Le CEM propose, chaque année, un festival, une fête du printemps et de la musique au mois de mars. Assumant une programmation locale et émergente, il est question, lors du « CEM on Fest », de mettre en lumière le CEM et toutes ses activités avec des élèves, des groupes, des professeurs, des collectifs amis, les équipes et les bénévoles. Au programme : des ateliers et concert pour les enfants, une soirée dédiée aux élèves en ateliers du CEM, le challenge musical « Debout les morts » pour 5 groupes, un concert familial concocté par les équipes du CEM, une soirée « boule à facettes » et
5 jours de folies improvisées qui réunissent des artistes de toute la francophonie pour former autour des Improbables une véritable troupe éphémère où la Suisse, la Belgique, le Québec, l’Italie et la France sont représentés à travers des comédiens, des musiciens, des illustrateurs ou encore des chanteurs. Tarifs : de 14 à 8 € Réservation au 02 35 19 45 74 ou en ligne Photo : DR
5 jours de folies improvisées qui réunissent des artistes de toute la francophonie pour former autour des Improbables une véritable troupe éphémère où la Suisse, la Belgique, le Québec, l’Italie et la France sont représentés à travers des comédiens, des musiciens, des illustrateurs ou encore des chanteurs. Tarifs : de 14 à 8 € Réservation au 02 35 19 45 74 ou en ligne Photo : DR
5 jours de folies improvisées qui réunissent des artistes de toute la francophonie pour former autour des Improbables une véritable troupe éphémère où la Suisse, la Belgique, le Québec, l’Italie et la France sont représentés à travers des comédiens, des musiciens, des illustrateurs ou encore des chanteurs. Tarifs : de 14 à 8 € Réservation au 02 35 19 45 74 ou en ligne Photo : DR
5 jours de folies improvisées qui réunissent des artistes de toute la francophonie pour former autour des Improbables une véritable troupe éphémère où la Suisse, la Belgique, le Québec, l’Italie et la France sont représentés à travers des comédiens, des musiciens, des illustrateurs ou encore des chanteurs. Tarifs : de 14 à 8 € Réservation au 02 35 19 45 74 ou en ligne Photo : DR
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée des Beaux-Arts de Rouen présente une exposition consacrée à l’incendie de la flèche de la cathédrale de Rouen en 1822 et aux débats autour de la reconstruction de l’édifice longtemps le plus haut du monde. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou sur www.mbarouen.fr Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce photo : Vue de la flèche avec le premier clocheton contemplé par le ferronnier Ferdinand Marrou, Albert Witz, 1881, collection Rijksmuseum d'Amsterdam
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée industriel de la corderie Vallois ouvre les coulisses des chantiers prioritaires au sortir de la Seconde Guerre mondiale jusque dans les années 1950. Lire l’article Renseignements au 02 35 74 35 35 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
L’exposition des dessins de Joseph Le Dieu (1815-1880) a été imaginée comme une véritable promenade dans la moitié sud du département de la Manche, du Coutançais à l’Avranchin. L’artiste a dessiné à Saint-Pair, à la mare de Bouillon, à Granville, à Saint-James, à Avranches, à Gratot et dans la campagne environnante. Le regard attentif et observateur de Joseph Le Dieu, au-delà de la recherche du pittoresque et de l'approche romantique de son époque, rend ainsi compte de cette société provinciale, rurale et littorale sur laquelle il existe peu de documentation. En dehors de l'intérêt archéologique et ethnographique qu'ils suscitent, et
Peintre figuratif formé à Paris selon les préceptes du retour à l’ordre, il vécut une révolution artistique majeure lors de son installation à Saint-Tropez auprès de Simone Armando-Barbier. Suivant la trace des postimpressionnistes et des fauves, il s’est imprégné de la lumière du midi pour produire des œuvres lumineuses, élégantes et délicates imprégnées de la forte personnalité de leur créateur et d’une individualité qui le classe à part dans sa génération. L’exposition Jacques Cordier de Saint-Tropez à Trouville, héritage et contraste présente une face totalement méconnue de la création du peintre, les littoraux de Normandie et du nord de l’Europe
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée de la Céramique s’intéresse aux dimensions matérielles et sensorielles de la terre brisée, réparée, sublimée et à la symbolique de la céramique cassée. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
Une nuit d’insomnie où les idées noires ont le dessus sur le goût de vivre, un adolescent, seul dans sa chambre, lutte avec ses angoisses et le sommeil qui ne vient pas. Mais l’histoire ne s’arrête pas là fort heureusement car le jeune homme au fond du trou découvre alors la musique de Bob Marley, sa vie, ses chansons. Et la vie de ses chansons. Une fascination roborative qui le pousse à l’exploration. Derrière la légende du reggae et l’icône des luttes raciales dont la renommée est internationale, c’est une plongée dans une destinée hors norme, cousue d’ombre et de
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée industriel de la corderie Vallois ouvre les coulisses des chantiers prioritaires au sortir de la Seconde Guerre mondiale jusque dans les années 1950. Lire l’article Renseignements au 02 35 74 35 35 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
L’exposition des dessins de Joseph Le Dieu (1815-1880) a été imaginée comme une véritable promenade dans la moitié sud du département de la Manche, du Coutançais à l’Avranchin. L’artiste a dessiné à Saint-Pair, à la mare de Bouillon, à Granville, à Saint-James, à Avranches, à Gratot et dans la campagne environnante. Le regard attentif et observateur de Joseph Le Dieu, au-delà de la recherche du pittoresque et de l'approche romantique de son époque, rend ainsi compte de cette société provinciale, rurale et littorale sur laquelle il existe peu de documentation. En dehors de l'intérêt archéologique et ethnographique qu'ils suscitent, et
Peintre figuratif formé à Paris selon les préceptes du retour à l’ordre, il vécut une révolution artistique majeure lors de son installation à Saint-Tropez auprès de Simone Armando-Barbier. Suivant la trace des postimpressionnistes et des fauves, il s’est imprégné de la lumière du midi pour produire des œuvres lumineuses, élégantes et délicates imprégnées de la forte personnalité de leur créateur et d’une individualité qui le classe à part dans sa génération. L’exposition Jacques Cordier de Saint-Tropez à Trouville, héritage et contraste présente une face totalement méconnue de la création du peintre, les littoraux de Normandie et du nord de l’Europe
Durement frappées par les destructions allemandes de 1940, puis par les bombardements allés de 1942-1944, les agglomérations de Rouen et d’Elbeuf ne sont pas indemnes de la Seconde Guerre mondiale. Comment reconstruire ? À Travers des photographies, des archives, des témoignages et des objets, l’exposition « Reconstruire… la ville propose d’observer l’architecture des années 1950. Renseignements au 02 32 96 30 40 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Entrée de la rue des Martyrs, Fabrique des Savoirs / RMM
Les maisons d’écrivains suscitent beaucoup de curiosité et ont fait l’objet de transformation pour pouvoir accueillir du public. Le musée Flaubert et d’histoire de la médecine présente des maquettes, des costumes, des objets insolites qui ont appartenu à des auteurs venus en Normandie. Renseignements au 02 76 30 39 90 Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Cabinet de travai lde Flaubert à Croisset, Georges-Antoine Rochegrosse, 1874, collection Pavillon Flaubert / RMM
Chaque semaine, une vieille dame se rend dans un jardin public et s’assoit sur « son » banc. Un jour, elle y trouve installé un jeune homme perdu. Lui vient de loin et ne parle pas la langue du pays. Elle habite là depuis longtemps et n’a pas la sienne dans sa poche. Chacun est seul au monde ; ils vont s’apprivoiser. Cette libre adaptation par Emma Lloyd, comédienne et marionnettiste, de l’album jeunesse de Marie Tibi et Célina Guiné, est née d’un véritable coup de cœur pour ce récit. « Suzanne aux oiseaux » livre une histoire autour de
« L’Envers de nos décors » rassemble la pratique circassienne et chorégraphique de Clément Dazin et l’écriture de Thomas Scotto. Ensemble ils abordent, avec poésie, le pouvoir du mot qui blesse, celui de l’adulte vers l’enfant. Il est question d’aller, coûte que coûte, vers ce qui fait du bien. De faire confiance à tout ce qui n’était pas trop prévu... Peut-on décider très tôt d’être heureux ? Réponse avec la compagnie La Main de l’homme Lisez l'article Durée : 30 minutes de spectacle + 30 minutes d’échange À partir de 9 ans Tarifs : de 5 à 2 € Réservation au
Tout commence par une rencontre avec l’adolescence, la sienne et celle de jeunes d’aujourd’hui dont il a recueilli la parole. Forbon N’Zakimuena, en duo sur scène avec le musicien Adam Carpels, propose un récit musical qui retrace les métamorphoses de cette période aussi difficile qu’enthousiasmante et ouvre les portes de cet entre-deux, qui relie l’enfance et la maturité. Une autofiction en 4 R : Récit, Rap, Radio et Reportages. À partir de 12 ans Tarifs : de 30 à 20 € Réservation au 02 32 10 88 60 ou sur www.le106.com Aller au concert en transport en commun avec
Sur scène, un espace unique se construit et se partage. Peut-être une cabane ou un refuge en montagne ? En tout cas, un lieu pour jouer avec la relation entre les artistes et le public, et bousculer les conventions habituelles des spectacles. Dans « Réfugions-nous », le public est acteur, capable d'influencer le déroulement du récit ? Et si l’on détenait les clés pour en orienter l’issue, que ce soit par un choix direct ou par le fait du hasard ? Un peu comme un roman interactif, ce spectacle de La Mondiale Générale ne sera jamais le même. Lisez l'article Durée
Une nuit d’insomnie où les idées noires ont le dessus sur le goût de vivre, un adolescent, seul dans sa chambre, lutte avec ses angoisses et le sommeil qui ne vient pas. Mais l’histoire ne s’arrête pas là fort heureusement car le jeune homme au fond du trou découvre alors la musique de Bob Marley, sa vie, ses chansons. Et la vie de ses chansons. Une fascination roborative qui le pousse à l’exploration. Derrière la légende du reggae et l’icône des luttes raciales dont la renommée est internationale, c’est une plongée dans une destinée hors norme, cousue d’ombre et de
En Catalan, « Qui som ? » signifie « Qui sommes-nous ? ». Une bien jolie entrée en matière pour cette nouvelle création de Baro d’evel, habitué à offrir des spectacles incorporant arts, humains et animaux avec un sens de la cohabitation qui n’appartient qu’à eux. Des cérémonies sans âge où la matière et l’espace dialoguent avec le vivant qui s’y déplace. Avec « Qui som ? », premier volet d’un tryptique à venir, Camille Decourtye et Blaï Mateu Trias invitent à partager une expérience unique et rassembleuse. Ils convoquent ici danse, musique, théâtre et cirque pour inventer de nouveaux rituels, doux et hospitaliers, en compagnie d’un clown chamane.
Jan Dismas Zelenka, surnommé le « Bach tchèque », offre un moment d’introspection passionnant. Tirées du livre de Jérémie dans la Bible, « Les Lamentations » décrivent la destruction de Jérusalem et sont utilisées comme métaphore de la souffrance et de la mort du Christ. Depuis le Moyen-Âge, ces textes sont chantés dans les monastères, lors des prières nocturnes de la Semaine Sainte. En 1722, Jan Dismas Zelenka en compose une version magnétique, à l’expressivité émotionnelle saisissante. L’Ensemble Diderot et Johannes Pramsohler exhalent la grâce de ce cycle encore méconnu et à la beauté déchirante. Durée : 1 heure Tarifs :
Pour son anniversaire, un enfant reçoit un cadeau. Dans l’emballage, il trouve une lettre. Elle s’est signée Li-Na, une petite fille qui a quitté son village pour rejoindre Tao, son amie, dans l’usine où il travaille et où elle sera à son tour embauchée. Tao a 13 ans. Li-Na peut-être un peu moins. Confronté par ce courrier au travail des enfants, le petit garçon décide d’agir. « Le Théorème du pissenlit » est un conte, une fable contemporaine et politique mise en scène par Olivier Letellier. Les cinq interprètes déplacent, à vue et tout au long du spectacle, des éléments du décor,
« On dit que la terre influence le caractère ». De retour dans la ferme de sa grand-mère, Cécile Morelle parcourt les terres de son enfance et observe la campagne, écoute les silences des femmes de ferme. « Je vis encore dans une grande ville et parfois j’ai peur que celles et ceux qui m’habitent fuient. » Véritable carte postale tantôt tragique, tantôt comique, le récit de cette pièce de théâtre écrite sur les routes est à la fois autobiographique et documentaire. Un voyage intime en allant à la rencontre de l’autre, où l’autrice creuse les tunnels de son passé
Des éplucheurs de patates, des cardinaux à cornette dans un décor de bâches froissées, une mère timbrée aux prises avec sa gazinière en feu… Cette mise en scène irrévérencieuse du Stabat Mater de Scarlatti – une première – a résolument pris ses distances avec le caractère religieux de l’œuvre. Mais via ces tableaux iconoclastes, Maëlle Dequiedt explore son héritage, ses résonances, et convie aussi à sa façon le sacré sur scène. Sa relecture burlesque et transgressive brouille les codes entre théâtre et musique pour mieux révéler toute la théâtralité de cette œuvre chorale baroque et religieuse, commandée alors par le
D’un côté les Grecs, de l’autre, les Troyens et entre les deux, une guerre qui dure depuis neuf ans. Dans un élan commun, cinq acteurs et actrices mêlent leurs voix pour nous conter « L’Iliade ». Sur scène, tous s’affranchissent des clichés opposant hommes et femmes, lâches et braves, pour venir s’accomplir dans un geste bouleversant d’humanité. Pauline Bayle signe l’adaptation de cette épopée immémoriale où les destins s’entremêlent dans un mouvement allant de la colère teintée de fer à la compassion trempée de larmes. Elle fait réentendre la voix d’Homère, lui qui parle de l’oppression sans jamais tomber dans le manichéisme
Cette pièce chorégraphique pour douze danseurs a pour thème les rencontres. Il s’agit d’explorer le champ des possibles qu’elles offrent, la manière dont elles tracent le chemin de l’existence et façonnent l’être. Elles sont les fils du tissage structurant les liens qui relient les uns aux autres. Une rencontre peut venir du hasard, mais encore faut-il saisir l’instant qui l’offre et savoir sortir de soi pour accueillir l’autre dans sa différence. Durée : 1 heure Tarifs : de 20 à 6 € Réservation au 02 35 38 51 88 ou sur www.juliobona.fr Photo : Ann Ray
L’affaire Jacqueline Sauvage, cette femme condamnée à 10 ans de prison pour avoir tué son mari violent après 47 ans d’enfer conjugal, avait suscité l’émoi national. Était-elle coupable de meurtre ou victime en légitime défense ? C’est à cette épineuse question, entre le droit et la morale, qu’a dû répondre le jury populaire de la cour d’assise. Sous la forme d’une fiction, l’autrice Manon Ona part de cette histoire judiciaire pour raconter l’expérience vertigineuse d’être juré. Ils et elles sont neuf, tirés au sort pour rendre justice au nom du peuple. Autant de personnes avec leurs histoires, leurs convictions, leurs
Quand le vibraphone incandescent de Dany Doriz rencontre le saxophone puissant de Michel Pastre, le swing prend vie. Avec leurs fils, Didier Dorise à la batterie et César Pastre à l’orgue, ils réinventent les classiques du jazz avec énergie. Entre transmission et virtuosité, leur musique fait revivre l’âme du Caveau de la Huchette. Tarif : 12 € Réservation au 02 32 86 52 00 Photo : DR Aller au concert en transport en commun avec le réseau Astuce
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée des Beaux-Arts de Rouen présente une exposition consacrée à l’incendie de la flèche de la cathédrale de Rouen en 1822 et aux débats autour de la reconstruction de l’édifice longtemps le plus haut du monde. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou sur www.mbarouen.fr Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce photo : Vue de la flèche avec le premier clocheton contemplé par le ferronnier Ferdinand Marrou, Albert Witz, 1881, collection Rijksmuseum d'Amsterdam
Cette exposition propose, grâce aux fonds remarquables du musée, de découvrir la « science en train de se faire » au regard des prémices de cette instruction spécifique qu’est la science « physique ». Initiée dès l’école primaire sous la IIIe République, ses évolutions sont grandissantes et concernent également l’enseignement secondaire, du lycée napoléonien aux méthodes actuelles. Trois axes structurent le propos : l’optique, les poids et mesures et l’électricité. Aux côtés des instruments spectaculaires, vous retrouverez des manuels scolaires, des photographies, du matériel didactique et des travaux d’élèves : près de 130 objets qui permettent une recontextualisation complète.
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée industriel de la corderie Vallois ouvre les coulisses des chantiers prioritaires au sortir de la Seconde Guerre mondiale jusque dans les années 1950. Lire l’article Renseignements au 02 35 74 35 35 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
L’exposition des dessins de Joseph Le Dieu (1815-1880) a été imaginée comme une véritable promenade dans la moitié sud du département de la Manche, du Coutançais à l’Avranchin. L’artiste a dessiné à Saint-Pair, à la mare de Bouillon, à Granville, à Saint-James, à Avranches, à Gratot et dans la campagne environnante. Le regard attentif et observateur de Joseph Le Dieu, au-delà de la recherche du pittoresque et de l'approche romantique de son époque, rend ainsi compte de cette société provinciale, rurale et littorale sur laquelle il existe peu de documentation. En dehors de l'intérêt archéologique et ethnographique qu'ils suscitent, et
Peintre figuratif formé à Paris selon les préceptes du retour à l’ordre, il vécut une révolution artistique majeure lors de son installation à Saint-Tropez auprès de Simone Armando-Barbier. Suivant la trace des postimpressionnistes et des fauves, il s’est imprégné de la lumière du midi pour produire des œuvres lumineuses, élégantes et délicates imprégnées de la forte personnalité de leur créateur et d’une individualité qui le classe à part dans sa génération. L’exposition Jacques Cordier de Saint-Tropez à Trouville, héritage et contraste présente une face totalement méconnue de la création du peintre, les littoraux de Normandie et du nord de l’Europe
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée de la Céramique s’intéresse aux dimensions matérielles et sensorielles de la terre brisée, réparée, sublimée et à la symbolique de la céramique cassée. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
Durement frappées par les destructions allemandes de 1940, puis par les bombardements allés de 1942-1944, les agglomérations de Rouen et d’Elbeuf ne sont pas indemnes de la Seconde Guerre mondiale. Comment reconstruire ? À Travers des photographies, des archives, des témoignages et des objets, l’exposition « Reconstruire… la ville propose d’observer l’architecture des années 1950. Renseignements au 02 32 96 30 40 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Entrée de la rue des Martyrs, Fabrique des Savoirs / RMM
Les maisons d’écrivains suscitent beaucoup de curiosité et ont fait l’objet de transformation pour pouvoir accueillir du public. Le musée Flaubert et d’histoire de la médecine présente des maquettes, des costumes, des objets insolites qui ont appartenu à des auteurs venus en Normandie. Renseignements au 02 76 30 39 90 Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Cabinet de travai lde Flaubert à Croisset, Georges-Antoine Rochegrosse, 1874, collection Pavillon Flaubert / RMM
Une enfant n’ose pas sortir de la maison où elle vient de s’installer avec son père. C’est si inquiétant dehors ! Elle essaie pourtant… mais le pas de la porte reste infranchissable. Et si elle invitait la vieille dame de la colline ? On raconte qu’elle ne sort jamais de chez elle, qu’elle a peur de tout, elle aussi… Elles se comprendront certainement ? Sur le vieux dictaphone de son père, la petite enregistre un message pour guider pas à pas la vieille dame, dans un périple à travers les terribles dangers qui les séparent : la Forêt aux mille
Max, un vieil homme pressé, décide un jour de bouleverser ses habitudes et emprunte un autre chemin pour se rendre en ville. Son détour est alors ponctué de rencontres surprenantes et inattendues à travers lesquelles il réalise l’importance de prendre son temps et de savourer ce qui l’entoure. Avec pour décor un carrousel hors du temps, le spectacle et les marionnettes de Juan Perez Escala imposent un autre rythme, celui de la contemplation. Une authentique invitation à prendre le temps de vivre et de s’émerveiller, bercée par de tendres créations sonores. Durée : 45 minutes À partir de 5
En Catalan, « Qui som ? » signifie « Qui sommes-nous ? ». Une bien jolie entrée en matière pour cette nouvelle création de Baro d’evel, habitué à offrir des spectacles incorporant arts, humains et animaux avec un sens de la cohabitation qui n’appartient qu’à eux. Des cérémonies sans âge où la matière et l’espace dialoguent avec le vivant qui s’y déplace. Avec « Qui som ? », premier volet d’un tryptique à venir, Camille Decourtye et Blaï Mateu Trias invitent à partager une expérience unique et rassembleuse. Ils convoquent ici danse, musique, théâtre et cirque pour inventer de nouveaux rituels, doux et hospitaliers, en compagnie d’un clown chamane.
Spiritualité et liberté s’accordent dans ce voyage mystique pour porter les espoirs des peuples aux voix muselées face aux oppressions politiques, sociales et religieuses. Au souffle continu du saxophone de Peter Corser, aux cordes acérées de Karsten Hochapfel, répond la voix saisissante d’Abdullah Miniawy, jeune poète et chanteur, figure égyptienne du combat pour la liberté et la justice. Entre poésie soufie et volutes orientales, le chant virtuose, murmuré ou clamé, a des vertus hypnotiques qui nous conduisent vers la transe. Il porte en lui une puissance métaphorique qui transcende les frontières. Durée : 1h20 Tarifs : de 24 à
Ce spectacle amateur est tiré d’une pièce de théâtre de l’autrice belge Pamela Ghislain. « Lune » raconte l’histoire de Lune Bogaert, une femme qui décide de déposer plainte contre l'État belge pour inaction envers l'égalité hommes-femmes. Le jour même, elle commence un sit-in devant le tribunal en signe de protestation, avant d’entamer une grève de la faim. De ce premier acte militant, vont découler une série de péripéties et de rencontres qui viennent questionner les rôles de la justice, des médias, et de la société civile dans la complexe mécanique du changement vers un monde meilleur. Amélie Chalmey et Angèle Guilbaud,
« On dit que la terre influence le caractère ». De retour dans la ferme de sa grand-mère, Cécile Morelle parcourt les terres de son enfance et observe la campagne, écoute les silences des femmes de ferme. « Je vis encore dans une grande ville et parfois j’ai peur que celles et ceux qui m’habitent fuient. » Véritable carte postale tantôt tragique, tantôt comique, le récit de cette pièce de théâtre écrite sur les routes est à la fois autobiographique et documentaire. Un voyage intime en allant à la rencontre de l’autre, où l’autrice creuse les tunnels de son passé
Élément vital, la pulsation irrigue ce programme onirique, né de la rencontre de Thierry Pécou et son Ensemble Variances, avec la formation montréalais Paramirabo. L’œuvre phare de la soirée est « Pulse », une partition récente, douce et hypnotique de l’Américain Steve Reich. « Pulse » reflète les thèmes chers à Thierry Pécou : le goût du dialogue avec l’ailleurs et la volonté de relier la musique aux problématiques contemporaines, notamment le réchauffement climatique et la perte de la biodiversité. En hommage à ce grand maître du mouvement de musique répétitive, Thierry Pécou signe « Byar », une pièce directement inspirée du gamelan, un orchestre de
Autodidacte, Hatik s’est rapidement fait remarquer dans le monde du rap français. Rappeur, chanteur mais aussi acteur, il s’est fait connaître avec son hit « Angela », et ses nombreuses collaborations avec Disiz à Soprano, Youssoupha ou Dinos. C’est avec son projet musical « Chaise pliante » qu’il affine et affirme son talent en imposant un personnage sans fard, sensible, parfois mélancolique et assurément touche-à-tout. Tarifs : de 35 à 10 € Réservation au 02 32 29 63 32 ou sur www.letangram.com Photo : N’Kruma
Carole Thibaut se met en jeu, et explore la question du genre et du pouvoir à travers son parcours personnel : petite fille élevée dans la pure tradition patriarcale, jeune femme devenant actrice dans les années 1990, puis autrice-metteuse en scène dans un milieu alors presque exclusivement masculin et enfin directrice d'un théâtre. Jouant avec les codes de la représentation attendue, Carole Thibaut partage avec le public sur sa position de pouvoir. Celui subi depuis toujours et en même temps exercé, et la possibilité (ou non) de subversion des ordres établis. Glissant de l’intime au politique, elle entraîne dans une
L'ensemble vocal Impressions présente un programme d'œuvres allemandes et françaises du XVIIe au XXe siècles. Schein, Schütz, Bach, Mendelssohn, Poulenc, Joubert, Chailley : quatre siècles de musiques composées sur des textes sacrés ou profanes, pour évoquer l’espérance de paix et de fraternité qui succède aux périodes de doute et de guerre. Tarifs : de 15 à 7 € Réservation en ligne Photo : Philippe Bréard
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée des Beaux-Arts de Rouen présente une exposition consacrée à l’incendie de la flèche de la cathédrale de Rouen en 1822 et aux débats autour de la reconstruction de l’édifice longtemps le plus haut du monde. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou sur www.mbarouen.fr Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce photo : Vue de la flèche avec le premier clocheton contemplé par le ferronnier Ferdinand Marrou, Albert Witz, 1881, collection Rijksmuseum d'Amsterdam
Cette exposition propose, grâce aux fonds remarquables du musée, de découvrir la « science en train de se faire » au regard des prémices de cette instruction spécifique qu’est la science « physique ». Initiée dès l’école primaire sous la IIIe République, ses évolutions sont grandissantes et concernent également l’enseignement secondaire, du lycée napoléonien aux méthodes actuelles. Trois axes structurent le propos : l’optique, les poids et mesures et l’électricité. Aux côtés des instruments spectaculaires, vous retrouverez des manuels scolaires, des photographies, du matériel didactique et des travaux d’élèves : près de 130 objets qui permettent une recontextualisation complète.
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée industriel de la corderie Vallois ouvre les coulisses des chantiers prioritaires au sortir de la Seconde Guerre mondiale jusque dans les années 1950. Lire l’article Renseignements au 02 35 74 35 35 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
L’exposition des dessins de Joseph Le Dieu (1815-1880) a été imaginée comme une véritable promenade dans la moitié sud du département de la Manche, du Coutançais à l’Avranchin. L’artiste a dessiné à Saint-Pair, à la mare de Bouillon, à Granville, à Saint-James, à Avranches, à Gratot et dans la campagne environnante. Le regard attentif et observateur de Joseph Le Dieu, au-delà de la recherche du pittoresque et de l'approche romantique de son époque, rend ainsi compte de cette société provinciale, rurale et littorale sur laquelle il existe peu de documentation. En dehors de l'intérêt archéologique et ethnographique qu'ils suscitent, et
Peintre figuratif formé à Paris selon les préceptes du retour à l’ordre, il vécut une révolution artistique majeure lors de son installation à Saint-Tropez auprès de Simone Armando-Barbier. Suivant la trace des postimpressionnistes et des fauves, il s’est imprégné de la lumière du midi pour produire des œuvres lumineuses, élégantes et délicates imprégnées de la forte personnalité de leur créateur et d’une individualité qui le classe à part dans sa génération. L’exposition Jacques Cordier de Saint-Tropez à Trouville, héritage et contraste présente une face totalement méconnue de la création du peintre, les littoraux de Normandie et du nord de l’Europe
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée de la Céramique s’intéresse aux dimensions matérielles et sensorielles de la terre brisée, réparée, sublimée et à la symbolique de la céramique cassée. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
Durement frappées par les destructions allemandes de 1940, puis par les bombardements allés de 1942-1944, les agglomérations de Rouen et d’Elbeuf ne sont pas indemnes de la Seconde Guerre mondiale. Comment reconstruire ? À Travers des photographies, des archives, des témoignages et des objets, l’exposition « Reconstruire… la ville propose d’observer l’architecture des années 1950. Renseignements au 02 32 96 30 40 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Entrée de la rue des Martyrs, Fabrique des Savoirs / RMM
Les maisons d’écrivains suscitent beaucoup de curiosité et ont fait l’objet de transformation pour pouvoir accueillir du public. Le musée Flaubert et d’histoire de la médecine présente des maquettes, des costumes, des objets insolites qui ont appartenu à des auteurs venus en Normandie. Renseignements au 02 76 30 39 90 Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Cabinet de travai lde Flaubert à Croisset, Georges-Antoine Rochegrosse, 1874, collection Pavillon Flaubert / RMM
Inscrire durablement le mouvement – dansé, marché, jonglé – dans le temps et dans l’espace. Capturer sa dimension éphémère pour le donner à voir, à entendre et à ressentir différemment. Cueillir le jaillissement circassien pour le décomposer et le mettre sur papier. Tels sont les leitmotivs de cette création partagée, savamment orchestrée par l’artiste plasticienne Aline Breucker et le circassien Quintijn Ketels, et réunissant au plateau des jeunes et moins jeunes Pierrotins ayant accepté de livrer de petits fragments d’eux. « Âmes rebelles », reprendra les fondamentaux des relaxed performance dans sa conception et dans sa réalisation. Chacun sera libre de se
Hatik en concert pour un show unique. L'occasion de redécouvrir ses plus grands titres et ses nouveaux morceaux en live avec ses musiciens. Tarifs : de 30 à 20 € Réservation au 02 32 10 88 60 ou sur www.le106.com Aller au concert en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : DR
Pilier des communautés musicales et queer de Melbourne, Cash Savage consacre la dernière décennie à faire du rock’n’roll intense et tendre avec son imposant groupe, The Last Drinks. Le groupe de Melbourne a annoncé un nouvel album, « So This Is Love », dont la sortie est prévue le 28 avril sous le label Glitterhouse Records. Il a également partagé aujourd'hui le premier single, « Keep Working At Your Job », une élégie post-punk tendue sur les affres du capitalisme tardif, à la fois directe et profondément compatissante. Tarifs : de 19 à 4 € Réservation au 02 32 10 88
Et si Ulysse n’était pas celui que l’on pense ? Ce héros de l’Odyssée, incapable de se distinguer au combat, ne serait-il pas qu’un simple (mais brillant !) imposteur capable de duper tout un auditoire ? Animés par l’envie commune de réinventer l’expérience théâtrale, Flavien Bellec et Etienne Blanc déconstruisent l’image de ce héros grec avec un goût certain pour l’humour, le doute et l’expérimentation. Loin d’une nouvelle adaptation, ce spectacle, "Détail d’un vase grec à figures rouges »: joué façon stand-up avec jeu d’acteurs et d’actrices mais aussi de marionnettes prend à contre-pied L’Odyssée d’Homère pour établir des ponts avec cette époque.
Confidence fascinante, témoignage intime, « Je voudrais parler de Duras » est une immersion troublante dans la relation qui unit à la fin de sa vie le jeune Yann Andréa à Marguerite Duras, son aînée de 38 ans. Relation d’amour sous le signe de la domination de l’une et de la soumission de l’autre, relation de quotidien et de littérature, de dépendance et de violence. Relation passionnelle qu’ils inventent à deux, loin des regards moralisateurs et des jugements de la société, en dehors des normes. Paru en 2016, l’ouvrage est la reconstitution d’un entretien au long cours mené par la journaliste Michèle
Angelin Preljocaj fait du requiem une célébration de la vie. Avec cette nouvelle création, il développe les élans intérieurs qui traversent à l’aune d’un deuil. Les dix-neuf danseurs de sa compagnie forment un ballet tribal qui oscille entre tristesse, anéantissement mais aussi bonheur du souvenir et joie du miracle d’exister. Portés par une texture musicale moderne, ils s’approprient les codes du genre pour mieux les réinventer dans un cortège palpitant. C’est alors toute notre humanité qui s’incarne dans ce rituel de mémoire saisissant. Durée : 1h20 Tarifs : de 62 à 10 € Réservation au 02 35 98 74
"V" est une performance sur la décision de rompre avec ce qui était avant. Prenant la forme de l'autofiction, le spectacle traverse les multiples états d'un changement intérieur comme autant de chemins possibles entre visions floues, trous d'air et moments d’avancement. La performance sensible, brute et très physique de Viivi Roiha se déroule sur une scène épurée. Avec elle, sa partenaire de toujours : une corde lisse, qu'elle a réduite à une longueur beaucoup plus courte pour " V ". La musique originale, composée et en partie improvisée en direct, fait vibrer l'espace en mêlant les machines et la voix
Il y a 30 ans, Dominique A débarquait sur scène, en rupture avec le rock et la variété de l’époque et devenait aussitôt l’un des chefs de file d’une chanson française réinventée, marquée par une certaine fragilité, une écriture exigeante et une place de premier plan pour la musique. Accompagné de deux musiciens de haut vol, le claviériste Julien Noël et le contrebassiste Sébastien Boisseau, il propose avec son dernier album Quelques Lumières et cette tournée homonyme de parcourir dans un format inédit et en mode intime son répertoire. L’occasion pour le chanteur d’arpenter la scène d’une manière différente et
Sur scène il n’y a qu’Arnaud Saury, Samuel Rodrigues et un mât chinois de plus de 5 mètres de haut. Histoire d’attendrir l’engin, ils l’ont coiffé de palmes de cocotier et orné de bananes. Il est le point culminant de leur île. Isolés comme jamais, ils se prennent à rêver de Vendredi et de Crusoé sans trop savoir qui incarner aujourd’hui. Entre le théâtre et le cirque, la zone est perméable. Les corps se portent, se tendent, se rattrapent et parfois se blessent aussi. Il faudra dans tous les cas s’en relever pour que les limites s’écartent et que le
C’est une histoire vraie, celle de Charles Gentès, chanteur d’après-guerre surnommé la Voix d’or qui interprétait des chansons originales de l’époque et des grands airs de la chanson française. Avec Christine Vercel, il formera un couple de vedettes allant de l’Égypte jusqu’au Liban en passant par les cabarets de Montmartre. Durée : 1h30 Tarifs : 20 €, 10 € Réservation sur www.3colombiers-gravenchon.fr Photo : Frédérique Toulet
Carole Thibaut se met en jeu, et explore la question du genre et du pouvoir à travers son parcours personnel : petite fille élevée dans la pure tradition patriarcale, jeune femme devenant actrice dans les années 1990, puis autrice-metteuse en scène dans un milieu alors presque exclusivement masculin et enfin directrice d'un théâtre. Jouant avec les codes de la représentation attendue, Carole Thibaut partage avec le public sur sa position de pouvoir. Celui subi depuis toujours et en même temps exercé, et la possibilité (ou non) de subversion des ordres établis. Glissant de l’intime au politique, elle entraîne dans une
Afin de se marier à une riche héritière, Bois d’Enghien fait tout pour se débarrasser de sa maîtresse, une chanteuse de café-concert scandaleuse, Lucette Gautier. De lâchetés en mensonges, il s’enfonce dans une situation inextricable qui incite Feydeau à convoquer une pléiade de personnages cocasses et décalés. Sans tomber dans les facilités du vaudeville, les comédiens de la Compagnie Viva donnent un coup de fouet vivifiant à l’un des plus grands succès de Feydeau. Tarifs : 20 €, 17 € Réservation au 02 32 57 72 10 ou sur www.lacidrerie.beuzeville.fr Photo : Anthony Magnier
Albin de la Simone repart en tournée avec une nouvelle idée : un concert solo où se rencontrent enfin les trois cordes principales de son arc : la chanson, le dessin, la parole. Entouré d’instruments devant un écran où sont projetés ses dessins, dont certains qu’il crée en direct, Albin de la Simone chante, joue, parle, dessine, pour convoquer plus intime que jamais, les émotions douces et fortes qu’il cultive depuis toujours… Tarifs : de 22 à 5 € Réservation au 02 35 73 95 15 ou sur www.trianontransatlantique.com Aller au concert en transport en commun avec le réseau
Sur scène, un espace unique se construit et se partage. Peut-être une cabane ou un refuge en montagne ? En tout cas, un lieu pour jouer avec la relation entre les artistes et le public, et bousculer les conventions habituelles des spectacles. Dans « Réfugions-nous », le public est acteur, capable d'influencer le déroulement du récit ? Et si l’on détenait les clés pour en orienter l’issue, que ce soit par un choix direct ou par le fait du hasard ? Un peu comme un roman interactif, ce spectacle de La Mondiale Générale ne sera jamais le même. Lisez l'article Durée
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée des Beaux-Arts de Rouen présente une exposition consacrée à l’incendie de la flèche de la cathédrale de Rouen en 1822 et aux débats autour de la reconstruction de l’édifice longtemps le plus haut du monde. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou sur www.mbarouen.fr Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce photo : Vue de la flèche avec le premier clocheton contemplé par le ferronnier Ferdinand Marrou, Albert Witz, 1881, collection Rijksmuseum d'Amsterdam
Cette exposition propose, grâce aux fonds remarquables du musée, de découvrir la « science en train de se faire » au regard des prémices de cette instruction spécifique qu’est la science « physique ». Initiée dès l’école primaire sous la IIIe République, ses évolutions sont grandissantes et concernent également l’enseignement secondaire, du lycée napoléonien aux méthodes actuelles. Trois axes structurent le propos : l’optique, les poids et mesures et l’électricité. Aux côtés des instruments spectaculaires, vous retrouverez des manuels scolaires, des photographies, du matériel didactique et des travaux d’élèves : près de 130 objets qui permettent une recontextualisation complète.
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée industriel de la corderie Vallois ouvre les coulisses des chantiers prioritaires au sortir de la Seconde Guerre mondiale jusque dans les années 1950. Lire l’article Renseignements au 02 35 74 35 35 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
L’exposition des dessins de Joseph Le Dieu (1815-1880) a été imaginée comme une véritable promenade dans la moitié sud du département de la Manche, du Coutançais à l’Avranchin. L’artiste a dessiné à Saint-Pair, à la mare de Bouillon, à Granville, à Saint-James, à Avranches, à Gratot et dans la campagne environnante. Le regard attentif et observateur de Joseph Le Dieu, au-delà de la recherche du pittoresque et de l'approche romantique de son époque, rend ainsi compte de cette société provinciale, rurale et littorale sur laquelle il existe peu de documentation. En dehors de l'intérêt archéologique et ethnographique qu'ils suscitent, et
Peintre figuratif formé à Paris selon les préceptes du retour à l’ordre, il vécut une révolution artistique majeure lors de son installation à Saint-Tropez auprès de Simone Armando-Barbier. Suivant la trace des postimpressionnistes et des fauves, il s’est imprégné de la lumière du midi pour produire des œuvres lumineuses, élégantes et délicates imprégnées de la forte personnalité de leur créateur et d’une individualité qui le classe à part dans sa génération. L’exposition Jacques Cordier de Saint-Tropez à Trouville, héritage et contraste présente une face totalement méconnue de la création du peintre, les littoraux de Normandie et du nord de l’Europe
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée de la Céramique s’intéresse aux dimensions matérielles et sensorielles de la terre brisée, réparée, sublimée et à la symbolique de la céramique cassée. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
Durement frappées par les destructions allemandes de 1940, puis par les bombardements allés de 1942-1944, les agglomérations de Rouen et d’Elbeuf ne sont pas indemnes de la Seconde Guerre mondiale. Comment reconstruire ? À Travers des photographies, des archives, des témoignages et des objets, l’exposition « Reconstruire… la ville propose d’observer l’architecture des années 1950. Renseignements au 02 32 96 30 40 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Entrée de la rue des Martyrs, Fabrique des Savoirs / RMM
Les maisons d’écrivains suscitent beaucoup de curiosité et ont fait l’objet de transformation pour pouvoir accueillir du public. Le musée Flaubert et d’histoire de la médecine présente des maquettes, des costumes, des objets insolites qui ont appartenu à des auteurs venus en Normandie. Renseignements au 02 76 30 39 90 Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Cabinet de travai lde Flaubert à Croisset, Georges-Antoine Rochegrosse, 1874, collection Pavillon Flaubert / RMM
Freaks, c’est son nom de plume. Originaire de Picardie, cette artiste de 27 ans est venue au Havre il y a une petite dizaine d’années dans le but d’intégrer l’école d’art. Expérience peu concluante, elle a quitté cette dernière un an plus tard avec le désir de travailler et d’apprendre en autonomie. Énormément de pratique et de tutos techniques lui ont permis d’évoluer et de trouver un véritable style. Elle présente une rétrospective de son travail. Lire l'article Renseignements au 02 35 48 98 25 ou sur www.le-cem.com
Une enfant n’ose pas sortir de la maison où elle vient de s’installer avec son père. C’est si inquiétant dehors ! Elle essaie pourtant… mais le pas de la porte reste infranchissable. Et si elle invitait la vieille dame de la colline ? On raconte qu’elle ne sort jamais de chez elle, qu’elle a peur de tout, elle aussi… Elles se comprendront certainement ? Sur le vieux dictaphone de son père, la petite enregistre un message pour guider pas à pas la vieille dame, dans un périple à travers les terribles dangers qui les séparent : la Forêt aux mille
Florence Caillon murit ce projet d’adaptation du « Lac des Cygnes », monument du ballet classique, depuis très longtemps. Le pari est plus que réussi, sa réadaptation moderne s’inspire sans paraphraser, elle redonne force et vigueur au mythe que ce soit dans l’inventivité musicale ou dans l’expressivité des corps et des personnages. C’est du cirque, c’est de la danse, c’est un Lac des Cygne unique et singulier qui renouvelle le genre sans jamais renier le plaisir de l’original. Durée : 30 minutes Tarifs : 12 €, 7 € Réservation au 02 35 69 12 13 ou en ligne Aller au spectacle
C’est l’histoire d’un papier, mais pas que… C’est l’histoire de plusieurs papiers qui sont en fait le même papier puisque c’est l’histoire de la vie d’un papier qui au total a 7 vies… Deux comédiens de la Compagnie Ça s’peut pas jouent avec les objets et le papier sous toutes ses formes, inventant des univers, des histoires et des personnages. À partir de 7 ans Tarif : 5 € Réservation au 02 35 74 31 24 ou en ligne Photo : Compagnie Ça s’peut pas Aller au concert en transport en commun avec le réseau Astuce
Et si Ulysse n’était pas celui que l’on pense ? Ce héros de l’Odyssée, incapable de se distinguer au combat, ne serait-il pas qu’un simple (mais brillant !) imposteur capable de duper tout un auditoire ? Animés par l’envie commune de réinventer l’expérience théâtrale, Flavien Bellec et Etienne Blanc déconstruisent l’image de ce héros grec avec un goût certain pour l’humour, le doute et l’expérimentation. Loin d’une nouvelle adaptation, ce spectacle, "Détail d’un vase grec à figures rouges »: joué façon stand-up avec jeu d’acteurs et d’actrices mais aussi de marionnettes prend à contre-pied L’Odyssée d’Homère pour établir des ponts avec cette époque.
« En Haut En Bas » est une création des sœurs Rault, Agathe et Léa. L’une est circassienne et trapéziste, l’autre danseuse et chorégraphe, offrant une symbiose entre leurs pratiques. C’est un spectacle sur un trapèze inspiré de la suspension d’une première personne dans les airs et d’une seconde évoluant au sol. Durée : 40 minutes Spectacle à partir de 6 ans Tarifs : de 8 à 4 € Réservation au 02 32 30 31 90 ou sur www.sallebacri.conchesenouche.com Photo : Kevin Rolland
Angelin Preljocaj fait du requiem une célébration de la vie. Avec cette nouvelle création, il développe les élans intérieurs qui traversent à l’aune d’un deuil. Les dix-neuf danseurs de sa compagnie forment un ballet tribal qui oscille entre tristesse, anéantissement mais aussi bonheur du souvenir et joie du miracle d’exister. Portés par une texture musicale moderne, ils s’approprient les codes du genre pour mieux les réinventer dans un cortège palpitant. C’est alors toute notre humanité qui s’incarne dans ce rituel de mémoire saisissant. Durée : 1h20 Tarifs : de 62 à 10 € Réservation au 02 35 98 74
Naviguant entre New York et son Andalousie natale, Antonio Lizana est devenu en quelques années l’un des représentants les plus célèbres du jazz flamenco. Il est accompagné par l’extraordinaire danseur de flamenco El Mawi. Saxophoniste, chanteur et auteur-compositeur, il réinvente la tradition en mêlant jazz de haut vol, chant incarné et rythmes ibériques. Antonio Lizana concilie dans ses compositions simplicité apparente et sophistication mélodique, inventant ici la fusion harmonieuse entre chanson, jazz et flamenco, accompagné d’un quartet composé de la fine fleur des jazzmen madrilènes. Sur scène, le natif de Cadix transporte des racines du flamenco au jazz le plus
Entre musiques électro et traditionnelles jouées par Richard Kolinka (batteur emblématique de Téléphone) et Aristide Rosier, Philippe Torreton a souhaité réunir différents textes qui parlent de nature, d’écologie (Ronsard, Baudelaire, Georges Sand, Boris Vian, Jim Harrison...) en les croisant avec des « écrits » d’indiens d’Amérique du Nord. C’est l’occasion de s’apercevoir que ces thèmes essentiels occupent les esprits de tout peuple à toute époque, et démontrent une fois de plus, qu’il est essentiel que l’être humain prenne soin de la nature qui l’entoure. Durée : 1h30 À partir de 14 ans Tarifs : 25 €, 15 € Réservation
Le duo Au fur & en mesures revisite tout à la fois des chants populaires italiens, espagnols et yiddishs, et des airs de Bizet, de Falla ou de Schubert. Instrumentiste, compositrice, cheffe de chœur et chanteuse, Alessandra Lupidi convoque ses deux pays d’origine - l’Italie, l’Espagne -, mais aussi ses multiples facettes vocales. Après une formation lyrique, elle a notamment chanté dans de nombreux chœurs d’opéra, et en tant que soliste sous la direction de Laurence Equilbey. Anja Schimanski, contrebassiste, pratique quant à elle l’improvisation libre et accompagne divers groupes de musique klezmer, jazz, afro-cubain jazz. Durée : 1h20
« Monographie » est un solo de jonglage explosif, composé sous forme de cartoon. Sur scène, le personnage répète, répète, répète… Le cartoon s’auto-détermine, se passe de justifications, et jouit par essence d’une liberté assez immense créer sa propre réalité : un environnement dans lequel absolument tout est permis, tout est cohérent, puisqu’inventé de toutes pièces. Dans le cartoon il y a le débordement, il y a le trop, il y a la subtilité, l’humour et le plaisir. Certains parlent de magie quand on arrive à défier les lois physiques, ici la ,compagnie Defracto veut surprendre par le corps, en incarnant une
Pour fêter ses dix années d’existence, l’association Soul & Tropiques, en co-production avec le 106, invite, pour la première fois sur Rouen, Guts. Beatmaker pour le hip hop français au milieu des années 1990 (les Rieurs, Svinkels, Alliance Ethnik), puis arrangeur, producteur et compositeur, Guts partage depuis trente ans sa passion et son approche de la musique lors de ses dj sets. Entre musique afro-latine, hip hop, electro-funk, jazz-spatial, ou afro-disco, Guts ne cloisonne pas. Au contraire, il laisse les portes ouvertes et facilite l’échange pour que tout communique. Première partie : Black Voices Combo Tarifs : de 21
Au programme de cette Nuit du jazz bai bangs : quatre formations dont le Right on Brass band, un ensemble caennais. Fred Pallem et Le sacre du tympan joue son nouvel album, une joyeuse célébration du jazz pour orchestre ! Fantaisie, créativité, sensualité et puissance sont les maîtres-mots de ce nouvel album, aux rythmes très cinématographiques. L’univers ludique du bassiste, arrangeur et compositeur Fred Pallem va comme un gant au Sacre du Tympan. Le Big Band du conservatoire et orchestre de Caen invite Robinson Khoury. Compositeur, chanteur de jazz et tromboniste, Robinson Khoury aime à repousser les frontières de son
« Fratellino » est une création collective portée par des jeunes de la MJC d’Elbeuf et la compagnie Bêstîa à partir de son spectacle « Fratello », dans lequel Wilmer Marquez et Cristian Forero explorent la notion de fraternité. Une thématique particulièrement chère à ces deux frères de coeur, ayant scellé à jamais leur lien dans le quartier de Bogotà dont ils sont tous deux originaires alors qu’ils étaient adolescents. Vingt-quatre ans plus tard, ils font le choix généreux de partager ce qu’ils ont de plus beau : la pratique du cirque, qui a changé leur vie, et leur fraternité choisie. Les portés en
« Madame Ose Bashung », c’est un cabaret « folle », aux talons acérés et aux perruques apprêtées mené par Corrine, Brenda Mour et Patachtouille. C’est un concert fulgurant dirigé tambour battant par 9 musiciens hors pair, au rythme des chansons d’Alain Bashung. C’est un voyage initiatique dans son univers transcendé. Du « Osez Joséphine » dans un saloon en passant par « Vertige de l’amour » dans un lit gonflable, « Madame Ose Bashung » s’aventure sur les routes les plus sinueuses pour un hommage haut en couleurs. Durée : 1h20 Tarifs : de 26 à 8 € Réservation au 02 32
Alice – alias Chérie - est une enfant de la balle. Ses parents sont de grands artistes reconnus et admirés. Mais elle, elle n’éprouve pas cette même passion. Entrer en scène ou en piste en ayant peur de la moquerie de ses partenaires ou du public, se sentir coupable d’occuper une place usurpée ou rompre avec sa famille et avoir l’impression de trahir les attentes de sa mère? Telle est sa problématique. Par des images animées ou masques, Geneviève de Kermabon incarne chaque personnage et nous touche avec cette histoire fragile et baroque. Durée : 1h10 À partir de
GiedRé, surnommée “Objet Chantant Non Identifié”, se démarque par son humour audacieux et sa capacité à mêler satire sociale et émotions dans une approche musicale unique. Ses spectacles, un croisement entre concert, théâtre et stand-up, lui ont permis de conquérir des scènes prestigieuses telles que La Cigale et l’Olympia. En 2017, son évolution artistique est marquée par le spectacle GiedRé et les Gens au Zèbre de Belleville, enrichi d’un multi-instrumentiste. Elle innove également avec Les Chansons de la radio, revisitant les hits avec une ironie mordante. Dans ce nouveau spectacles, elle promet de poursuivre son exploration des paradoxes de l’existence
Antoine De Saint-Exupéry rédige « Le Petit Prince » au coeur des heures sombres de la Seconde Guerre Mondiale. Pour l’auteur, il y a urgence à délivrer un message profondément humaniste de paix, d’espoir, d’ouverture aux autres et de fraternité. Ces valeurs intemporelles demeurent d’une actualité criante et sont, hier comme aujourd’hui, profondément essentielles. La comédienne Anne Girouard et le musicien multi-instrumentiste Pierre-François Roussillon s’emparent de ce texte pour en livrer leur version, entre mots et notes de musique, et plonger dans l’univers fascinant du Petit Prince. À partir de 8 ans Tarifs : de 18 à 8 € Réservation au
Dès les premières notes, Sylvia Fernandez capte l’attention avec une voix où swing, émotion et intensité se mêlent. Son timbre, tour à tour doux et puissant, revisite les standards du jazz et insuffle une énergie aux compositions qu’elle s’approprie. Formée au conservatoire de Rouen, nourrie par le lyrisme et les grandes voix du jazz, elle tisse un univers où tradition et modernité se rencontrent. Tarifs : 10 €, 5 € Réservation au 02 35 80 26 12 Photo : Dylan Delaunay Aller au concert en transport en commun avec le réseau Astuce
Cette exposition propose, grâce aux fonds remarquables du musée, de découvrir la « science en train de se faire » au regard des prémices de cette instruction spécifique qu’est la science « physique ». Initiée dès l’école primaire sous la IIIe République, ses évolutions sont grandissantes et concernent également l’enseignement secondaire, du lycée napoléonien aux méthodes actuelles. Trois axes structurent le propos : l’optique, les poids et mesures et l’électricité. Aux côtés des instruments spectaculaires, vous retrouverez des manuels scolaires, des photographies, du matériel didactique et des travaux d’élèves : près de 130 objets qui permettent une recontextualisation complète.
Peintre figuratif formé à Paris selon les préceptes du retour à l’ordre, il vécut une révolution artistique majeure lors de son installation à Saint-Tropez auprès de Simone Armando-Barbier. Suivant la trace des postimpressionnistes et des fauves, il s’est imprégné de la lumière du midi pour produire des œuvres lumineuses, élégantes et délicates imprégnées de la forte personnalité de leur créateur et d’une individualité qui le classe à part dans sa génération. L’exposition Jacques Cordier de Saint-Tropez à Trouville, héritage et contraste présente une face totalement méconnue de la création du peintre, les littoraux de Normandie et du nord de l’Europe
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée des Beaux-Arts de Rouen présente une exposition consacrée à l’incendie de la flèche de la cathédrale de Rouen en 1822 et aux débats autour de la reconstruction de l’édifice longtemps le plus haut du monde. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou sur www.mbarouen.fr Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce photo : Vue de la flèche avec le premier clocheton contemplé par le ferronnier Ferdinand Marrou, Albert Witz, 1881, collection Rijksmuseum d'Amsterdam
Une masse de boules en céramique blanche submerge deux joueurs acrobatiques. Elles sont loin d’être parfaites : pas tout à fait rondes, toutes légèrement différentes et beaucoup trop nombreuses. Elles roulent en tambourinant, sautent dans toutes les directions, pétillent soudain dans une bouche ou restent irrémédiablement collées au plafond. Entourés par le public, Willem Balduyck et Sophie van der Vuurst de Vries arrangent une composition de cirque musicale où ces petits objets ronds volent, roulent, glissent autour des tibias. Ils maîtrisent l’art de laisser les billes glisser entre les doigts des mains et des pieds, ne cherchent pas à impressionner, mais
« Chemin des métaphores » invite le spectateur à prendre le temps de rêver et de s’émerveiller. Juan Perez Escala, marionnettiste de renom, touche-à-tout et autodidacte, relate le parcours initiatique d’un vieil homme qui, au gré de rencontres et de péripéties, va apprendre à considérer le monde avec un regard neuf. Grâce à un dispositif scénique astucieux évoquant une fête foraine à l’abandon, le public embarque dans un univers magique et poétique, propice à la contemplation. S’appuyant sur des personnages semblant sortir d’un livre pour la jeunesse, l’artiste signe ainsi une formidable ode à l’enfance et à l’imagination. Durée : 45
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée industriel de la corderie Vallois ouvre les coulisses des chantiers prioritaires au sortir de la Seconde Guerre mondiale jusque dans les années 1950. Lire l’article Renseignements au 02 35 74 35 35 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
L’exposition des dessins de Joseph Le Dieu (1815-1880) a été imaginée comme une véritable promenade dans la moitié sud du département de la Manche, du Coutançais à l’Avranchin. L’artiste a dessiné à Saint-Pair, à la mare de Bouillon, à Granville, à Saint-James, à Avranches, à Gratot et dans la campagne environnante. Le regard attentif et observateur de Joseph Le Dieu, au-delà de la recherche du pittoresque et de l'approche romantique de son époque, rend ainsi compte de cette société provinciale, rurale et littorale sur laquelle il existe peu de documentation. En dehors de l'intérêt archéologique et ethnographique qu'ils suscitent, et
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée de la Céramique s’intéresse aux dimensions matérielles et sensorielles de la terre brisée, réparée, sublimée et à la symbolique de la céramique cassée. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
Durement frappées par les destructions allemandes de 1940, puis par les bombardements allés de 1942-1944, les agglomérations de Rouen et d’Elbeuf ne sont pas indemnes de la Seconde Guerre mondiale. Comment reconstruire ? À Travers des photographies, des archives, des témoignages et des objets, l’exposition « Reconstruire… la ville propose d’observer l’architecture des années 1950. Renseignements au 02 32 96 30 40 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Entrée de la rue des Martyrs, Fabrique des Savoirs / RMM
Les maisons d’écrivains suscitent beaucoup de curiosité et ont fait l’objet de transformation pour pouvoir accueillir du public. Le musée Flaubert et d’histoire de la médecine présente des maquettes, des costumes, des objets insolites qui ont appartenu à des auteurs venus en Normandie. Renseignements au 02 76 30 39 90 Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Cabinet de travai lde Flaubert à Croisset, Georges-Antoine Rochegrosse, 1874, collection Pavillon Flaubert / RMM
Marie-Pierre Bonniol pose son regard sur la ville et l’habitat, à travers une sélection de films et vidéos racontant comment habiter et occuper l’espace urbain et périphérique avec humour, tendresse, rébellion et poésie. On y découvre des maisons imaginaires, des maisons en carton, des immeubles qui dansent, des petites voitures en jouet qui gênent les grandes, des poubelles roulant dans la ville et crachant du feu, des ballets de trottinettes. Les impressions des villes deviennent peintures et des cités idéales surgissent de l’intelligence artificielle, définies par des prompts… Durée : 1 heure Séance à partir de 5 ans Réservation
Les trois artistes de la Compagnie Takakrôar ont décidé de prendre soin les uns des autres, à leur manière : en s'interrogeant sur leurs névroses respectives ! En entrant dans leur yourte, le public est invité à suivre leurs élucubrations hautement philosophiques, entre musique, performance du quotidien, théâtre et cirque. Et à assister à des scènes toutes aussi farfelues les unes que les autres : ils jouent à trois sur la même guitare ; ils prennent le thé à une table perchée sur un bout de bois ; l'un d'eux, muni d'une carapace en carton, saute de la coupole. « Et
Après « Révolte ou tentatives de l’échec", la funambule ouvre son univers à d'autres disciplines, comme la roue giratoire, spécialement imaginée pour ce spectacle. Magnifique conception métallique, ce nouvel agrès, composé de trois cercles de rotation distincts, se révèle hautement symbolique. Une femme évolue à l'intérieur de cette roue. Ce qui, au départ, s'apparente à une simple marche, continue, se déverrouille progressivement pour finir en incroyables envolées et vertigineuses embardées à 360 degrés. Durée : 20 minutes À partir de 6 ans Sans réservation Photo : Kalimba Aller au spectacle en transport en commun avec le réseau Astuce
Une masse de boules en céramique blanche submerge deux joueurs acrobatiques. Elles sont loin d’être parfaites : pas tout à fait rondes, toutes légèrement différentes et beaucoup trop nombreuses. Elles roulent en tambourinant, sautent dans toutes les directions, pétillent soudain dans une bouche ou restent irrémédiablement collées au plafond. Entourés par le public, Willem Balduyck et Sophie van der Vuurst de Vries arrangent une composition de cirque musicale où ces petits objets ronds volent, roulent, glissent autour des tibias. Ils maîtrisent l’art de laisser les billes glisser entre les doigts des mains et des pieds, ne cherchent pas à impressionner, mais
Après « Révolte ou tentatives de l’échec", la funambule ouvre son univers à d'autres disciplines, comme la roue giratoire, spécialement imaginée pour ce spectacle. Magnifique conception métallique, ce nouvel agrès, composé de trois cercles de rotation distincts, se révèle hautement symbolique. Une femme évolue à l'intérieur de cette roue. Ce qui, au départ, s'apparente à une simple marche, continue, se déverrouille progressivement pour finir en incroyables envolées et vertigineuses embardées à 360 degrés. Durée : 20 minutes À partir de 6 ans Sans réservation Photo : Kalimba Aller au spectacle en transport en commun avec le réseau Astuce
Angelin Preljocaj fait du requiem une célébration de la vie. Avec cette nouvelle création, il développe les élans intérieurs qui traversent à l’aune d’un deuil. Les dix-neuf danseurs de sa compagnie forment un ballet tribal qui oscille entre tristesse, anéantissement mais aussi bonheur du souvenir et joie du miracle d’exister. Portés par une texture musicale moderne, ils s’approprient les codes du genre pour mieux les réinventer dans un cortège palpitant. C’est alors toute notre humanité qui s’incarne dans ce rituel de mémoire saisissant. Durée : 1h20 Tarifs : de 62 à 10 € Réservation au 02 35 98 74
En piste, deux acrobates joueurs, doués et complices – tous deux membres de la compagnie El Nucleo. Jimmy Lozano vient de Colombie et Joana Pinard est franco-brésilienne. Un jour ils s’interrogent : à quel moment ont-ils arrêté de jouer ? Après tout, même adultes, pourquoi ne se replongeraient-ils pas dans le plaisir du jeu, du rire, du temps qu’on ne voit pas passer ! Mais voilà qu’ils réalisent qu’ils n’ont pas appris les mêmes règles pour les mêmes jeux. Et pour cause, elles sont différentes dans leurs pays d’origine. Qu’est-ce qui se joue dans ces codes et ces symboles qui
La Grande Fête est l’aboutissement de trois années de travail autour des cultures maliennes et brésiliennes avec la compagnie DonKaDi, La Banda de Rolé et les habitants et habitantes des Hauts de Rouen. Réservation au 02 35 98 45 05 ou sur www.letincelle-rouen.fr Photo : Sebastiano Piazzi / Unsplash Aller au spectacle en transport en commun avec le réseau Astuce
Les spectacles de Gisèle Vienne baignent dans une atmosphère visuelle, textuelle et musicale aussi inquiétante qu’envoûtante, invitent interprètes et marionnettes à taille humaine à habiter des scénographies épurées et prégnantes. « L’Étang" ne déroge pas à la démarche de la metteuse en scène, artiste associée au Volcan pratiquant un théâtre hybride à la pointe du contemporain, jouant sur le malaise et les pulsions humaines. Après « Extra Life », « L’Étang », inspiré d’une courte pièce de Robert Walser, campe la relation douloureuse d’un fils avec sa mère qu’il croit insensible et hermétique à sa personne. La détresse et le mal-être adolescent y sont au
Pour sa nouvelle création, le Groupe acrobatique de Tanger s’associe à Raphaëlle Boitel, directrice artistique de renom. A l’aide d’un vocabulaire puissant et ancré dans son temps, les treize acrobates du collectif et leur metteuse en piste embarquent dans une épopée entre Europe et Afrique, cirque et ballet, tradition et modernité. Une invitation au voyage à travers l’harmonie des corps, libres et aériens. Un univers aux reflets d’or, parfois tranché par un bleu profond, symbole de rêve, de sagesse, de mer, de ciel, et de sérénité. Les mouvements collectifs et individuels questionnent l’identité et le courage, le lâcher prise ou
5 jours de folies improvisées qui réunissent des artistes de toute la francophonie pour former autour des Improbables une véritable troupe éphémère où la Suisse, la Belgique, le Québec, l’Italie et la France sont représentés à travers des comédiens, des musiciens, des illustrateurs ou encore des chanteurs. Tarifs : de 14 à 8 € Réservation au 02 35 19 45 74 ou en ligne Photo : DR
Productrice et compositrice autodidacte, ELOI aiguise ses influences et embrasse son héritage électro. Après avoir bravé les flammes sous les Kicks Gabbers, elle fait à présent sonner les guitares dans un premier album qui souffle avec force sur ses tempêtes adolescentes et porte le regard au-delà de la grisaille. Explorant sa mémoire embrumée, Éloi laisse s’agiter des souvenirs euphoriques et douloureux, comme un appel à l’électricité des émotions vives et vers l’émancipation de l’esthétique glam- punk. Tarifs : de 25 à 8 € Réservation au 02 32 10 88 60 ou sur www.le106.com Aller au concert en transport en
Pour ce concert, carte blanche a été donnée aux cinq instrumentistes à vent de l’Orchestre régional de Normandie. Promenant l’auditeur au gré de trois siècles de musique, le quintette ouvrira le bal avec un chef-d’œuvre de Mozart aux inspirations tourmentées et élaborées, en passant par Samuel Barber pour une page volubile et virtuose. Suivront alors les pièces en canon de Robert Schumann, hommage du compositeur romantique à Jean-Sébastien Bach, et les danses roumaines de Béla Bartók signeront la fin de ce programme riche en couleurs. Tarifs : 14 €, 11 € Réservation au 02 32 57 72 10 ou
Depuis bien des années, la Frit (Fédération régionale d’improvisation théâtrale) invite ses amis improvisateurs, venus de toute la France, à partager la scène de l’ECPC pour des matchs d’improvisation. Ce sont des spectacles théâtraux durant lesquels deux équipes jouent ensemble pour offrir des histoires, des émotions, du rire pour les petits et les grands. Et le public dans tout ça ? C’est lui qui décide : il vote à la fin de chaque improvisation quelle équipe a été la meilleure. Tarif : 3 € Réservation au 02 35 13 16 54 ou en ligne Photo : La Frit
Aimer, vibrer, jouir, s’engager, créer un foyer, res- ter libre, s’épanouir. « Corps et Âmes », ce sont des fragments de relations amoureuses, dévoilés à un moment « charnière » du couple. Le moment où les corps se rencontrent pour la première fois, le moment où l’on met une étiquette officielle sur la relation, ou encore le moment où l’usure et la longévité la font craqueler. Dans ce tourbillon de sentiments universels, les personnages font tous le choix de dire. Avec leurs mots, à leur manière, à eux-mêmes, à l’autre ou au monde, ils vont oser se mettre à nu pour crier
Antoine De Saint-Exupéry rédige « Le Petit Prince » au coeur des heures sombres de la Seconde Guerre Mondiale. Pour l’auteur, il y a urgence à délivrer un message profondément humaniste de paix, d’espoir, d’ouverture aux autres et de fraternité. Ces valeurs intemporelles demeurent d’une actualité criante et sont, hier comme aujourd’hui, profondément essentielles. La comédienne Anne Girouard et le musicien multi-instrumentiste Pierre-François Roussillon s’emparent de ce texte pour en livrer leur version, entre mots et notes de musique, et plonger dans l’univers fascinant du Petit Prince. À partir de 8 ans Tarifs : de 18 à 8 € Réservation au
Les trois artistes de la Compagnie Takakrôar ont décidé de prendre soin les uns des autres, à leur manière : en s'interrogeant sur leurs névroses respectives ! En entrant dans leur yourte, le public est invité à suivre leurs élucubrations hautement philosophiques, entre musique, performance du quotidien, théâtre et cirque. Et à assister à des scènes toutes aussi farfelues les unes que les autres : ils jouent à trois sur la même guitare ; ils prennent le thé à une table perchée sur un bout de bois ; l'un d'eux, muni d'une carapace en carton, saute de la coupole. « Et
Sur scène, un espace unique se construit et se partage. Peut-être une cabane ou un refuge en montagne ? En tout cas, un lieu pour jouer avec la relation entre les artistes et le public, et bousculer les conventions habituelles des spectacles. Dans « Réfugions-nous », le public est acteur, capable d'influencer le déroulement du récit ? Et si l’on détenait les clés pour en orienter l’issue, que ce soit par un choix direct ou par le fait du hasard ? Un peu comme un roman interactif, ce spectacle de La Mondiale Générale ne sera jamais le même. Lisez l'article Durée
Cette exposition propose, grâce aux fonds remarquables du musée, de découvrir la « science en train de se faire » au regard des prémices de cette instruction spécifique qu’est la science « physique ». Initiée dès l’école primaire sous la IIIe République, ses évolutions sont grandissantes et concernent également l’enseignement secondaire, du lycée napoléonien aux méthodes actuelles. Trois axes structurent le propos : l’optique, les poids et mesures et l’électricité. Aux côtés des instruments spectaculaires, vous retrouverez des manuels scolaires, des photographies, du matériel didactique et des travaux d’élèves : près de 130 objets qui permettent une recontextualisation complète.
Peintre figuratif formé à Paris selon les préceptes du retour à l’ordre, il vécut une révolution artistique majeure lors de son installation à Saint-Tropez auprès de Simone Armando-Barbier. Suivant la trace des postimpressionnistes et des fauves, il s’est imprégné de la lumière du midi pour produire des œuvres lumineuses, élégantes et délicates imprégnées de la forte personnalité de leur créateur et d’une individualité qui le classe à part dans sa génération. L’exposition Jacques Cordier de Saint-Tropez à Trouville, héritage et contraste présente une face totalement méconnue de la création du peintre, les littoraux de Normandie et du nord de l’Europe
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée des Beaux-Arts de Rouen présente une exposition consacrée à l’incendie de la flèche de la cathédrale de Rouen en 1822 et aux débats autour de la reconstruction de l’édifice longtemps le plus haut du monde. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou sur www.mbarouen.fr Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce photo : Vue de la flèche avec le premier clocheton contemplé par le ferronnier Ferdinand Marrou, Albert Witz, 1881, collection Rijksmuseum d'Amsterdam
Noëmi Schindler est une artiste très engagée en faveur de la musique contemporaine (plus de 300 créations mondiales au cours des vingt dernières années). Elle y a cotoyé nombre de partenaires prestigieux de musique de chambre. Avec Antonin Le Faure, Szuhwa Wu et Martina Rodriguez, elle interprète « La jeune fille et la mort » de Franz Schubert et « Ripples never come back » de Michel Tadini. Réservation au 02 35 99 25 46 Photo : DR
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée industriel de la corderie Vallois ouvre les coulisses des chantiers prioritaires au sortir de la Seconde Guerre mondiale jusque dans les années 1950. Lire l’article Renseignements au 02 35 74 35 35 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
L’exposition des dessins de Joseph Le Dieu (1815-1880) a été imaginée comme une véritable promenade dans la moitié sud du département de la Manche, du Coutançais à l’Avranchin. L’artiste a dessiné à Saint-Pair, à la mare de Bouillon, à Granville, à Saint-James, à Avranches, à Gratot et dans la campagne environnante. Le regard attentif et observateur de Joseph Le Dieu, au-delà de la recherche du pittoresque et de l'approche romantique de son époque, rend ainsi compte de cette société provinciale, rurale et littorale sur laquelle il existe peu de documentation. En dehors de l'intérêt archéologique et ethnographique qu'ils suscitent, et
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée de la Céramique s’intéresse aux dimensions matérielles et sensorielles de la terre brisée, réparée, sublimée et à la symbolique de la céramique cassée. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
Durement frappées par les destructions allemandes de 1940, puis par les bombardements allés de 1942-1944, les agglomérations de Rouen et d’Elbeuf ne sont pas indemnes de la Seconde Guerre mondiale. Comment reconstruire ? À Travers des photographies, des archives, des témoignages et des objets, l’exposition « Reconstruire… la ville propose d’observer l’architecture des années 1950. Renseignements au 02 32 96 30 40 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Entrée de la rue des Martyrs, Fabrique des Savoirs / RMM
Les maisons d’écrivains suscitent beaucoup de curiosité et ont fait l’objet de transformation pour pouvoir accueillir du public. Le musée Flaubert et d’histoire de la médecine présente des maquettes, des costumes, des objets insolites qui ont appartenu à des auteurs venus en Normandie. Renseignements au 02 76 30 39 90 Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Cabinet de travai lde Flaubert à Croisset, Georges-Antoine Rochegrosse, 1874, collection Pavillon Flaubert / RMM
Les spectacles de Gisèle Vienne baignent dans une atmosphère visuelle, textuelle et musicale aussi inquiétante qu’envoûtante, invitent interprètes et marionnettes à taille humaine à habiter des scénographies épurées et prégnantes. « L’Étang" ne déroge pas à la démarche de la metteuse en scène, artiste associée au Volcan pratiquant un théâtre hybride à la pointe du contemporain, jouant sur le malaise et les pulsions humaines. Après « Extra Life », « L’Étang », inspiré d’une courte pièce de Robert Walser, campe la relation douloureuse d’un fils avec sa mère qu’il croit insensible et hermétique à sa personne. La détresse et le mal-être adolescent y sont au
Le duo Au fur & en mesures revisite tout à la fois des chants populaires italiens, espagnols et yiddishs, et des airs de Bizet, de Falla ou de Schubert. Instrumentiste, compositrice, cheffe de chœur et chanteuse, Alessandra Lupidi convoque ses deux pays d’origine - l’Italie, l’Espagne -, mais aussi ses multiples facettes vocales. Après une formation lyrique, elle a notamment chanté dans de nombreux chœurs d’opéra, et en tant que soliste sous la direction de Laurence Equilbey. Anja Schimanski, contrebassiste, pratique quant à elle l’improvisation libre et accompagne divers groupes de musique klezmer, jazz, afro-cubain jazz. Durée : 1h20
Pour sa nouvelle création, le Groupe acrobatique de Tanger s’associe à Raphaëlle Boitel, directrice artistique de renom. A l’aide d’un vocabulaire puissant et ancré dans son temps, les treize acrobates du collectif et leur metteuse en piste embarquent dans une épopée entre Europe et Afrique, cirque et ballet, tradition et modernité. Une invitation au voyage à travers l’harmonie des corps, libres et aériens. Un univers aux reflets d’or, parfois tranché par un bleu profond, symbole de rêve, de sagesse, de mer, de ciel, et de sérénité. Les mouvements collectifs et individuels questionnent l’identité et le courage, le lâcher prise ou