Les Matins sauvages en photographie

Les Matins sont aussi sauvages jusqu’à la fin de cette année 2021. Le collectif Nos Années sauvages propose des expositions photographiques dans une vitrine en bas de la rue de La Seille à Rouen.

Une vitrine et une photographie. La vitrine, c’est celle d’un local vide au début de la rue de La Seille à Rouen. Quant à la photographie, visible de l’extérieur, elle est l’œuvre de jeunes artistes, rouennais, normands, nationaux et internationaux. Le collectif Nos Années sauvages, fondé par Sylvain Wavrant et Thomas Cartron, propose jusqu’à la fin de cette année 2021 des Matins sauvages, soit une exposition d’une nouvelle photographie toutes les deux semaines. Premier rendez-vous avec Lucia Peluffo qui a laissé la place à Téo Bécher et son approche physique du paysage. Ce samedi 17 juillet, la vitrine s’offre à Solal Israel.

Avec Les Matins sauvages, le collectif rouennais souhaite « investir l’espace public » et « combler un manque de lieu » pour exposer. « Il y a un besoin de montrer des images qui ne matraquent pas mais nous rendent heureux », remarque Thomas Cartron. Qu’elles soient « belles, pertinentes, choquantes ou poétiques », ces photographies racontent toutes une histoire et contribuent à « réveiller nos regards et redonner du désir ». Jusqu’à la fin de cette année, Nos Années sauvages aura fait découvrir une dizaine d’artistes.

Infos pratiques

  • Jusqu’à fin 2021 dans une vitrine rue de la Seille à Rouen