Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée des Beaux-Arts de Rouen présente une exposition consacrée à l’incendie de la flèche de la cathédrale de Rouen en 1822 et aux débats autour de la reconstruction de l’édifice longtemps le plus haut du monde. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou sur www.mbarouen.fr Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce photo : Vue de la flèche avec le premier clocheton contemplé par le ferronnier Ferdinand Marrou, Albert Witz, 1881, collection Rijksmuseum d'Amsterdam
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée industriel de la corderie Vallois ouvre les coulisses des chantiers prioritaires au sortir de la Seconde Guerre mondiale jusque dans les années 1950. Lire l’article Renseignements au 02 35 74 35 35 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
L’exposition des dessins de Joseph Le Dieu (1815-1880) a été imaginée comme une véritable promenade dans la moitié sud du département de la Manche, du Coutançais à l’Avranchin. L’artiste a dessiné à Saint-Pair, à la mare de Bouillon, à Granville, à Saint-James, à Avranches, à Gratot et dans la campagne environnante. Le regard attentif et observateur de Joseph Le Dieu, au-delà de la recherche du pittoresque et de l'approche romantique de son époque, rend ainsi compte de cette société provinciale, rurale et littorale sur laquelle il existe peu de documentation. En dehors de l'intérêt archéologique et ethnographique qu'ils suscitent, et
Peintre figuratif formé à Paris selon les préceptes du retour à l’ordre, il vécut une révolution artistique majeure lors de son installation à Saint-Tropez auprès de Simone Armando-Barbier. Suivant la trace des postimpressionnistes et des fauves, il s’est imprégné de la lumière du midi pour produire des œuvres lumineuses, élégantes et délicates imprégnées de la forte personnalité de leur créateur et d’une individualité qui le classe à part dans sa génération. L’exposition Jacques Cordier de Saint-Tropez à Trouville, héritage et contraste présente une face totalement méconnue de la création du peintre, les littoraux de Normandie et du nord de l’Europe
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée de la Céramique s’intéresse aux dimensions matérielles et sensorielles de la terre brisée, réparée, sublimée et à la symbolique de la céramique cassée. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
La force hydraulique et les larmes ont été les éléments moteurs de la pensée de l’artiste Pamina de Coulon pour ce quatrième volet de sa saga de spectacles « Fire of emotions ». Elle a fait de sa visite aux chutes du Niagara, la source de ce monologue-fleuve, rapide et tumultueux comme les chutes évoquées. Elle y emporte dans le tourbillon de sa pensée. D’un sujet l’autre, de digressions en révélations, elle s’autorise de multiples écarts pour mieux articuler de nombreux points brûlants de l’époque. Elle parle de la question de la colonisation non pas comme d'un récit appartenant aux ancêtres, mais
Deux performeurs, une femme et un homme proposent à des inconnus : public, passants, danseurs de partager un slow ensemble. Le temps d’une chanson, deux personnes qui ne se connaissent pas, des casques audios sur les oreilles, se rencontrent alors, partagent furtivement une grande intimité et ralentissent brusquement le temps… Durée : 1 heure Réservation au 02 32 76 93 01 ou à spectacle.culture@univ-rouen.fr Aller au spectacle en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Charlotte Rousseau
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée industriel de la corderie Vallois ouvre les coulisses des chantiers prioritaires au sortir de la Seconde Guerre mondiale jusque dans les années 1950. Lire l’article Renseignements au 02 35 74 35 35 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
L’exposition des dessins de Joseph Le Dieu (1815-1880) a été imaginée comme une véritable promenade dans la moitié sud du département de la Manche, du Coutançais à l’Avranchin. L’artiste a dessiné à Saint-Pair, à la mare de Bouillon, à Granville, à Saint-James, à Avranches, à Gratot et dans la campagne environnante. Le regard attentif et observateur de Joseph Le Dieu, au-delà de la recherche du pittoresque et de l'approche romantique de son époque, rend ainsi compte de cette société provinciale, rurale et littorale sur laquelle il existe peu de documentation. En dehors de l'intérêt archéologique et ethnographique qu'ils suscitent, et
Peintre figuratif formé à Paris selon les préceptes du retour à l’ordre, il vécut une révolution artistique majeure lors de son installation à Saint-Tropez auprès de Simone Armando-Barbier. Suivant la trace des postimpressionnistes et des fauves, il s’est imprégné de la lumière du midi pour produire des œuvres lumineuses, élégantes et délicates imprégnées de la forte personnalité de leur créateur et d’une individualité qui le classe à part dans sa génération. L’exposition Jacques Cordier de Saint-Tropez à Trouville, héritage et contraste présente une face totalement méconnue de la création du peintre, les littoraux de Normandie et du nord de l’Europe
Durement frappées par les destructions allemandes de 1940, puis par les bombardements allés de 1942-1944, les agglomérations de Rouen et d’Elbeuf ne sont pas indemnes de la Seconde Guerre mondiale. Comment reconstruire ? À Travers des photographies, des archives, des témoignages et des objets, l’exposition « Reconstruire… la ville propose d’observer l’architecture des années 1950. Renseignements au 02 32 96 30 40 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Entrée de la rue des Martyrs, Fabrique des Savoirs / RMM
Les maisons d’écrivains suscitent beaucoup de curiosité et ont fait l’objet de transformation pour pouvoir accueillir du public. Le musée Flaubert et d’histoire de la médecine présente des maquettes, des costumes, des objets insolites qui ont appartenu à des auteurs venus en Normandie. Renseignements au 02 76 30 39 90 Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Cabinet de travai lde Flaubert à Croisset, Georges-Antoine Rochegrosse, 1874, collection Pavillon Flaubert / RMM
La première création du collectif Ô 77 intitulée « So » fait cohabiter deux formes : le rebond individuel et la danse contact collective. Les danseurs et danseuses et le batteur rebondissent ensemble dans un élan frénétique, créant une intensité musicale et corporelle croissante. À la recherche d’une danse physique côtoyant les limites de l’épuisement, les corps s’appréhendent pour mieux interagir et développent un langage sensible et subtil se jouant de l’inattendu et de l’imprévisible. Réservation au 02 35 98 45 05 ou sur www.letincelle-rouen.fr Photo : Marion Domanski Aller au spectacle en transport en commun avec le réseau Astuce
Mettre en perspective des œuvres baroques de Georg Philipp Telemann avec un répertoire de musiques populaires d’Europe de l’Est, voilà une brillante idée. Tête bien faite et chercheuse des Musiciens de Saint-Julien, formation spécialisée dans le répertoire baroque et folklorique, le flûtiste François Lazarevitch exhume mélodies, chansons et danses traditionnelles tourbillonnantes. Fort de son érudition et d’une intuition lumineuse, guidé par l’autobiographie du compositeur allemand, il concocte un programme hybride et transversal, slave en diable. S’y expriment, dans la virtuosité de rythmes grisants, une pluralité d’instruments à vents, soutenus par des percussions du Moyen-Orient. Les aigus primesautiers des flûtes (traversière
Il n’y a pas qu’un mais bien une multitude d’Orphée, d’Orféo, d’Orpheus traversant les époques et les partitions. De Monteverdi à Byrd, de Telemann à Sullivan, des Walker Brothers à Sofia Gubaidulina, la peine et l’exil du poète ont inspiré les compositeurs. Le talentueux Benjamin Appl prête sa voix au plus humain des personnages divins qui savait, par sa lyre, charmer les animaux sauvages et qui brava les Enfers pour y chercher sa femme Eurydice, la perdant à tout jamais d’un dernier regard. Durée : 1h45 Tarifs : de 38 à 10 € Réservation au 02 35 98 74
Tout va bien… Le monde vacille, la crise écologique semble insurmontable et Nadège et Julien n’ont toujours pas été nominés aux Molières. Mais tout va bien. Face à la crise, climatique, sociale, économique, sanitaire, conjugale, familiale, identitaire… Bref, face à la crise de nerfs, il faut en rire. Après leurs spectacles « Inconsolable(s) » et « CHIEN.NE, anatomie d’une violence », le Groupe Chiendent mené par Nadège Cathelineau et Julien Frégé entame un nouveau chapitre : celui de la comédie. Un terrain de jeu idéal pour leurs piques cinglantes d’ironie et leur esprit de rébellion contre ce monde chaotique. Durée : 1h30 Spectacle
Sept personnes sur un tréteau livrent une performance physique et spectaculaire. Sept comédiens et comédiennes de cinq nationalités différentes, qui créent sur deux mètres carré, racontent une révolution. Une révolution qui ressemble à la Commune de Paris de 1871 mais qui ne finirait pas dans un bain de sang. S’emparer de l’utopie et lui donner corps au présent. Sur le tréteau, le chaos de la révolution côtoie le système chaotique de la météo. Et une tempête se prépare. Celle, inédite, d’un changement climatique, politique et social. En physique, le nombre de degrés de liberté d’un système permet de déterminer à
Il y a, au départ, l’appel du football. Ce sport, fédérateur, chorégraphique, est une matière idéale pour mettre en mouvement le corps, chercher l’ensemble et le groupe. Il y a, ensuite, le contre-appel d’une question, celle de l’enfant et de l’enfance. À cet âge flottant, entre 25 et 30 ans, pointe et subsiste la question de la reproduction, de la mise au monde d’un enfant. Mais sur quel monde mise-t-on dans ce processus ? À l’heure de la dissolution de la planète, pourquoi commettre cet acte et à quelle fin ? Dans une composition d’équipe réduite, un match tragique à
Sur ces « Terres de rencontres », les artistes s’offrent la liberté de plonger dans leurs corps et la mémoire de leurs sensations tout en étant proche des éléments naturels. Durée : 50 minutes Tarifs : 8,50 €, 5 € Réservation au 02 32 11 53 55 Aller au spectacle en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Jérôme Séron
Mathieu Létuvé adapte à la scène cette satire mordante sur les mécanismes du pouvoir, écrite par George Orwell en 1945. Suite à l’insurrection menée contre l’espèce humaine, les animaux règnent en maîtres sur la ferme. Les voici libérés de l’oppression humaine. Vive la révolution ! Vive la ferme libre ! Mais la soif de pouvoir est plus forte. Les cochons profitent de la crédulité de leurs camarades pour instaurer une dictature. Fable politique à l’humour grinçant, miroir des dérives autoritaires de nos sociétés, « La Ferme des animaux », ce chef-d’œuvre de George Orwell, dépeint avec humour et lucidité les faiblesses humaines qui subvertissent
La force hydraulique et les larmes ont été les éléments moteurs de la pensée de l’artiste Pamina de Coulon pour ce quatrième volet de sa saga de spectacles « Fire of emotions ». Elle a fait de sa visite aux chutes du Niagara, la source de ce monologue-fleuve, rapide et tumultueux comme les chutes évoquées. Elle y emporte dans le tourbillon de sa pensée. D’un sujet l’autre, de digressions en révélations, elle s’autorise de multiples écarts pour mieux articuler de nombreux points brûlants de l’époque. Elle parle de la question de la colonisation non pas comme d'un récit appartenant aux ancêtres, mais
Dans « Les Noces de Figaro, la Comtesse Almaviva se languit de son mari qui préfère courir après Barberine, la fille du jardinier, et Suzanne, la soubrette. Mais cette dernière doit épouser Figaro, le valet du Comte, tandis que le jeune Chérubin, lui, courtise tout ce qui porte un jupon ! Tout ce petit monde trouvera tout de même son bonheur, après néanmoins maints quiproquos, déguisements et coups de théâtre. Inspirée de la pièce éponyme de Beaumarchais, cette « folle » et malicieuse description des relations humaines – ici, les domestiques font la leçon à leurs maîtres et les femmes remettent les
Un spectacle participatif dans lequel le public peut voter pour la direction scénaristique de son choix, à la manière de ces romans dont vous étiez le héros. Dans « Mytholotruc », tout va tambour battant, sur le ton de l’enquête parodique, en chansons, en musique, et toujours en interactivité, grâce à des jeux variés, intégrés à l’intrigue. Le tout, avec les moyens du bord offerts par la formidable simplicité du théâtre : objets, lumières, storytelling... Les trois acteurs prennent tout ce qui leur passe sous la main pour incarner au mieux les personnages et les grands enjeux de la mythologie. Durée
Le piano est doux, agréable… Une femme apprêtée, élégante, chignon haut, robe, accueille le public. Elle parle d’une voix douce, gracieuse, intercédant aux demandes des convives, s’assurant que les invités aient trouvé une place agréable, soient servis en vin… La dégustation débute. On suit le phrasé ampoulé de cette femme qui initie l’assemblée à l’accord entre vins et fromages. Il semble pourtant que la voix est un peu tremblante, que les yeux pleurent un peu… C’est alors que tout valse ! Jaillit alors une femme œnologue de terrain, métamorphosée, sans artifices, ouvrant son monde inclusif, au franc-parler, aux grandes aubes,
La force hydraulique et les larmes ont été les éléments moteurs de la pensée de l’artiste Pamina de Coulon pour ce quatrième volet de sa saga de spectacles « Fire of emotions ». Elle a fait de sa visite aux chutes du Niagara, la source de ce monologue-fleuve, rapide et tumultueux comme les chutes évoquées. Elle y emporte dans le tourbillon de sa pensée. D’un sujet l’autre, de digressions en révélations, elle s’autorise de multiples écarts pour mieux articuler de nombreux points brûlants de l’époque. Elle parle de la question de la colonisation non pas comme d'un récit appartenant aux ancêtres, mais
Le Bal à Béné c’est celui de ceux qui savent danser, de ceux qui ne savent pas mais qui aimeraient bien essayer, de ceux qui savaient mais qui ont oublié, de ceux qui voudraient bien mais n’ont jamais osé, de ceux qui dansaient avant mais ça fait longtemps. La chanteuse et maîtresse à danser, Bénédicte Attali et l’orchestre de poche du Grand Pop explorent joyeusement les danses traditionnelles européennes qu’elles soient en ligne, en cercle, seul ou à plusieurs. Dans ce bal de la diversité se glissent aussi des musiques traditionnelles et des danses de pays plus lointains : une
Été 1989, la Lambada du groupe franco-brésilien Kaoma enflamme les dancefloors du monde entier avec son tempo latino irrépressible. Le premier tube de l’été mondialisé est né. Quelques mois plus tard le mur de Berlin tombe. Quel rapport ? Le Collectif ÈS, habitué des explorations chorégraphiques de la culture populaire, y voit un écho puissant : la possibilité du rapprochement des corps. Collés-serrés pour la Lambada, frontière abolie pour les Allemands séparés. Sur deux tatamis blancs, deux trios se lancent dans une étude physique, sociale et musicale de la Lambada, déclinant autant de manières de se rapprocher, de chanter et d’inclure le
À Paris en 1942, sept convives, s’étant plus ou moins bien accommodés à l’Occupation allemande, se retrouvent chez l’un d’eux pour fêter l’anniversaire de leur hôte. La soirée se déroule sous les meilleurs auspices, lorsqu’au pied de leur immeuble sont abattus deux officiers allemands. En représailles, la Gestapo investit l’immeuble et décide de prendre deux otages par appartement. Mais le Commandant Kaubach, qui dirige l’opération, reconnaît en la personne du propriétaire de l’appartement, M. Pélissier, un libraire à qui il achète régulièrement des ouvrages. Soucieux d’entretenir les rapports courtois qu’il a toujours eus avec lui, il décide de les laisser
Une soirée avec trois artistes. Lisa Perrio joue des extraits de « Tellement » et des personnages avec toutes leurs contradictions. Thérèse alterne entre sketchs et chansons pour parler de sa réalité qu’elle souhaite vivre comme ça l’arrange. Enfin Angie Degrolard explore l’art du bafouillage. Durée : 1h15 Tarifs : de 10 à 5 € Réservation au 02 32 94 90 23 Photos : Kobayashi, Elena Ramos, Stéphane Audran
Ils sont quatre musiciens, nouveaux professeurs à l'École d’Improvisation Jazz cette année : Nicolas Candé et Tristan Michel (batteurs), Louis Pineau (guitariste) et Sergio Galvão (saxophoniste). Accompagnés d'invités surprise, ils mettent leur art en commun pour ce concert autour d'un musicien emblématique : Georges Brassens. Durée : 1h30 Tarifs : de 15 à 10 € Réservation en ligne Aller au concert en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : L. Meyer
Dans l’intimité, une femme évoque tous les moments de sa vie mais dans le désordre sympathique de souvenirs accompagnant son quotidien. Survivante des camps d’extermination, symbole de l’émancipation des femmes et militante du droit à l’avortement, première présidente du Parlement européen, Simone Veil, interprétée par Sophie Caritté, invite à partager son parcours. Durée : 1h20 À partir de 14 ans Tarifs : 10 €, 8 € Réservation au 02 35 29 22 81 ou sur www.theatrelepassage.fr Photo : Kévin Louviot
Jusqu’ici, tout allait bien dans le pays des boutons verts. Quand arriva un jour un bouton différent : il ne venait pas d’ici, sa taille ne convenait pas mais surtout… il était orange !! Qu’allaient donc faire les boutons verts ? Le laisser les rejoindre ? L’isoler ? Lui demander de partir ? Inspiré de l’ouvrage « Tout allait bien » de Franck Prévot, ce spectacle cartoonesque sans parole raconté uniquement avec des objets et onomatopées aborde avec humour et grande poésie la question de l’acceptation de l’autre. Durée : 45 minutes Spectacle à partir de 4 ans Tarifs : 8 €, 6 € Réservation
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée des Beaux-Arts de Rouen présente une exposition consacrée à l’incendie de la flèche de la cathédrale de Rouen en 1822 et aux débats autour de la reconstruction de l’édifice longtemps le plus haut du monde. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou sur www.mbarouen.fr Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce photo : Vue de la flèche avec le premier clocheton contemplé par le ferronnier Ferdinand Marrou, Albert Witz, 1881, collection Rijksmuseum d'Amsterdam
Des chansons aux refrains pop entêtants qui parlent du printemps, des scarabées, des liens entre les arbres. Au son de la guitare et du violoncelle électriques, les textes ciselés sont autant une invitation poétique à s'émerveiller qu'une incitation à danser. Nelson, composé de Lucie Malbosc et Hélène Deulofeu, propose l’exploration sonore de la forêt : insectes et bruissements de feuillages se joignent aux sons des synthés, portés par la magie de la troisième artiste : une fougère qui chante. Grâce à une technologie innovante, les fréquences qu’elle émet sont traduites en sons. C’est elle qui emmène au cœur de la
« Sha Doizo » est l’histoire d’un animal imaginaire qui vit dans un jardin imaginaire. Ni chat, ni oiseau, Sha Doizo est un peu tout ça en même temps. Il voudrait bien voler, mais un chat ne vole pas. Un jour, Sha Doizo rencontre une clef de sol. C’est le début d’une grande aventure à suivre avec Le Friiix Club. Durée : 25 minutes À partir de 1 an Tarifs : 5,40 €, 2,70 € Réservation au 02 35 36 95 80 ou en ligne Photo : Tiphaine Vilain Aller au spectacle en transport en commun avec le réseau Astuce
Ce ciné-concert, « Aria » mêle des images captivantes à des notes de musique électronique jouées en live. Sur la planète Aria, la vie évolue : des petites particules et cellules jusqu’à l’apparition de nouvelles espèces de plus en plus complexes et surprenantes. La musique que Jesse Lucas propose sur scène guide ce voyage, et les mélodies influencent et transforment cet écosystème fragile. Cette expérience immersive et contemplative brouille les frontières entre le réel et le virtuel, offrant aux spectateurs une aventure fascinante. Durée : 45 minutes À partir de 5 ans Tarifs : 8 €, 6 € Réservation au 02
Cette exposition propose, grâce aux fonds remarquables du musée, de découvrir la « science en train de se faire » au regard des prémices de cette instruction spécifique qu’est la science « physique ». Initiée dès l’école primaire sous la IIIe République, ses évolutions sont grandissantes et concernent également l’enseignement secondaire, du lycée napoléonien aux méthodes actuelles. Trois axes structurent le propos : l’optique, les poids et mesures et l’électricité. Aux côtés des instruments spectaculaires, vous retrouverez des manuels scolaires, des photographies, du matériel didactique et des travaux d’élèves : près de 130 objets qui permettent une recontextualisation complète.
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée industriel de la corderie Vallois ouvre les coulisses des chantiers prioritaires au sortir de la Seconde Guerre mondiale jusque dans les années 1950. Lire l’article Renseignements au 02 35 74 35 35 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
L’exposition des dessins de Joseph Le Dieu (1815-1880) a été imaginée comme une véritable promenade dans la moitié sud du département de la Manche, du Coutançais à l’Avranchin. L’artiste a dessiné à Saint-Pair, à la mare de Bouillon, à Granville, à Saint-James, à Avranches, à Gratot et dans la campagne environnante. Le regard attentif et observateur de Joseph Le Dieu, au-delà de la recherche du pittoresque et de l'approche romantique de son époque, rend ainsi compte de cette société provinciale, rurale et littorale sur laquelle il existe peu de documentation. En dehors de l'intérêt archéologique et ethnographique qu'ils suscitent, et
Ce ciné-concert, « Aria » mêle des images captivantes à des notes de musique électronique jouées en live. Sur la planète Aria, la vie évolue : des petites particules et cellules jusqu’à l’apparition de nouvelles espèces de plus en plus complexes et surprenantes. La musique que Jesse Lucas propose sur scène guide ce voyage, et les mélodies influencent et transforment cet écosystème fragile. Cette expérience immersive et contemplative brouille les frontières entre le réel et le virtuel, offrant aux spectateurs une aventure fascinante. Durée : 45 minutes À partir de 5 ans Tarifs : 8 €, 6 € Réservation au 02
Peintre figuratif formé à Paris selon les préceptes du retour à l’ordre, il vécut une révolution artistique majeure lors de son installation à Saint-Tropez auprès de Simone Armando-Barbier. Suivant la trace des postimpressionnistes et des fauves, il s’est imprégné de la lumière du midi pour produire des œuvres lumineuses, élégantes et délicates imprégnées de la forte personnalité de leur créateur et d’une individualité qui le classe à part dans sa génération. L’exposition Jacques Cordier de Saint-Tropez à Trouville, héritage et contraste présente une face totalement méconnue de la création du peintre, les littoraux de Normandie et du nord de l’Europe
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée de la Céramique s’intéresse aux dimensions matérielles et sensorielles de la terre brisée, réparée, sublimée et à la symbolique de la céramique cassée. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
Durement frappées par les destructions allemandes de 1940, puis par les bombardements allés de 1942-1944, les agglomérations de Rouen et d’Elbeuf ne sont pas indemnes de la Seconde Guerre mondiale. Comment reconstruire ? À Travers des photographies, des archives, des témoignages et des objets, l’exposition « Reconstruire… la ville propose d’observer l’architecture des années 1950. Renseignements au 02 32 96 30 40 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Entrée de la rue des Martyrs, Fabrique des Savoirs / RMM
Les maisons d’écrivains suscitent beaucoup de curiosité et ont fait l’objet de transformation pour pouvoir accueillir du public. Le musée Flaubert et d’histoire de la médecine présente des maquettes, des costumes, des objets insolites qui ont appartenu à des auteurs venus en Normandie. Renseignements au 02 76 30 39 90 Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Cabinet de travai lde Flaubert à Croisset, Georges-Antoine Rochegrosse, 1874, collection Pavillon Flaubert / RMM
Pour clore la 7e édition du festival Noob, voilà un concert-goûter qui donne l’occasion pour les plus petits de vivre l’expérience des musiques électroniques en conditions de concert. Alors qu’à l’écran sont projetées et animées des représentations artistiques des phénomènes sonores et musicaux, le trio de musiciens sur scène fait vibrer la salle avec ses boites-à- rythmes, synthétiseurs et effets. Durée : 50 minutes À partir de 6 ans Tarifs : 8 €, 6 € Réservation au 02 32 41 81 31 et sur http://eclat.ville-pont-audemer.fr Photo : Kogumi
« Ekla » est un moment de contemplation. Tels des explorateurs entourés de leurs machines et d’instruments curieux, Damien Rollin et François-Xavier Cumin, le duo de Turnsteak, créent en direct une musique électronique qui accompagne des images animées, projetées sur un livre pop-up plus grand que nature. Chaque page dévoile des sculptures de papier habitées d’êtres d’ombre et de lumière, et d’architectures colorées qui attisent l’imaginaire. Un voyage entre le cinéma d’animation, les arts numériques, le livre et le concert. Durée : 40 minutes À partir de 4 ans Tarif : 5 € Réservation au 02 35 19 00
Des chansons aux refrains pop entêtants qui parlent du printemps, des scarabées, des liens entre les arbres. Au son de la guitare et du violoncelle électriques, les textes ciselés sont autant une invitation poétique à s'émerveiller qu'une incitation à danser. Nelson, composé de Lucie Malbosc et Hélène Deulofeu, propose l’exploration sonore de la forêt : insectes et bruissements de feuillages se joignent aux sons des synthés, portés par la magie de la troisième artiste : une fougère qui chante. Grâce à une technologie innovante, les fréquences qu’elle émet sont traduites en sons. C’est elle qui emmène au cœur de la
« Printemps » est un concert chorégraphique, une suite de tableaux inspirés d’images symboliques sur le thème de la mort et de la renaissance. Dans une mise en scène aux airs d’incantation collective, quatre danseurs et cinq percussionnistes nous donnent à voir et à entendre un monde qui revient à la vie. Ensemble, ils célèbrent le Renouveau. Le temps d’une respiration collective, aux couleurs d’une fête macabre salvatrice, se dessine le paysage étrange d’une communauté qui choisit l’espoir comme ultime consolation. Ici, un squelette virevolte dans les airs ; là, des médecins de la peste cachés derrière d’inquiétants masques à bec manipulent
Dans cet essai parlé, Pamina de Coulon choisit de traiter de l’eau. De marées en deltas, de rivières en glaciers, il est question de remplissage, barrages, turbines, mais surtout de toutes les violences liées à la production d’énergie. Et se pose alors la question fondamentale de la puissance hydraulique des larmes. « Niagara 3000 » mêle culture scientifique et culture pop, écrits politiques, théories absurdes et élans autobiographiques. Tout le talent de Pamina de Coulon réside dans cette aisance insolente à manier la langue et les registres, à transmettre de l’espoir et des doutes et, au passage, à glisser quelques vérités bien
Mouton noir repose sur une maîtrise technique accrue du football freestyle de Paul Molina couplée à une performance physique circassienne autour de l’acrobatie. Il laisse libre cours à son explosivité, caractéristique d’un sport où tout se passe en fractions de seconde. Le football freestyle puise une partie de ses techniques dans le cirque, mais se démarque du jonglage classique. Dans cette création, le cirque vient pousser à son paroxysme le niveau de maîtrise du corps et se mêle au football freestyle avec un niveau de contrôle du ballon par Paul Molina poussé à l’extrême. Un échange, une discussion entre deux
Il était une fois, une forêt profonde. Un pauvre bûcheron et une pauvre bûcheronne… On croit reconnaître un conte traditionnel, sauf que dans cette histoire imaginée par Jean-Claude Grumberg résonnent les échos des plus sombres heures de notre histoire contemporaine. Et pourtant, il sera ici question d’adoption plutôt que d’abandon, du surgissement de l’humanité au cœur de la monstruosité du monde. L’écriture de Jean-Claude Grumberg porte un message essentiel, qu’il est indispensable de transmettre aux générations futures : celui d’une mémoire à garder vivante, mais aussi de la puissance de la générosité et de l’amour, seuls remparts contre toutes formes de
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée des Beaux-Arts de Rouen présente une exposition consacrée à l’incendie de la flèche de la cathédrale de Rouen en 1822 et aux débats autour de la reconstruction de l’édifice longtemps le plus haut du monde. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou sur www.mbarouen.fr Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce photo : Vue de la flèche avec le premier clocheton contemplé par le ferronnier Ferdinand Marrou, Albert Witz, 1881, collection Rijksmuseum d'Amsterdam
Cette exposition propose, grâce aux fonds remarquables du musée, de découvrir la « science en train de se faire » au regard des prémices de cette instruction spécifique qu’est la science « physique ». Initiée dès l’école primaire sous la IIIe République, ses évolutions sont grandissantes et concernent également l’enseignement secondaire, du lycée napoléonien aux méthodes actuelles. Trois axes structurent le propos : l’optique, les poids et mesures et l’électricité. Aux côtés des instruments spectaculaires, vous retrouverez des manuels scolaires, des photographies, du matériel didactique et des travaux d’élèves : près de 130 objets qui permettent une recontextualisation complète.
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée industriel de la corderie Vallois ouvre les coulisses des chantiers prioritaires au sortir de la Seconde Guerre mondiale jusque dans les années 1950. Lire l’article Renseignements au 02 35 74 35 35 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
L’exposition des dessins de Joseph Le Dieu (1815-1880) a été imaginée comme une véritable promenade dans la moitié sud du département de la Manche, du Coutançais à l’Avranchin. L’artiste a dessiné à Saint-Pair, à la mare de Bouillon, à Granville, à Saint-James, à Avranches, à Gratot et dans la campagne environnante. Le regard attentif et observateur de Joseph Le Dieu, au-delà de la recherche du pittoresque et de l'approche romantique de son époque, rend ainsi compte de cette société provinciale, rurale et littorale sur laquelle il existe peu de documentation. En dehors de l'intérêt archéologique et ethnographique qu'ils suscitent, et
Peintre figuratif formé à Paris selon les préceptes du retour à l’ordre, il vécut une révolution artistique majeure lors de son installation à Saint-Tropez auprès de Simone Armando-Barbier. Suivant la trace des postimpressionnistes et des fauves, il s’est imprégné de la lumière du midi pour produire des œuvres lumineuses, élégantes et délicates imprégnées de la forte personnalité de leur créateur et d’une individualité qui le classe à part dans sa génération. L’exposition Jacques Cordier de Saint-Tropez à Trouville, héritage et contraste présente une face totalement méconnue de la création du peintre, les littoraux de Normandie et du nord de l’Europe
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée de la Céramique s’intéresse aux dimensions matérielles et sensorielles de la terre brisée, réparée, sublimée et à la symbolique de la céramique cassée. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
Durement frappées par les destructions allemandes de 1940, puis par les bombardements allés de 1942-1944, les agglomérations de Rouen et d’Elbeuf ne sont pas indemnes de la Seconde Guerre mondiale. Comment reconstruire ? À Travers des photographies, des archives, des témoignages et des objets, l’exposition « Reconstruire… la ville propose d’observer l’architecture des années 1950. Renseignements au 02 32 96 30 40 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Entrée de la rue des Martyrs, Fabrique des Savoirs / RMM
Les maisons d’écrivains suscitent beaucoup de curiosité et ont fait l’objet de transformation pour pouvoir accueillir du public. Le musée Flaubert et d’histoire de la médecine présente des maquettes, des costumes, des objets insolites qui ont appartenu à des auteurs venus en Normandie. Renseignements au 02 76 30 39 90 Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Cabinet de travai lde Flaubert à Croisset, Georges-Antoine Rochegrosse, 1874, collection Pavillon Flaubert / RMM
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée des Beaux-Arts de Rouen présente une exposition consacrée à l’incendie de la flèche de la cathédrale de Rouen en 1822 et aux débats autour de la reconstruction de l’édifice longtemps le plus haut du monde. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou sur www.mbarouen.fr Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce photo : Vue de la flèche avec le premier clocheton contemplé par le ferronnier Ferdinand Marrou, Albert Witz, 1881, collection Rijksmuseum d'Amsterdam
Cette exposition propose, grâce aux fonds remarquables du musée, de découvrir la « science en train de se faire » au regard des prémices de cette instruction spécifique qu’est la science « physique ». Initiée dès l’école primaire sous la IIIe République, ses évolutions sont grandissantes et concernent également l’enseignement secondaire, du lycée napoléonien aux méthodes actuelles. Trois axes structurent le propos : l’optique, les poids et mesures et l’électricité. Aux côtés des instruments spectaculaires, vous retrouverez des manuels scolaires, des photographies, du matériel didactique et des travaux d’élèves : près de 130 objets qui permettent une recontextualisation complète.
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée industriel de la corderie Vallois ouvre les coulisses des chantiers prioritaires au sortir de la Seconde Guerre mondiale jusque dans les années 1950. Lire l’article Renseignements au 02 35 74 35 35 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
L’exposition des dessins de Joseph Le Dieu (1815-1880) a été imaginée comme une véritable promenade dans la moitié sud du département de la Manche, du Coutançais à l’Avranchin. L’artiste a dessiné à Saint-Pair, à la mare de Bouillon, à Granville, à Saint-James, à Avranches, à Gratot et dans la campagne environnante. Le regard attentif et observateur de Joseph Le Dieu, au-delà de la recherche du pittoresque et de l'approche romantique de son époque, rend ainsi compte de cette société provinciale, rurale et littorale sur laquelle il existe peu de documentation. En dehors de l'intérêt archéologique et ethnographique qu'ils suscitent, et
Peintre figuratif formé à Paris selon les préceptes du retour à l’ordre, il vécut une révolution artistique majeure lors de son installation à Saint-Tropez auprès de Simone Armando-Barbier. Suivant la trace des postimpressionnistes et des fauves, il s’est imprégné de la lumière du midi pour produire des œuvres lumineuses, élégantes et délicates imprégnées de la forte personnalité de leur créateur et d’une individualité qui le classe à part dans sa génération. L’exposition Jacques Cordier de Saint-Tropez à Trouville, héritage et contraste présente une face totalement méconnue de la création du peintre, les littoraux de Normandie et du nord de l’Europe
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée de la Céramique s’intéresse aux dimensions matérielles et sensorielles de la terre brisée, réparée, sublimée et à la symbolique de la céramique cassée. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
Durement frappées par les destructions allemandes de 1940, puis par les bombardements allés de 1942-1944, les agglomérations de Rouen et d’Elbeuf ne sont pas indemnes de la Seconde Guerre mondiale. Comment reconstruire ? À Travers des photographies, des archives, des témoignages et des objets, l’exposition « Reconstruire… la ville propose d’observer l’architecture des années 1950. Renseignements au 02 32 96 30 40 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Entrée de la rue des Martyrs, Fabrique des Savoirs / RMM
Les maisons d’écrivains suscitent beaucoup de curiosité et ont fait l’objet de transformation pour pouvoir accueillir du public. Le musée Flaubert et d’histoire de la médecine présente des maquettes, des costumes, des objets insolites qui ont appartenu à des auteurs venus en Normandie. Renseignements au 02 76 30 39 90 Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Cabinet de travai lde Flaubert à Croisset, Georges-Antoine Rochegrosse, 1874, collection Pavillon Flaubert / RMM
Freaks, c’est son nom de plume. Originaire de Picardie, cette artiste de 27 ans est venue au Havre il y a une petite dizaine d’années dans le but d’intégrer l’école d’art. Expérience peu concluante, elle a quitté cette dernière un an plus tard avec le désir de travailler et d’apprendre en autonomie. Énormément de pratique et de tutos techniques lui ont permis d’évoluer et de trouver un véritable style. Elle présente une rétrospective de son travail. Lire l'article Renseignements au 02 35 48 98 25 ou sur www.le-cem.com
Il y a 20 ans Cali arrivait sur le devant de la scène avec « L’Amour parfait », un album qui s’est vendu à plus de 500 000 exemplaires et dont certaines chansons (« C’est quand le bonheur », « Elle m’a dit ») sont entrées dans le paysage musical français. Il parcourt à nouveau cet album en duo avec divers chanteurs et chanteuses. Il interprète ces titres avec Steve Neve, au piano. Durée : 1h15 Tarifs : 35 €, 30 € Réservation au 02 33 69 27 30 ou sur www.archipel-granville.fr Photo : Philippe Frnd
Cette exposition propose, grâce aux fonds remarquables du musée, de découvrir la « science en train de se faire » au regard des prémices de cette instruction spécifique qu’est la science « physique ». Initiée dès l’école primaire sous la IIIe République, ses évolutions sont grandissantes et concernent également l’enseignement secondaire, du lycée napoléonien aux méthodes actuelles. Trois axes structurent le propos : l’optique, les poids et mesures et l’électricité. Aux côtés des instruments spectaculaires, vous retrouverez des manuels scolaires, des photographies, du matériel didactique et des travaux d’élèves : près de 130 objets qui permettent une recontextualisation complète.
Peintre figuratif formé à Paris selon les préceptes du retour à l’ordre, il vécut une révolution artistique majeure lors de son installation à Saint-Tropez auprès de Simone Armando-Barbier. Suivant la trace des postimpressionnistes et des fauves, il s’est imprégné de la lumière du midi pour produire des œuvres lumineuses, élégantes et délicates imprégnées de la forte personnalité de leur créateur et d’une individualité qui le classe à part dans sa génération. L’exposition Jacques Cordier de Saint-Tropez à Trouville, héritage et contraste présente une face totalement méconnue de la création du peintre, les littoraux de Normandie et du nord de l’Europe
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée des Beaux-Arts de Rouen présente une exposition consacrée à l’incendie de la flèche de la cathédrale de Rouen en 1822 et aux débats autour de la reconstruction de l’édifice longtemps le plus haut du monde. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou sur www.mbarouen.fr Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce photo : Vue de la flèche avec le premier clocheton contemplé par le ferronnier Ferdinand Marrou, Albert Witz, 1881, collection Rijksmuseum d'Amsterdam
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée industriel de la corderie Vallois ouvre les coulisses des chantiers prioritaires au sortir de la Seconde Guerre mondiale jusque dans les années 1950. Lire l’article Renseignements au 02 35 74 35 35 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
L’exposition des dessins de Joseph Le Dieu (1815-1880) a été imaginée comme une véritable promenade dans la moitié sud du département de la Manche, du Coutançais à l’Avranchin. L’artiste a dessiné à Saint-Pair, à la mare de Bouillon, à Granville, à Saint-James, à Avranches, à Gratot et dans la campagne environnante. Le regard attentif et observateur de Joseph Le Dieu, au-delà de la recherche du pittoresque et de l'approche romantique de son époque, rend ainsi compte de cette société provinciale, rurale et littorale sur laquelle il existe peu de documentation. En dehors de l'intérêt archéologique et ethnographique qu'ils suscitent, et
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée de la Céramique s’intéresse aux dimensions matérielles et sensorielles de la terre brisée, réparée, sublimée et à la symbolique de la céramique cassée. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
Durement frappées par les destructions allemandes de 1940, puis par les bombardements allés de 1942-1944, les agglomérations de Rouen et d’Elbeuf ne sont pas indemnes de la Seconde Guerre mondiale. Comment reconstruire ? À Travers des photographies, des archives, des témoignages et des objets, l’exposition « Reconstruire… la ville propose d’observer l’architecture des années 1950. Renseignements au 02 32 96 30 40 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Entrée de la rue des Martyrs, Fabrique des Savoirs / RMM
Les maisons d’écrivains suscitent beaucoup de curiosité et ont fait l’objet de transformation pour pouvoir accueillir du public. Le musée Flaubert et d’histoire de la médecine présente des maquettes, des costumes, des objets insolites qui ont appartenu à des auteurs venus en Normandie. Renseignements au 02 76 30 39 90 Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Cabinet de travai lde Flaubert à Croisset, Georges-Antoine Rochegrosse, 1874, collection Pavillon Flaubert / RMM
L’orchestre symphonique du conservatoire de Rouen continue son exploration du répertoire symphonique français du début du XXe siècle avec notamment l’une des plus belles œuvres du compositeur Henri Rabaud « La Procession nocturne » (1899) inspirée du mythe de « Faust ». Œuvre orchestrale méconnue, elle s’inscrit dans la lignée des plus grands poèmes symphoniques romantiques où le mystère règne en maître. Sans réservation Aller au spectacle en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : conservatoire de Rouen
La tranquillité du bois de la Fermette se trouve bouleversée lorsque la mairie annonce vouloir y implanter un parc photovoltaïque, promesse d’un nouvel essor économique. Une initiative qui soulève des questions sur le sort réservé aux derniers refuges de la vie sauvage. Déjà largement exploités, assoiffés, dégradés par une activité humaine débridée, les espaces naturels sont-ils condamnés à une disparition inéluctable ? Pour donner vie à ce récit, « Nous étions la forêt », Agathe Charnet s’est engagée dans une exploration approfondie, observant, échangeant avec les différentes personnes impliquées dans la vie de la forêt : gardes forestiers, scientifiques, arboristes, randonneurs et promeneuses, activistes.
Et si la septième couleur de l’arc-en-ciel pouvait faire renaître l’harmonie dans une famille ? Lola en est convaincue. Dans ce conte musical participatif, la petite fille part à la recherche de l’Île Indigo pour sauver son papa, retrouver les consonnes qu’elle a perdues et le bonheur familial. Une quête qui lui permet d’affronter ses peurs et de prendre confiance en elle. Mais pour mener à bien cette aventure, elle a besoin du public ! Petits et grands sont invités à chanter avec elle, à faire souffler le vent et tomber la pluie. Durée : 1 heure Spectacle à
Toujours apprendre, telle est la philosophie de Taïro. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard s’il parcourt le monde pour composer ! Au fil des rencontres, l’artiste franco-jamaïcain écrit des chansons à cœur ouvert, qui prônent la sincérité et la bienveillance. “Merci pour le soleil, les roses et les épines aussi” chante-t-il haut et fort pour rappeler que la vie, malgré son lot d’épreuves, est belle. Première partie : Lord Kossity Tarifs : 30 €, 27 € Réservation au 02 35 19 00 38 ou sur www.letetris.fr Photo : DR
Multi-instrumentiste basé à Londres, Duke Garwood a collaboré avec de très nombreux artistes aux univers très variés (Kurt Vile, The Orb, Morcheeba, Archie Bronson Outfitt, Savages). Influencé par le blues, mais désireux d’expérimenter son spleen et sa voix chaude dans des sentiers musicaux éclectiques, allant du jazz à l’ambiant, du rock à la musique électronique, il était parfaitement à son aise avec son frère d’arme le regretté Mark Lanegan. Le duo a fait paraître deux albums essentiels "Black Pudding" (2013) et surtout "With Animals" (2018), chef-d’œuvre somnambule gorgé d’une grâce toute crépusculaire. Ses derniers albums tel l’éblouissant "Rogues Gospel" (2022),
Martine Patine réinvente le concept de la soirée Roller Dance ! Mélange magique d’initiation, de shows, de performances 100% roller et clubbing, Martine Patine c’est le collectif de passionnés qui redonne vie à la discipline, et qui se lance le défi de faire danser tout le monde à roulettes, dans un univers musical dansant et punchy (électro, disco, house, groovy) ! Une fois le public chaussé, les danseuses et danseurs du collectif accompagnent les patineuses et patineurs à se lâcher aux sons du DJ set. Tarif : 5 € Réservation au 02 35 73 95 15 ou sur www.trianontransatlantique.com
Cette exposition propose, grâce aux fonds remarquables du musée, de découvrir la « science en train de se faire » au regard des prémices de cette instruction spécifique qu’est la science « physique ». Initiée dès l’école primaire sous la IIIe République, ses évolutions sont grandissantes et concernent également l’enseignement secondaire, du lycée napoléonien aux méthodes actuelles. Trois axes structurent le propos : l’optique, les poids et mesures et l’électricité. Aux côtés des instruments spectaculaires, vous retrouverez des manuels scolaires, des photographies, du matériel didactique et des travaux d’élèves : près de 130 objets qui permettent une recontextualisation complète.
Peintre figuratif formé à Paris selon les préceptes du retour à l’ordre, il vécut une révolution artistique majeure lors de son installation à Saint-Tropez auprès de Simone Armando-Barbier. Suivant la trace des postimpressionnistes et des fauves, il s’est imprégné de la lumière du midi pour produire des œuvres lumineuses, élégantes et délicates imprégnées de la forte personnalité de leur créateur et d’une individualité qui le classe à part dans sa génération. L’exposition Jacques Cordier de Saint-Tropez à Trouville, héritage et contraste présente une face totalement méconnue de la création du peintre, les littoraux de Normandie et du nord de l’Europe
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée des Beaux-Arts de Rouen présente une exposition consacrée à l’incendie de la flèche de la cathédrale de Rouen en 1822 et aux débats autour de la reconstruction de l’édifice longtemps le plus haut du monde. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou sur www.mbarouen.fr Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce photo : Vue de la flèche avec le premier clocheton contemplé par le ferronnier Ferdinand Marrou, Albert Witz, 1881, collection Rijksmuseum d'Amsterdam
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée industriel de la corderie Vallois ouvre les coulisses des chantiers prioritaires au sortir de la Seconde Guerre mondiale jusque dans les années 1950. Lire l’article Renseignements au 02 35 74 35 35 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
L’exposition des dessins de Joseph Le Dieu (1815-1880) a été imaginée comme une véritable promenade dans la moitié sud du département de la Manche, du Coutançais à l’Avranchin. L’artiste a dessiné à Saint-Pair, à la mare de Bouillon, à Granville, à Saint-James, à Avranches, à Gratot et dans la campagne environnante. Le regard attentif et observateur de Joseph Le Dieu, au-delà de la recherche du pittoresque et de l'approche romantique de son époque, rend ainsi compte de cette société provinciale, rurale et littorale sur laquelle il existe peu de documentation. En dehors de l'intérêt archéologique et ethnographique qu'ils suscitent, et
Lors du Temps des collections, consacré à la reconstruction, le musée de la Céramique s’intéresse aux dimensions matérielles et sensorielles de la terre brisée, réparée, sublimée et à la symbolique de la céramique cassée. Lire l’article Renseignements au 02 76 30 39 18 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce
Durement frappées par les destructions allemandes de 1940, puis par les bombardements allés de 1942-1944, les agglomérations de Rouen et d’Elbeuf ne sont pas indemnes de la Seconde Guerre mondiale. Comment reconstruire ? À Travers des photographies, des archives, des témoignages et des objets, l’exposition « Reconstruire… la ville propose d’observer l’architecture des années 1950. Renseignements au 02 32 96 30 40 ou en ligne Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Entrée de la rue des Martyrs, Fabrique des Savoirs / RMM
Les maisons d’écrivains suscitent beaucoup de curiosité et ont fait l’objet de transformation pour pouvoir accueillir du public. Le musée Flaubert et d’histoire de la médecine présente des maquettes, des costumes, des objets insolites qui ont appartenu à des auteurs venus en Normandie. Renseignements au 02 76 30 39 90 Aller au musée en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : Cabinet de travai lde Flaubert à Croisset, Georges-Antoine Rochegrosse, 1874, collection Pavillon Flaubert / RMM
Et si la septième couleur de l’arc-en-ciel pouvait faire renaître l’harmonie dans une famille ? Lola en est convaincue. Dans ce conte musical participatif, la petite fille part à la recherche de l’Île Indigo pour sauver son papa, retrouver les consonnes qu’elle a perdues et le bonheur familial. Une quête qui lui permet d’affronter ses peurs et de prendre confiance en elle. Mais pour mener à bien cette aventure, elle a besoin du public ! Petits et grands sont invités à chanter avec elle, à faire souffler le vent et tomber la pluie. Durée : 1 heure Spectacle à
La tranquillité du bois de la Fermette se trouve bouleversée lorsque la mairie annonce vouloir y implanter un parc photovoltaïque, promesse d’un nouvel essor économique. Une initiative qui soulève des questions sur le sort réservé aux derniers refuges de la vie sauvage. Déjà largement exploités, assoiffés, dégradés par une activité humaine débridée, les espaces naturels sont-ils condamnés à une disparition inéluctable ? Pour donner vie à ce récit, « Nous étions la forêt », Agathe Charnet s’est engagée dans une exploration approfondie, observant, échangeant avec les différentes personnes impliquées dans la vie de la forêt : gardes forestiers, scientifiques, arboristes, randonneurs et promeneuses, activistes.
Après ses deux premiers spectacles « Pourquoi ? » et « Je pionce donc je suis », Michaël Hirsch revient avec un nouveau seul en scène. Il y mettra son amour des mots, son goût pour les personnages, et sa passion pour les belles histoires. Tarifs : 21 €, 13 € Réservation au 02 35 05 93 70 Photo : DR