture, et sa danse, toujours au bord du déséquilibre, impose une puissance féminine inédite. Tresse impeccable, toute de noire vêtue, visage grave, accompagnée de deux guitaristes hors pairs, elle fait trembler l’espace et le temps en un langage chorégraphique complet où les bras complètent avec élégance et fluidité la percussion des pieds sur le sol. Deuxième volet d’une trilogie annoncée autour de la guitare, « Al fondo riela (Lo Otro del Uno) » succède à I »nicio
Le Freak-Marionnettes Circus est un spectacle proposé par une troupe de marionnettes « freaks » ratées ou cassées, doudous, poupées et peluches déchirés ou mutilés, qui n’ont pas trouvé leur place dans un spectacle « normal ». Bref, des marionnettes de foire. Pour toucher un public plus nombreux et gagner des followers sur les réseaux sociaux, le Cirque engage Kelly & Ben, deux influenceurs acrobates du selfie. Mais leur condescendance ne fait pas bon ménage avec la fierté des Freaks… Durée : 1h10 À partir de 7 ans Tarif : 6 € Réservation au 02 32 40 70 40
Arman Méliès, figure singulière de la chanson française, s’entoure du quatuor Altaïs et de la chorale Au cours de l’Iton, pour offrir une relecture vibrante de ses morceaux et présenter son nouvel opus « Ambrosia ». Acclamé pour son écriture ciselée et ses compositions lumineuses, Arman Méliès marque un retour en grâce avec ce dixième album. L’occasion unique de découvrir ou redécouvrir un univers poétique où mélancolie et flamboyance se rencontrent dans une alchimie rare. Un rendez-vous incontournable pour les amateurs de musique et d’émotion pure. Durée : 1h30 Tarifs : 14 €, 7 € Réservation à choraleacdi@gmail.com Photo : Yann Orhan
Dans « Les Noces de Figaro, la Comtesse Almaviva se languit de son mari qui préfère courir après Barberine, la fille du jardinier, et Suzanne, la soubrette. Mais cette dernière doit épouser Figaro, le valet du Comte, tandis que le jeune Chérubin, lui, courtise tout ce qui porte un jupon ! Tout ce petit monde trouvera tout de même son bonheur, après néanmoins maints quiproquos, déguisements et coups de théâtre. Inspirée de la pièce éponyme de Beaumarchais, cette « folle » et malicieuse description des relations humaines – ici, les domestiques font la leçon à leurs maîtres et les femmes remettent les
Les gens parlent. Les gens parlent et ne se rendent pas compte. Que leurs mots, leurs plaisanteries, leurs avis, peuvent influencer les voix qu’il y a dans les têtes et parfois même abîmer l’amour. L’amour de soi, l’amour de l’autre. Bee est une jeune fille qui aime sa mère. Elle la trouve si belle, si forte et tellement intelligente. Mais sa mère a un corps qui fait beaucoup parler les autres. Alors, fatiguée, Bee a provoqué une catastrophe. Et depuis c’est la tempête, la tempête dans sa tête… Cette création, à la fois drôle et émouvante, libère la parole à
En 1749, Haendel compose « Music for the Royal Fireworks » pour accompagner le feu d’artifice grandiose qui célèbre la fin de la guerre de Succession d’Autriche. Le ciel de Londres s’embrase et une musique fastueuse s’élève. Haendel enrichit même l’orchestration pour couvrir le bruit des détonations, alors que les carrosses se bousculent pour assister aux réjouissances ! C’est cet esprit de fête que l’orchestre de l’Opéra célèbre sous la direction de David Bates. La soprano Lucy Crowe offre sa voix chatoyante aux airs de Mozart et Vivaldi. Durée : 2 heures Photo : Christophe Urbain
Catherine est pépiniériste à Orbec. Gentille, un peu naïve, vulnérable, elle va, peu à peu, gagner en assurance et indépendance et faire face à trois méchantes sorcières, sans scrupules et sans la moindre conscience écologique. Il y a Perrine, une vendeuse, qui vante les mérites de l’agent orange, le défoliant meurtrier et durablement polluant. Corinne, sa prétendue cousine, qui gaspille l’eau et ne boit que des sodas, et tente de pomper sa nappe phréatique. Caroline qui veut la corrompre et l’attraper dans les mailles des filets de la mode. En fait, Perrine, Corinne, et Caroline sont des pseudos et ne
Qui se souvient du musicien afro-américain Blind Willie Johnson décédé en 1945 ? Son titre « Dark was the night » fut pourtant envoyé dans l’espace dans les années 1970, gravé sur un disque phonographique pour la postérité et d’éventuelles vies extra-terrestres en mémoire de notre civilisation. Ce qui n’empêcha pas le bluesman de mourir prématurément, oublié de tous et dans le dénuement le plus total. Emmanuel Meirieu part de cette histoire vraie pour élaborer un spectacle-requiem d’une ambition phénoménale fait de parallèles et de correspondances bouleversantes, nimbé d’une musique atmosphérique empruntant aux titres en orbite. Il exhume la vie de cet artiste instinctif
En raison d'une grave avarie, le navire interstellaire d'une grande expédition se trouve contraint de faire escale dans une galaxie inconnue. L'équipe affrète un astronef et part explorer une planète sur laquelle ils vont rencontrer dinosaures, cowboy et sa grand-mère minière, cité souterraine et autres surprises. C'est l'histoire de la quête d'une source d'énergie secrète... Et du partage d'un idéal. C'est aussi l'occasion de partager en direct la confection de l'image et du son, avec le goût du risque inhérent à la fragilité des marionnettes de papier découpés, de mécanismes bricolés, de décors sur rouleaux rétroprojetés. De chahuter une batterie
En tant que concertiste, Pascal Amoyel se produit sur les grandes scènes internationales et reçoit le Grand Prix du Disque (2010) décerné par la prestigieuse Société Chopin à Varsovie, aux côtés de Martha Argerich et Nelson Freire. Créateur dans l’âme, il invente une nouvelle forme de concert théâtralisé, avec « Le pianiste aux 50 doigts », « Le jour où j’ai rencontré Franz Liszt « et « Sur les traces de Beethoven ». L’Association Résonances lui donne carte blanche pendant toute cette saison. Aujourd’hui, il joue avec la pianiste Shani Diluka des œuvres de Bach, Bartok, Ravel, Glass, Amoyel... Tarifs : de 25 € à 8