La Maison de l'Université propose de débuter la journée en musique, au rythme du jazz manouche avec les musiciens de l’ École d'improvisation de Jazz. Durée : 1 heure Réservation au 02 32 76 93 01 ou à spectacle.culture@univ-rouen.fr Aller au concert en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : EIJ
Les Archives départementales de Seine-Maritime présentent une exposition de l’œuvre du peintre, cartonnier, enlumineur et graveur rouennais du XVIe siècle Geoffroy Dumonstier. Outre les archives qui permettent d’éclairer sa biographie, l’exposition présent trois œuvres de l’artiste, dont deux exceptionnels manuscrits enluminés, issues des collections. Lire l’article Aller voir l’exposition en transport en commun avec le réseau Astuce
Neuf jeunes artistes dont la plupart sont diplômés des écoles supérieures d’arts et de design normandes (Esadhar Rouen-Le Havre et l’Esam de Caen), lauréats des résidences d’artistes de la Villa Caldéron portent leur regard sur la société d’aujourd’hui. L’exposition réunit des œuvres de Jeanne Cattant, Emily Gaid, Emma Genty, Baptiste Leroux, Sonia Mateus Martins, Melisssa Mérinos, Tom Nadam, Evan Schoepflin et Semilu. Lire l’article Fermeture entre 12h30 et 14 heures Renseignements au 02 32 78 85 40 ou en ligne photo : Litote
En 2004, Hélène Senn-Foulds donnait au musée du Havre la collection héritée de son grand-père, Olivier Senn. Négociant en coton, amateur fin et sensible, passionné par l’art de son temps, principalement impressionniste et post-impressionniste, Senn a constitué une vaste collection d’art moderne. Ce sont 205 œuvres parmi lesquelles des œuvres majeures de Courbet, Delacroix, Boudin, Monet, Sisley, Pissarro, Renoir, Degas, Sérusier, Vallotton, Marquet ou Cross, qui entraient alors dans les collections, hissant le MuMa parmi les premières collections impressionnistes de France. L’exposition « Les Senn, collectionneurs et mécènes », entend célébrer le 20e anniversaire de cette première donation en présentant les chefs-d’œuvre
Le mouvement psychédélique européen est né en Grande-Bretagne à la fin de l’année 1966. Syd Barett en est l’inventeur en Europe au même titre que Roky Erickson aux États-Unis. De très nombreux groupes sixties garage vont basculer dans cette musique, des plus connus aux plus obscurs. C’est une révolution musicale avec des incidences sur le graphisme, la mode mais aussi une tentative de redéfinir le réel et ses modes de perception. Si Londres est le passage obligé de tous ces groupes, cette vague musicale va s’étendre dans toutes les grandes villes européennes, notamment en Allemagne où une scène musicale va
Le chantsigne désigne la rencontre de la musique avec la langue des signes. L'objectif est de rendre la musique "visuelle", en jouant avec les possibilités offertes par la langue des signes qui est une langue visuo-gestuelle, pour transmettre un sens, une émotion, un rythme. Il s'agit d'une pratique artistique en plein essor, notamment en France, qui contribue à la valorisaton et à la diffusion de la langue des signes française (LSF) et de la culture sourde. Diane Bodin, professeure des universités à Rouen vient le démontrer. Durée : 30 minutes Réservation à culture-scientifique@univ-rouen.fr Aller à la conférence en transport en
Né au Havre en 1987, Pierre Barraud de Lagerie vit et travaille à Caen. Après avoir travaillé comme technicien studio et dans le spectacle vivant, il exerce son activité de dessinateur à laquelle il se consacre entièrement en 2018, lorsqu’il part vivre en Grèce. À Athènes, il découvre une technique unique qu’il utilise encore aujourd’hui. Le principe consiste à couvrir des feuilles transparentes de peinture noire, puis à gratter la surface, répétant ce processus strate par strate. Pour cette nouvelle exposition intitulée « Pondering", Pierre Barraud de Lagerie présente les premiers dessins réalisés avec cette technique : ensembles architecturaux, scénographies mystérieuses et
Peintre figuratif formé à Paris selon les préceptes du retour à l’ordre, il vécut une révolution artistique majeure lors de son installation à Saint-Tropez auprès de Simone Armando-Barbier. Suivant la trace des postimpressionnistes et des fauves, il s’est imprégné de la lumière du midi pour produire des œuvres lumineuses, élégantes et délicates imprégnées de la forte personnalité de leur créateur et d’une individualité qui le classe à part dans sa génération. L’exposition Jacques Cordier de Saint-Tropez à Trouville, héritage et contraste présente une face totalement méconnue de la création du peintre, les littoraux de Normandie et du nord de l’Europe
L’exposition des dessins de Joseph Le Dieu (1815-1880) a été imaginée comme une véritable promenade dans la moitié sud du département de la Manche, du Coutançais à l’Avranchin. L’artiste a dessiné à Saint-Pair, à la mare de Bouillon, à Granville, à Saint-James, à Avranches, à Gratot et dans la campagne environnante. Le regard attentif et observateur de Joseph Le Dieu, au-delà de la recherche du pittoresque et de l'approche romantique de son époque, rend ainsi compte de cette société provinciale, rurale et littorale sur laquelle il existe peu de documentation. En dehors de l'intérêt archéologique et ethnographique qu'ils suscitent, et
C’est au hasard de la lecture d’un de ses ouvrages que la photographe italienne Francesca Todde rencontre sa compatriote l’écrivaine Goliarda Sapienza (1924-1996). Quand Todde la lit, Sapienza, décédée une vingtaine d’années plus tôt, est une autrice dont l’œuvre a été récemment redécouverte et qui accède graduellement à une notoriété internationale grâce au succès posthume de son monumental L’Art de la joie. Par touches impressionnistes, Francesca Todde fait entrevoir autant de manières d’être au monde de Goliarda Sapienza : Goliarda Vulcanica, Romana, Modesta, Etcætera ou les corps changeants et libres d’un être qui aura fait œuvre en accueillant en elle
Dès les premières installations des œuvres retenues pour peupler la Forêt Monumentale, cinq membres du club photo de Saint-Jacques-sur-Darnétal, Alexandre Lefort, Béatrice Godon, Jamil, Jean-Paul Vandenbroucke et Philippe Roques, se sont laissés imprégner par ces réalisations, tentant de capter à travers leurs viseurs et leurs objectifs la magie et le mystère nés de la rencontre entre la nature et l’art. Renseignements au 02 35 36 95 80 ou sur www.ecfm.ville-canteleu.fr Photo : Alexandre Lefort Aller à l’exposition en transport en commun avec le réseau Astuce
Différentes strates de métal pour cette session, tendance death core avec Neurodystopia, ethnique avec Sarmates et symphonique avec Shondha. Réservation au 02 32 10 88 60 ou sur www.le106.com Aller au concert en transport en commun avec le réseau Astuce Photo : DR
BasarKus a deux têtes, plein de bras et de multiples jambes. Il en a toujours été ainsi. Il est heureux en jouant de la guitare à quatre mains, en sautant et en jonglant partout. Mais c’est en découvrant qu’il a deux coeurs qu’il se pose la question avec effroi : "Suis-je un ou deux ? Si je suis deux, je suis qui moi ?" S’ils sont deux, ils semblent unis pour la vie ! Comme collés, inséparables et indivisibles… Plus forts, en sécurité. À deux ! Mais poussés par une furieuse envie de découverte, ils vont tenter de se dissocier.
Neige veut grandir trop vite. Sa mère elle, s’étonne de vieillir. Quand du jour au lendemain, Neige disparait dans la forêt, il n’y a pas d’autre solution que d’aller la chercher. Personne ne sortira de ce bois comme il y est entré. Dans cette réécriture contemporaine de Blanche-Neige, le prince n’est pas si charmant et le chasseur apprend au public la douceur. Dans un décor de forêt enneigée qui se joue des apparences grâce à la magie nouvelle, mère et fille se poursuivent à travers les âges. Chaque personnage est le reflet d’un âge, d’un moment de vie. Le temps
Ce concert ouvre les portes du monde merveilleux de Joe Hisaishi, compositeur des musiques des films d’animation « Princesse Mononoké », « Le Château ambulant » et « Le Voyage de Chihiro ». Voilà les plus grands thèmes de l’imaginaire nippon qui ont fait le tour de la planète et marqué des générations. Les musiciens de l’orchestre de l’Opéra de Rouen Normandie complètent cette échappée orientale avec l’unique et superbe quatuor à cordes de Debussy et les notes contemporaines de Wim Henderickx. Et ce, avec les sonorités du shô, cet orgue à bouche japonais qui porte en lui toute la poésie du Soleil Levant. Durée
Après avoir défendu lors d’un concours d’éloquence que l’État n’était pas seul responsable de la situation en banlieue, Soulaymaan, joué par Kery James, est devenu avocat. Quand son frère Demba est abattu d’une balle dans le dos par un policier, il est fortement affecté mais pas ébranlé dans ses convictions : pour lui, ce sont les choix de Demba, fiché au grand banditisme, qui l’ont mené à cette fin tragique. Il est convaincu que le policier, jugé pour homicide volontaire, sera condamné. Lors du procès en assise, Soulaymaan assiste à ce qu’il vit comme une parodie de justice dans laquelle
Sept jeunes acrobates virtuoses défient les lois de la gravité dans une performance d’une intensité sidérante. L’effort s’exprime dans sa forme la plus pure, sans aucun artifice. Cette sobriété souligne la puissance et la souplesse des corps. Ici l’exploit naît de l’accord parfait entre les acrobates et leur engagement physique total. Ils repoussent leurs limites, prennent des risques et s’en amusent. Le public, au plus près, perçoit la chaleur des corps, les souffles, la tension des muscles, et se trouve viscéralement embarqué dans cette aventure généreuse et audacieuse. Durée : 1 heure À partir de 6 ans Tarifs :
Dans la continuité de son livre « Le Pouvoir rhétorique », Clément Viktorovitch, docteur en science politique, apparaît pour la première fois au théâtre dans une fiction grinçante. Il y incarne le conseiller en communication du Président de la République qui, après avoir été brutalement évincé, cherche à se venger. Son arme ? Une conférence, dans laquelle il décide de dévoiler tous les secrets qu’ils ont utilisés pour conquérir le pouvoir… À travers ce premier seul en scène, Clément Viktorovitch fait plus que transmettre des outils de décryptage : il interroge la place même du discours dans la vie politique. Quand les
Cette fable animalière, devenue un classique, résonne de manière féroce aujourd’hui, en questionnant le pouvoir politique face à nos libertés. Cette histoire, où les animaux deviennent maîtres de leur ferme, illustre le mécanisme de soumission et de manipulation d’une communauté. « La ferme des animaux » est une parabole qui met en jeu la communication politique, la manipulation des idées et des individus, la réécriture de l’Histoire. C’est un récit qui permet de s’interroger sur l’absence ou non d’esprit critique face au discours politique dominant. L’adaptation théâtrale joue avec les codes de la fable et les références cinématographiques. Ancrée dans
